Nous l'avons vu, il se développe dans l'ovaire tous les mois un follicule de 20 à 25 mm qui se rompra au 14e jour du cycle pour permettre l'ovulation et la transformation du follicule en corps jaune. Ce phénomène peut être douloureux ou dépasser les tailles habituelles pour atteindre 30 à 50 mm.
La plupart des kystes fonctionnels mesurent < 1,5 cm de diamètre; quelques-uns dépassent 5 cm. Les kystes fonctionnels guérissent habituellement spontanément après plusieurs jours ou semaines. Les kystes fonctionnels sont peu fréquents après la ménopause.
S'il n'y a pas de rupture du follicule, le petit sac peut persister et devient alors un kyste fonctionnel qui peut atteindre 3 à 5 cm. C'est généralement la conséquence d'une activité ovarienne excessive au cours du cycle menstruel.
Pour éviter les complications, il convient de ne pas reporter vos examens gynécologiques réguliers et de prendre rendez-vous avec votre médecin si vous présentez l'un des symptômes suivants : Cycles menstruels irréguliers. Sensation de pression dans le bassin. Sensation de ballonnement dans l'abdomen.
En cas de complications ou en présence d'un kyste de l'ovaire organique, une ablation chirurgicale est préconisée : kystectomie ou salpingo-ovariectomie. Lorsque le kyste organique est séreux, il peut être ponctionné.
La grande majorité des kystes ovariens sont dits fonctionnels et disparaissent avec le temps, sans traitement. Toutefois, certains kystes peuvent se rompre, se tordre, grossir beaucoup et entraîner des douleurs ou des complications.
Les kystes de la peau sont habituellement sans douleur. Si le kyste crève et s'infecte, il peut devenir enflé et douloureux, prendre une apparence rougeâtre et devenir sensible au toucher.
"Les kystes ne provoquent souvent aucun symptôme mais s'ils compriment les racines nerveuses, les kystes de Tarlov sont alors responsables de douleurs du sacrum dans le bas du dos, dans les fesses, le bassin et les jambes. "
Certains cancers sont dits silencieux. Ils ne présentent aucun symptôme jusqu'à un stade avancé de la maladie. Le diagnostic est donc tardif, ce qui a un impact sur les chances de guérison. C'est le cas du cancer de l'ovaire et du cancer colorectal.
« Un kyste bénin peut causer un inconfort ou peut s'infecter, mais il ne causera pas d'autres problèmes. Il ne se répandra pas », explique le pathologiste François Gougeon. La seule exception : les tumeurs kystiques sur les ovaires et les reins, qui ont l'aspect d'un kyste, mais qui sont une tumeur maligne.
L'échographie endovaginale
L'échographie est un examen central pour orienter le diagnostic de cancer de l'ovaire. Elle est généralement réalisée par voie endovaginale : la sonde est introduite dans le vagin. Elle permet de visualiser un éventuel kyste dans un ovaire ou dans les deux et d'en préciser la nature.
Lorsqu'il est diagnostiqué, le kyste organique de l'ovaire doit être traité car des complications peuvent survenir, provoquant des douleurs pelviennes souvent intenses et demandent un traitement urgent.
Les kystes fonctionnels de l'ovaire sont les plus fréquents (90 % des cas). Ils sont dus à un « dérèglement hormonal » qui provoque la transformation d'un follicule ou d'un corps jaune physiologique en kyste.
La chirurgie
Dans la plupart des cas, l'opération est réalisée par cœlioscopie sous anesthésie générale. Elle consiste à ouvrir la coque ovarienne, à disséquer le kyste et à l'extraire pour obtenir une analyse fiable. Exceptionnellement, l'on procède à une laparotomie ou ouverture de l'abdomen.
Dans le cas où il existe de nombreux kystes, un traitement hormonal mettant les ovaires au repos pendant 6 à 9 mois permet d'obtenir une diminution de la taille des kystes.
Ainsi, les adénomes sont parfois cancéreux mais dans la grande majorité des cas, ils sont bénins. Parmi eux, on classe les polypes du colon, les adénomes du canal biliaire, et les adénomes hépatiques ; Fibromes se développent sur les tissus connectifs ou fibreux et surtout sur ou autour de l'utérus.
le cancer du poumon (1,80 million de décès) ; le cancer colorectal (916 000 décès) ; le cancer du foie (830 000 décès) ; le cancer de l'estomac (769 000 décès) ; et.
Les signes et symptômes du cancer de l'ovaire comprennent ceux-ci : saignements vaginaux anormaux (par exemple, saignements abondants, irréguliers ou survenant entre les menstruations), en particulier après la ménopause. pertes vaginales fréquentes et claires, blanches ou teintées de sang.
Les symptômes caractéristiques du cancer de l'ovaire
Les troubles gynécologiques : perturbation des règles, saignements ou pertes vaginales anormales, tensions dans les seins... ; Les perturbations locales liées à la masse tumorale : les douleurs pelviennes, abdominales, les lombalgies, les envies urgentes d'uriner...
L'extrait de fenugrec s'est révélé efficace pour améliorer les symptômes du SOPK, ainsi que le taux de LH, effet qui s'amplifiait à mesure que l'on avançait dans le traitement. Citons aussi le tribulus ou le lin, qui semblent avoir de multiples activités bénéfiques sur le SOPK.
Ils sont douloureux et ont tendance à retarder les règles. Pendant celles-ci, ils régressent mais peuvent récidiver lors des cycles suivants. Certains kystes ovariens dits organiques sont permanents et ne disparaissent pas avec une contraception orale.
Les kystes ovariens peuvent aussi se rompre et provoquer un saignement intrapéritonéal causant une douleur pelvienne.
La visualisation du pédicule lombo-ovarien en IRM et scanner confirme la nature ovarienne du kyste. Les critères macroscopiques de malignité de la littérature sont excessivement variés, taille lésionnelle importante, bilatéralité, portion solide, végétations, critères de dissémination péritonéaux ou ganglionnaires.
Un kyste infecté peut se rompre spontanément pour laisser s'écouler le sébum qu'il contient. En cas d'infection, un traitement antibiotique (par voie orale ou locale) doit être mis en place avant un retrait chirurgical du kyste.