Le stress fait partie intégrante de la compétition sportive. Il est utile. Il sert à mobiliser l'énergie physique et mentale nécessaire à l'accomplissement de performances sportives optimales. Mais il peut aussi avoir des effets nuisibles qui réduisent le potentiel de performance du sportif.
Lorsque nous sommes au-dessus de notre zone optimale, le stress joue un rôle négatif : L'augmentation des tensions musculaires conduit le sportif à dépenser plus d'énergie pour un même effort et peut affecter la coordination. L'attention et la concentration ont tendance à être perturbées.
Durant un exercice physique, des hormones du bien-être, les endorphines, sont libérées. Vous vous sentez mieux, votre degré d'anxiété s'en trouve diminué et votre sommeil apaisé. Le sport permet aussi au cerveau de libérer de la dopamine, un neurotransmetteur qui intervient dans les mécanismes de la récompense.
Les études l'ont démontré, le stress favorise la performance et la mémoire, en plus d'augmenter la vigilance et l'attention, rappelle la directrice du Centre d'études sur le stress humain, Sonia Lupien, professeure titulaire au département de psychiatrie de l'Université de Montréal.
Le sport est bon pour le moral: il procure une meilleure estime de soi, réduit le stress, l'anxiété, la dépression. Ces vertus s'expliquent à la fois par des facteurs physiologiques, biologiques et sociaux.
Le stress désigne le mécanisme psychologique mis en œuvre par l'organisme pour faire face à une situation particulièrement éprouvante ou considérée comme telle. Le stress est un ensemble de réactions de l'organisme lorsque celui-ci est soumis à des contraintes externes.
Bon nombre d'activités sportives ont un effet bénéfique sur le stress : natation, tir, yoga, tai chi, équitation, sports nautiques, etc. Le sport déclenche dans l'organisme la production d'hormones appelées endorphines.
symptômes physiques : douleurs (coliques, maux de tête, douleurs musculaires, articulaires, etc.), troubles du sommeil, de l'appétit et de la digestion, sensations d'essoufflement ou d'oppression, sueurs inhabituelles...
certains troubles cardio-vasculaires comme les palpitations, l'hypertension artérielle, l'angine de poitrine ou même l'infarctus du myocarde. certaines maladies dermatologiques comme l'eczéma, le psoriasis, la chute des cheveux, ou les démangeaisons. certaines infections à répétition comme l'herpès.
On ne peut pas changer les autres, par contre on peut modifier notre perception de l'autre … Apprendre auprès d'un professionnel expérimenté quelques exercices respiratoires très simples, à mettre en place quand les tensions sont présentes. Savoir faire ces quelques exercices au repos, mais aussi pendant l'effort.
En quoi le sport peut-il aider ? Il relâche des neurotransmetteurs qui régulent l'humeur et des hormones comme la dopamine, la sérotonine et les endorphines qui peuvent aider les personnes qui souffrent d'anxiété.
L'organisation de l'avant match doit être bien réalisée.. Les petits "rituels" ( mettre toujours les mêmes chaussettes en match, prendre le même petit-déjeuner, s'échauffer de la même manière...) permettent ainsi de se concentrer, de s'apaiser et donc de mieux maîtriser son stress.
Le stress fait partie intégrante de la compétition sportive. Il est utile. Il sert à mobiliser l'énergie physique et mentale nécessaire à l'accomplissement de performances sportives optimales. Mais il peut aussi avoir des effets nuisibles qui réduisent le potentiel de performance du sportif.
Le stress positif, dit Eustress, est la pression créée naturellement par le corps lorsqu'il s'agit de répondre à de nouveaux stimulus : un nouvel environnement de travail, une tâche qui sort de l'ordinaire ou encore l'arrivée d'un nouveau collègue.
La gestion du stress qu'est-ce que c'est ? Il s'agit d'un ensemble de méthodes et de thérapies qui permettent à un individu de maintenir sous contrôle son niveau de stress. Ces méthodes peuvent être utilisées pour calmer des épisodes de stress ponctuel, ou pour remédier à un problème de stress chronique.
Le stress nous permettrait de nous sentir plus vivant, plus concerné. Il peut avoir pour effet de nous motiver. Attention toutefois à ne pas se laisser envahir au quotidien ! Pour éviter cela, mieux vaut apprendre à gérer son stress.
9 étudiants sur 10 sont stressés durant leurs études
Parmi les causes principales de leur mal-être, on retrouve les études et l'orientation. De fait, plus de 84% se sentent angoissés par les périodes d'examen et 61% par leur orientation.
Le sondage, réalisé par OpinionWay pour la Fondation Ramsay Générale de Santé, montre que le stress est en hausse chez 38 % des Français et qu'il en touche, aujourd'hui, au total, 89 % ! Le stress touche davantage les femmes : 68 % contre 38 % des hommes, et les jeunes de 25 – 34 ans qui sont 57 % à s'en plaindre.
En période de stress, vous pouvez également avoir certains symptômes physiques. Ces signaux envoyés par votre organisme vous alertent sur votre état psychique. Il peut s'agir de maux de ventre aigus, de migraines, de douleurs musculaires et de tensions. Vous pouvez également souffrir de troubles digestifs.
Lorsque nous percevons quelque chose de stressant, il s'ensuit une cascade d'événements biologiques. Il en résulte la sécrétion d'hormones du stress, tels l'adrénaline et le cortisol.
Durant l'effort, le corps sécrète deux hormones : Les endorphines permettent la détente du cerveau et de l'organisme et c'est le principal responsable de cette sensation délicieuse de bien-être post work-out. La dopamine est l'hormone du plaisir (la même hormone sécrétée lorqu'on mange du chocolat).
Baisse de moral : reprendre confiance grâce au sport
Deux types d'efforts permettent de sécréter l'hormone de bonheur qu'on appelle l'endorphine : la course à pied (on peut courir 30 minutes et fractionner avec des exercices alternant les rythmes rapides et les rythmes lents).