Salut, Calcul grossier : la température moyenne annuelle en france est d'à peu près 13°C, on va supposer à une altitude de 200m. En prenant un gradient de température de -6,5°C/1000m, ça donne une moyenne de 0°C à 2200m.
Les conditions sont anticycloniques avec une pression au sol supérieure à 1025 hpa. La température prévue vers 1500 m est de +11°C.
En altitude la température baisse d'environ 6°C tous les 1000 m. Ainsi à 4000 m, il faut s'attendre à une température voisine de zéro même en plein été.
La température augmente. À quelque 50 kilomètres d'altitude, la température retrouve ainsi les 0 °C. Dans la mésosphère -- jusqu'à 80 kilomètres d'altitude -- comme dans la troposphère, en revanche, la température descend avec l'altitude et peu atteindre quelque -75 °C.
Si l'on prend une valeur standard de 15 °C pour la surface, le mercure à 5000 mètres afficherait alors -17,5 °C.
Pourtant c'est un niveau qui a, lui aussi, toute son importance pour la compréhension des phénomènes météorologiques. Au-dessus de nos régions, on peut dire que la moyenne des températures à cet altitude est d'environ -13/-14°C en hiver et légèrement inférieure à 0°C en été.
Vers 15000m, le différentiel de température a atteint 69°C.
Ce n'est bien sûr pas le cas : à 8000 m, il peut faire -30°C, et de nombreux alpinistes ont eu des doigts gelés ou sont morts de froid.
Températures minimales de 2 à 6 °C en plaine, 1 °C à 1 000 m. Températures maximales : de 12 à 15 °C en plaine, 10 °C à 1 000 m, 6 °C à 2000 m.
1/ Il fait froid en montagne en été
Sauf que 22°, c'est toujours plus chaud que la température moyenne estivale de Saint-Brieuc en Bretagne (21°) par exemple ! D'autres phénomènes entrent en ligne de compte également : le soleil tape plus fort en altitude !
Dans l'Univers la température atteint -272°C
La température la plus basse possible théoriquement est le zéro absolu à -273,15 °C. À cette température, les atomes ne bougent plus ! Même dans l'espace, loin de toute étoile, on ne peut pas descendre aussi bas.
Cet air doux monte soudainement en altitude, et vient piéger l'air froid encore présent, plus bas. Cet air froid est surmonté par une colonne d'air plus chaud, c'est ce qu'on appelle l'inversion.
à la tropopause et à la basse stratosphère, entre 11 et 20 km d'altitude, la température est constante et vaut −56,5 °C ; dans la moyenne stratosphère, entre 20 et 32 km , l'air se réchauffe linéairement de +1 °C par km, sa température atteint donc −44,5 °C à 32 km d'altitude.
Tout est question de pression atmosphérique. Plus on s'élève, plus la pression de l'air diminue. Si la pression est plus faible, alors l'air se dilate pour conserver le même volume, ce qui va lui coûter de la chaleur, donc il se refroidit. L'air perd en moyenne 1 degré tous les 100 mètres.
La donne change en montagne où, même en été, il est impératif de descendre la température de confort entre 5°C et -5°C en fonction de l'altitude. En hiver, -15°C et -25°C/-35°C sont des minimums respectivement pour la moyenne et haute montagne.
La masse d'air tiède reste coincée entre la montagne et la masse d'air frais qui avance. Cela provoque des précipitations abondantes sur le versant au vent.
Tout en haut des hautes montagnes, l'air est très froid ! L'eau ne fond pas et reste sous forme de neige. En revanche, lorsqu'une montagne n'est pas très haute, la neige fond au printemps en créant des torrents. On appelle ça, la fonte des neiges.
Le climat montagnard est un climat propre aux régions de forte altitude. Il est donc caractéristique, en France métropolitaine : des Alpes, du Jura, des Vosges, du Massif central, des Pyrénées.
Une question de pression
Ainsi, pour chaque pallier de 300 mètres d'altitude, l'eau bout environ un degré plus bas. Par exemple, l'ébullition a lieu à 93° à 2000 mètres, à 85° au sommet du Mont-Blanc, et à 72° à la pointe de l'Everest – et elle ne deviendra pas plus chaude.
La température d'ébullition est la température maximale que peut atteindre le liqude sous une pression donnée. Si la pression est inférieure à la pression atmosphérique "normale", la température d'ébullition de l'eau ,par exemple, sera inférieure à 100°C. Elle sera par contre plus élevée sous une pression plus forte.
Sauf que les choses ne sont pas si simples : l'eau ne bout à 100 degrés que si elle est pure et à la pression atmosphérique du niveau de la mer. L'ébullition, c'est lorsque les molécules sont tellement excitées par la chaleur qu'elles perdent le contact entre elles et forment de la vapeur.