Parmi l'ensemble des maladies mentales reconnues par la psychiatrie, la mélancolie est sans doute celle où la souffrance est la plus grande ; en tout cas, elle nous apparaît comme de la souffrance à l'état pur.
La souffrance, ou la douleur au sens large, est une expérience de désagrément et d'aversion liée à un dommage ou à une menace de dommage chez l'individu. La souffrance est l'élément fondamental qui constitue la valence négative des phénomènes affectifs.
Alors qu'aux yeux des chrétiens (que Nietzsche tient pour des masochistes) la douleur est rédemptrice, et promet une vie meilleure dans cette vie, ou après cette vie... En fait, Nietzsche prend la souffrance comme l'occasion de développer l'ingéniosité, la vaillance et la curiosité.
En philosophie, pour Paul Ricœur, la « souffrance » correspond à une crise de l'altérité qui se résume par le terme de « séparation » : « Au plus bas degré s'impose l'expérience vive de l'insubstituable ; autre que tout autre, le souffrant est unique.
La pire des souffrances est celle de ne plus pouvoir aimer. La pire souffrance est dans la solitude qui l'accompagne. Notre pire souffrance n'est-elle pas de ne pouvoir imaginer l'endroit où ceux que nous aimons nous évitent ? La souffrance est pire dans le noir ; on ne peut poser les yeux sur rien.
Quelqu'un ayant une tendance masochiste recherchera des situations dans lesquelles il se trouvera humilié, aura mal ou sera en difficulté. Il aura une forme de plaisir à être confronté à ces situations.
“Ce qui ne me tue pas me rend plus fort”. Cette phrase, c'est Nietzsche qui l'écrit en 1888 dans Crépuscule des idoles.
La souffrance est empreinte de bienfaits, car elle nous permet de guérir et d'évoluer. On doit tout simplement se permettre de la ressentir et de prendre l'information qu'elle nous offre exactement pour ce qu'elle est: le point de départ du moment présent.
Pour Nietzsche, non seulement la souffrance est-elle nécessaire et inévitable, mais elle nourrit aussi le savoir et la connaissance. Il soutient que la sagesse est dans la douleur comme elle est dans le plaisir.
Un chagrin d'amour est généralement associé à une souffrance psychique que l'on éprouve lorsqu'une relation sentimentale se termine, ou lorsqu'elle ne se déroule pas comme nous le souhaitons (rejet, trahison, abandon, manque de respect...).
La souffrance est l'expression de la douleur, un état spécifique de détresse qui met à mal l'intégrité de la personne. Qu'elle soit physique ou psychique, la manière dont elle est ressentie reste difficile à saisir et peut, si on perd la capacité à réagir, plonger la personne dans un abîme de solitude et de mal-être.
Les principales causes de souffrance sont les maladies (dépression, maladies psychiques ou physiques). Mais aussi l'isolement qu'il soit social, familial ou lié à une séparation affective. Enfin, de nombreuses femmes citent également des violences (sexuelles ou autres).
Le rôle des hormones dans la perception de la douleur
Chez les femmes, ce déséquilibre est d'autant plus vrai que les hormones féminines fluctuent au cours du cycle menstruel. À stimulation douloureuse égale, les femmes ressentiraient donc plus la douleur que les hommes.
La prévalence de la douleur est généralement plus élevée chez la femme, son seuil et sa tolérance à ce symptôme plus bas. L'interprétation du phénomène douloureux, son vécu et les stratégies d'adaptation pour y faire face diffèrent également entre hommes et femmes.
L'amour, ça rend angoissé
L'amour rend angoissé en diminuant la sécrétion de sérotonine, neurotransmetteur qui baisse notre anxiété et augmente notre sentiment de contrôler les situations. Or c'est précisément en ayant le sentiment de perdre le contrôle des choses que l'angoisse trouve sa source !
angoisse ; • sentiment de tristesse, pleurs ; • sentiment d'inutilité ; • sentiment de ne pas être écouté ; • état dépressif ; • envie de mourir ; • troubles du sommeil.
Du soutien psychologique à l'hypnose, en passant par la kinésithérapie, la relaxation, ou encore la méditation de pleine conscience, les soins non médicamenteux – en complément des médicaments antalgiques et des traitements du cancer – permettent d'apporter un bien-être physique mais aussi moral.
La méditation est une pratique de libération : elle permet de libérer l'esprit de ses mécanismes destructeurs. Lorsque l'on parle de méditation comme pratique de transformation de l'esprit, on dissout la souffrance.
Le proverbe ce qui ne tue pas rend plus fort est souvent choisi comme devise ou comme tatouage par des personnes qui ont traversé des épreuves mais qui s'en sont relevées.
Locution-phrase
Quiconque peut effectuer des tâches laborieuses et difficiles est capable d'en exécuter des plus aisées.
Être nymphomane, qu'est-ce que c'est ? – La nymphomanie est un trouble du désir rare, se caractérisant par un besoin indispensable d'avoir des rapports sexuels. Jamais satisfaite, la nymphomane recherche constamment des sensations de plaisir vis-à-vis desquels elle est entièrement dépendante.
Définition de je-m'en-foutiste
1. Déviation sexuelle, liée à une pulsion d'autodestruction, dans laquelle le sujet ne trouve le plaisir que dans la douleur physique et les humiliations qui lui sont infligées. 2. Comportement de quelqu'un qui semble rechercher les situations où il souffrira, sera mal, en difficulté, etc.