La liaison hydrogène est une liaison chimique intermoléculaire. Comme son nom l'indique, cette liaison implique forcément un atome d'hydrogène.
La liaison hydrogène est une liaison chimique non covalente de type dipôle-dipôle entre 2 molécules ou entre 2 groupements d'une molécule. Nature de la liaison : Elle consiste essentiellement dans l'interaction entre deux molécules : 1 molécule possédant un atome donneur d'électrons (O, N, F)
Il existe en chimie trois types de liaison : la liaison covalente, qui résulte de la mise en commun d'électrons entre deux atomes, la liaison ionique où les électrons d'un ion sont transférés à un atome voisin, et la liaison intermoléculaire ou Van der Waals (à laquelle appartiennent les liaisons hydrogène), qui sont ...
Il s'agit d'une liaison intermoleculaire entre molécules identiques d'un corps pur ou entre molécules différentes d'un mélange. Elle correspond à une interaction globalement attractive entre un atome d'hydrogène portant une forte charge partielle positive et un autre atome très électronégatif.
Liaisons polaires : Une liaison covalente est polaire, si la différence des électronégativités des deux atomes formant la liaison n'est pas nulle . L'atome le plus électronégatif d'une liaison polaire attire plutôt vers lui les électrons de la liaison covalente.
Lorsque la différence d'électronégativité entre deux éléments est supérieure à 1,8, la liaison entre ces deux éléments est généralement ionique. Lorsque la différence d'électronégativité est inférieure à 1,8, la liaison a plutôt tendance à être covalente.
On considère quatre types de liaisons, susceptibles de se former selon le remplissage des couches électroniques les plus externes des atomes concernés : La liaison covalente où 2 électrons sont mis en commun, ou partagés, par deux atomes dont la couche électronique externe est presque complète.
Ainsi, la liaison covalente peut être vue comme le partage de deux électrons par les atomes liés, chaque atome apportant un électron. Les liaisons covalentes sont directionnelles. La géométrie des liaisons est déterminée par la dépendance angulaire des orbitales atomiques, qu'elles soient pures ou hybridées (Figure 1).
Une interaction non covalente diffère d'une liaison covalente en ce qu'elle n'implique pas le partage d'électrons, mais implique plutôt des variations plus dispersées des interactions électromagnétiques entre molécules ou au sein d'une molécule.
La liaison covalente est la plus forte ; c'est une liaison assurée par un partage d'électrons. Grossièrement, elle se forme lorsque chacun des atomes fournit un électron « célibataire » de sa couche externe. Les deux électrons s'apparient alors pour former la liaison.
Une molécule est polaire si les positions moyennes des charges partielles positives et négatives ne sont pas confondues. Une molécule est apolaire (non polaire) dans le cas contraire. La géométrie de la molécule aura donc une importance dans la polarité des molécules.
L'atome Na perd un électron et devient ainsi l'ion Na+ afin de réaliser égalemnt l'octet périphérique. L'atome Cl gagne un électron et devient ainsi l'ion Cl-. Les ions Na+ et Cl-, ainsi formés, étant de signes contraires, s'attirent mutuellement par attraction électrostatique et forment une liaison ionique.
Les forces de Van der Waals ont différentes origines et peuvent être décomposées en trois termes différents qui correspondent à des interactions électriques différentes entre atomes et/ou molécules. La caractéristique commune de ces trois termes est que leur énergie est proportionnelle à -1/r6.
Les molécules non polaires et peu polarisables ont tendance à se regrouper, ce qui crée une force de liaison hydrophobe. Il s'agit d'interactions entre molécules ou groupements qui ont très peu d'affinité pour le solvant dans lequel elles sont dissoutes (eau).
Une liaison covalente est une liaison chimique dans laquelle deux atomes se partagent deux électrons (un électron chacun ou deux électrons venant du même atome) d'une de leurs couches externes afin de former un doublet d'électrons liant les deux atomes.
Une liaison chimique est une interaction durable entre plusieurs atomes, ions ou molécules, à une distance permettant la stabilisation du système et la formation d'un agrégat ou d'une substance chimique.
Elle correspond à la liaison entre deux atomes, généralement non métalliques, résultant de la mise en commun d'électrons provenant séparément de chacun d'eux. Ainsi, chaque atome gagne en électrons.
Les deux types de liaisons les plus élémentaires sont les liaisons ionique ou covalente. Dans la liaison ionique, les atomes transfèrent des électrons les uns aux autres. Les liaisons ioniques requièrent au moins un donneur d'électrons et un accepteur d'électrons.
"Ou" (sans accent) est conjonction de coordination. Il ne faut pas le confondre avec "où" (avec accent) qui est adverbe ou pronom. On écrit toujours "ou" (sans accent) quand il peut être remplacé par "ou bien".
Les liaisons faibles sont des interactions électrostatiques (attraction de charges opposées) entre les molécules voisines (et non plus entre les atomes). Elles agissent donc à des distances plus longues et sont de ce fait plus faibles que les liaisons covalentes.
Dans la molécule H2O, les deux atomes d'hydrogène mettent en commun leur électron avec les deux électrons non appariés de l'oxygène pour former deux liaisons covalentes simples.
Pour le carbone, de numéro atomique , la structure électronique est . Le carbone a quatre électrons sur sa couche de valence (couche externe), il lui manque donc quatre électrons pour satisfaire à la règle de l'octet, il peut donc former quatre liaisons de covalence.
La molécule NaCl
L'atome de chlorure de sodium NaCl (sel) est formée d'un atome de sodium Na et d'un atome de Chlore Cl. Le sodium possède 11 éléctrons, donc (11 - 2 = 9) 9 électrons périphériques.