La fondamentale c'est la note la plus importante, c'est celle qui va donner le nom à l'accord. la note fondamentale est la note de base sur laquelle se construit un accord. La fondamentale se place en position 1 sur la suite de notes de la gamme.
La note fondamentale est celle sur laquelle est construit un accord. Par exemple si l'on prend l'accord Sol–Si–Ré, alors la note fondamentale est Sol. C'est donc un accord de Sol majeur. Lorsque l'on parle d'accord à l'état fondamental, alors la fondamentale est la note la plus grave et la plus basse de celui-ci.
Sept noms de notes
Cette notation française des notes (Do, Ré, Mi, Fa, Sol, La et Si) a été initiée par le moine italien Guido d'Arezzo (XIème siècle) en s'inspirant d'un chant religieux latin : l'Hymne de Saint Jean-Baptiste.
À Retenir : dans l'ordre suivant : do(C), ré(D), mi(E), fa(F), sol(G), la(A), si(B), do(C), ré(D),… Pour les apprendre, il suffit de les répéter en boucle dans la tête, Do, Ré, Mi, Fa, Sol, La, Si, Do, Ré, Mi, Fa, Sol, La, Si, Do, Ré…
Les accords de septième sont des accords plus complets que les accords usuels à 3 notes (fondamentale, tierce et quinte). Ils contiennent une note supplémentaire, formant avec la fondamentale un intervalle de septième, d'où leur nom.
L'accord parfait de LA majeur est composé en partant de la tonique d'une tierce majeure LA / DO♯ et d'une quinte juste LA / MI. C'est le nom de la tonique et le fait que la tierce soit majeure qui donnent le nom de cet accord.
Parce que l'intervalle de quarte équivaut à l'écart entre quatre notes (do, ré, mi, fa), la quinte équivaut à cinq notes (do ~ sol), l'octave à huit notes, etc.
L'appoggiature prend la forme d'une petite figure de note dont la durée doit être soustraite de la note principale. Le terme vient du verbe italien appoggiare, qui signifie soutenir.
est la figure de note dont la durée vaut la moitié de la double croche et le double de la quadruple croche. La triple croche vaut un huitième de temps lorsque l'unité de temps est égale à la noire.
Le découpage de l'octave en 12 intervalles est mathématiquement optimal: il permet une quinte la plus juste possible, dans un format compact, et dans un tempérament égal (avec des intervalles égaux).
La gamme do, ré, mi, fa, sol, la et si, bien connue des amateurs de solfège, remonte au XIe siècle. A l'époque, le moine italien Guido d'Arezzo, qui réfléchissait à une méthode pour classer la hauteur des notes, avait eu l'idée de choisir le début de chaque vers d'un chant religieux, l'Hymne à Saint Jean-Baptiste.
F = FA (FACILE !)
La basse désigne la note la plus grave d'un morceau de musique à chaque instant. La note de la basse peut être la fondamentale, mais pas en cas de renversement.
La quinte est le nom d'un intervalle de 5 notes. On parle de quinte « juste » lorsque les notes qui la constituent sont « altérées » de la même manière (l'altération est un signe qui modifie la hauteur de son, comme le dièse, le bécarre ou le bémol).
Pour savoir de laquelle il s'agit, il vous suffit de regarder la note la plus grave à la fin. Si il n'y a qu'un dièse à la clé et que la note la plus grave à la fin est un Sol, le morceau a Sol pour tonalité. Si l'on trouve un Mi à la clé, le morceau est en tonalité de mi mineur.
- La demi-pause est le silence qui correspond à la blanche.
Il nous semble que la musique peut avoir 4 principales fonctions : accompagner, évoquer, provoquer, structurer le temps/orienter dans le temps. L'utilisation d'une même musique peut cumuler plusieurs de ces fonctions.
Tout simplement (!?) parce que l'intervalle entre Mi et Fa et entre Si et Do n'est que d'un demi-ton. Finalement l'octave est divisée en 12 demi-tons et la gamme majeure repose sur les intervalles ton, ton, demi-ton, ton, ton, ton, demi-ton.
L'idée est simple, un octave correspond à un doublement de la fréquence sonore, et un octave est divisé en 12 intervalles égaux, 12 demi-tons. Eh oui, c'était avant la révolution Française, sinon on aurait imposé une gamme avec 10 demi-tons…
En effet, on apprend que « Le la3 est la corde à vide qu'ont en commun le violon et l'alto. » Ces pupitres de cordes sont importants dans un orchestre symphonique : s'accorder avec le La3 est donc une facilité. Validé à la Conférence de Londres en 1953, ce La3 à 440 Hz est reconnu comme norme ISO en 1975 (ISO 16-1975).
L'accord parfait de LA mineur est composé en partant de la tonique d'une tierce mineure LA / DO et d'une quinte juste LA / MI. C'est le nom de la tonique et le fait que la tierce soit mineure qui donnent le nom de cet accord.
L'accord mineur est formé par un intervalle de tierce mineure (1,5 ton) entre sa fondamentale et sa tierce, et un intervalle de tierce majeure (2 tons) entre sa tierce et sa quinte. Ce qui nous donne un intervalle de quinte juste (3,5 tons) entre la fondamentale et la quinte de l'accord.
En harmonie tonale, un accord de tierce et sixte — ou, plus simplement, accord de sixte — est le premier renversement d'un accord de trois notes. Il se compose d'une basse — la tierce de la fondamentale —, d'une tierce — la quinte de la fondamentale — et d'une sixte — la fondamentale.