« Les femmes jouent un rôle majeur dans le développement de la philosophie bouddhiste en Amérique du Nord, autant dans la vie monastique que dans la vie laïque, affirme Mme Lamoureux. Dans les centres Shambhala de Montréal, de Québec et d'ailleurs, elles sont très actives. Elles enseignent autant que les hommes. »
Yashodhara (glorieuse) est la cousine et l'épouse principale de Gautama, mère de son fils Rahula. Connue par les Jatakas (légendes de la vie du Bouddha), elle serait devenue du vivant de Gautama une ascète, une nonne prééminente et l'un des quatre arahants de son entourage possédant l'intuition absolue.
Autrefois pourtant, le statut de moine était ouvert aux deux sexes : les hommes devenaient bhikkhus et les femmes bhikkhunnis. Au Vème siècle avant J. -C., le bouddhisme fut même la première religion à établir un régime monacal pour les femmes.
Dans le bouddhisme qui exige le détachement complet du désir, du plaisir, de l'amour et du sexuel, l'objet de la sublimation, l'objet (de la sublimation) peut-être élevé à la dignité de la Chose (Lacan, 1986, 134).
Cette nature humaine n'est bien sûr pas fixée ni intrinsèque, elle n'est pas une sorte d'identité absolue offerte par Dieu, mais elle est plutôt fonctionnelle, placée sur une échelle qui comprend les autres animaux, et, par conséquent, hautement évolutive.
Originellement, en sanskrit, pour parler de la doctrine du Bouddha, on utilise le plus souvent l'appellation buddhadharma (ou, en pali, buddhadamma), mots signifiant « dharma [enseignement] du Bouddha », à côté d'autres appellations, parmi lesquelles dharmavinaya (enseignement et discipline [vinaya]) et śāsana ( ...
Le Vinaya Pitaka, en cinq volumes, contenant des règles de discipline pour le Sangha des moines et nonnes bouddhistes ; L'Abhidhamma Pitaka, en sept volumes, contenant une systématisation philosophique de l'enseignement du Bouddha.
Le premier d'entre eux est de s'abstenir de mentir, ou plutôt, doit-on dire, de tromper. Le bouddha historique lui-même pouvait donner des réponses différentes en fonction de l'interlocuteur auquel il s'adressait.
Au sein du monastère, le logement est très sommaire. Selon les lieux, le moine dort à même le sol sur un tapis souvent peu épais. Il peut être seul ou se trouver dans un dortoir à plusieurs.
moniale n.f. Religieuse à vœux solennels.
Au cours de la cérémonie, les mariés s'installent sur un tapis où ils reçoivent les bénédictions de leur entourage. On demande aux mariés de joindre leurs mains au-dessus d'un coussin doré. Prêtres, couples modèles et parents défilent alors pour les bénir et prodiguer des conseils pour l'avenir.
Représentation de Bouddha : Chan Butai, le gros bouddha
C'est un symbole de prospérité, de joie de vivre, de sagesse ainsi qu'un porte-bonheur : frotter son ventre apporterait richesse et chance, dans la croyance populaire.
Le bouddhisme est, avec le jaïnisme, la seule religion traditionnelle non théiste. Le bouddhisme considère que tous les êtres sensibles deviendront inévitablement un jour un bouddha à l'égal de tous les bouddhas passés, présents et futurs. Or un bouddha n'est pas (un) Dieu. Selon le bouddhisme, Dieu n'existe pas.
ne pas placer la statuette dans la cuisine, lieu de transformation de la nourriture. évitez de mettre la statue dans les pièces d'eau : salle de bain, w.c qui sont des lieux de nudité. évitez également les chambres à coucher, lieu de nudité.
« Les moines, par exemple, ne consomment jamais d'oignon ou d'ail car ils éveillent la libido et perturbent la méditation. » De manière générale, les légumes racines (dont la plante meurt quand on les cueille comme la pomme de terre ou carotte) et les légumes acres et à forte odeur (comme l'échalote ou la coriandre) ...
La divinité du Bouddha
Le Bouddha historique est perçu par l'école Jonangpa du Bouddhisme tibétain comme étant « absolu, omniprésent, connaissance suprême au-delà des limitations de la conscience ordinaire ».
Le but du bouddhisme est de donner aux humains les moyens d'atteindre le Nirvâna complet où les principes des renaissances n'existe plus puisque les racines de renaissances sont définitivement coupées, le Nirvâna étant l'extinction de tout attachement.
Dans la tradition religieuse tibétaine, le dalaï-lama est l'incarnation physique du Bodhisattva de la compassion, le Bouddha en devenir. Le titre de dalaï-lama existe depuis le 14e siècle et celui qui le détient est le chef spirituel et temporel des Tibétains.
Pour le Bouddha, il n'y a pas de Dieu créateur de l'Univers, pas de paradis ni d'enfer, pas de Messie ni de Résurrection. Tout au contraire. Le bouddhisme ne s'intéresse pas à la métaphysique, à l'origine du monde, aux notions de bien et de mal.
La roue dharmachakra est le symbole le plus connu du bouddhisme où elle représente, comme dans le jaïnisme, l'enseignement de la doctrine et l'union de toutes choses. Elle peut apparaître comme motif dans l'empreinte de pied Bouddha.
Bien que le blanc soit la couleur de deuil pour la famille, les amis portent souvent du noir. Les amis peuvent rendre visite à la famille à la maison après les funérailles, mais non avant.
Les valeurs principales du bouddhisme sont celles de la compassion et de la présence dans l'instant. Pour le pratiquer et surtout pour en avoir une compréhension concrète, la méditation est essentielle.
L'enterrement bouddhiste et conception de la mort
De plus, le décès d'un être humain n'est que le début d'une nouvelle existence car le bouddhiste croit à la réincarnation du nom de punarbhava. En fonction de son karma, l'esprit du mort pourra intégrer le corps d'un homme ou d'un animal.