La violence psychologique – ou violence morale, violence mentale, violence émotionnelle – est une forme de maltraitance répandue envers les enfants. C'est une forme de violence envers autrui sans qu'une violence physique soit mise en œuvre directement.
La maltraitance émotionnelle, employée afin d'asseoir son pouvoir et sa domination dans une relation, peut prendre plusieurs formes et se manifeste entre autres par un refus de communication, une attitude culpabilisatrice, des insultes, des critiques, des menaces, des railleries, des humiliations, des intimidations, ...
Elle s'entend de toutes les formes de mauvais traitements physiques et/ou affectifs, d'abus sexuels, de négligence ou de traitement négligent, ou d'exploitation commerciale ou autre, entraînant un préjudice réel ou potentiel pour la santé de l'enfant, sa survie, son développement ou sa dignité, dans le contexte d'une ...
La violence psychologique est l'une des violences les plus répandues, mais aussi les moins détectées. Un réel travail de prévention et de prise de conscience s'impose. À noter que toutes les violences infligées à un enfant ont une composante psychologique.
Les parents qui ne parviennent pas à appliquer des contrôles de comportement ont souvent des enfants qui ont des problèmes de comportement, tels que la violation des normes sociales, ou le mépris et l'opposition à l'école ou ailleurs dans la collectivité.
Tout le monde connaît la "maltraitance active", le fait d'infliger des sévices, d'abandonner ou de tuer un animal... Mais le concept de "maltraitance passive" est totalement inconnu ou presque. La maltraitance passive est le résultat de la méconnaissance des besoins réels d'un animal.
Ceci dit, d'après les statistiques, certaines catégories de personnes, comme les hommes, les personnes rencontrant des difficultés financières ou qui sont d'origine étrangère par exemple, sont plus fréquemment mises en cause dans les cas de maltraitance envers les enfants.
La maltraitance psychologique peut résulter du sadisme ou de la cruauté mentale de la part de l'« agresseur », comme elle peut résulter de l'échec ou de l'incapacité des parents à répondre aux besoins émotionnels de l'enfant et à assumer un rôle parental bienveillant et protecteur.
Certains adultes victimes de maltraitance dans l'enfance vont envahir son interlocuteur sans s'en rendre et en devenir dépendant. D'autres vont adopter les attitudes subies et devenir exigeants, méprisants, injustes ou encore colériques.
Dans ce cadre, la pression psychologique est définie comme toute organisation collective ou mesure individuelle, tout environnement de travail, qui place le ou les individus dans un état réactionnel qui prépare l'organisme humain à la lutte ou à la fuite en réaction à des exigences qui entravent la capacité d' ...
- soit en déposant plainte auprès du commissariat de police ou auprès de la gendarmerie dont elle dépend (uniquement par la personne abusée).
Cette maltraitance peut être caractérisée par : des violences physiques ou sexuelles (morsure, brûlure, étranglement, attouchement, mutilation sexuelle...) des violences psychologiques (brimades, menaces...) ou la privation volontaire de soins (alimentation, médicaments, hygiène...)
Les résultats, qui ne sont pas chiffrés mais qualitatifs, mettent en évidence deux types de maltraitance : celle liée aux comportements des professionnels et celle liée à l'organisation d'un établissement de santé.
Que faire dans les cas d'une extrême gravité : maltraitance ou violence sexuelle ? Il est possible d'adresser directement un courrier au procureur de la République : Magistrat à la tête du parquet (ou ministère public). Il est destinataire des plaintes et signalements.
La bientraitance a pour finalité le bien-être de la personne vulnérable, dans le respect de son histoire, sa dignité et sa singularité. La bientraitance n'est pas seulement le contraire de la maltraitance des personnes âgées et vulnérables, mais une manière d'être, d'agir et de dire.
Cette absence de gestes garants de son bien-être a un nom : la négligence parentale. S'il s'agit de la forme de maltraitance la plus souvent signalée aux services de protection de la jeunesse, c'est aussi l'une des plus néfastes pour le développement des enfants.
Quel que soit l'âge de l'enfant : des humiliations répétées, des exigences excessives, une emprise, des injonctions paradoxales, etc. peuvent constituer un danger à prendre en charge. Enfin, le comportement de l'enfant et/ou celui de l'entourage peuvent alerter.
Vous pouvez prouver l'insulte ou la menace par tous moyens. Autrement dit, réunissez toutes les preuves que vous avez en votre possession : témoignages, courriers, captures d'écran, enregistrements téléphoniques, …
Des séquelles sur la vie d'adulte
Grand manque de confiance en soi, difficultés relationnelles, troubles de l'attachement, les répercussions sur la vie émotionnelle sont nombreuses. "Le lien à l'autre est compliqué, tout comme le lien à soi-même.