Le kimono (着物, kimono, de kiru et mono, littéralement « chose à porter [sur soi] ») est le vêtement traditionnel japonais. Il est souvent confondu, à tort, avec les vêtements d'entraînement des arts martiaux (keikogi, en particulier judogi ou karategi).
Le kimono (着物, « chose que l'on porte sur soi ») est un vêtement traditionnel japonais et même le vêtement national du pays. À l'origine, le terme kimono est utilisé pour tous types de vêtements.
La mode vestimentaire japonaise, en plus d'être très élégante et raffinée, a l'avantage d'être extrêmement confortable. Ainsi, le kimono, le yukata ou encore le jinbei sont très agréables à porter comme vêtement d'intérieur, surtout en été.
Dérivé des mots ki ("porter") et mono ("chose"), le kimono est un vêtement traditionnel japonais. Les kimonos existent dans toute une gamme de styles et de motifs. Ils sont généralement cousus à la main en forme de "T" à partir de quatre pièces de tissu appelées tans et attachés avec un obi, ou ceinture.
Les hommes portent le kimono le plus souvent aux mariages, aux cérémonies du thé et à d'autres occasions très spéciales ou très officielles. Les lutteurs professionnels de sumo sont souvent vus dans le kimono parce qu'ils sont tenus de porter des vêtements traditionnels japonais lorsqu'ils se présentent en public.
Le kimono blanc :
Shiro pour les Japonais, la couleur blanche symbolise la pureté. Ainsi, les kimonos blancs sont considérés comme des tenues réservées aux prêtres et pour les cérémonies religieuses. C'est une couleur sacrée qui est associée à la divinité et à la consécration.
Un haori est une veste japonaise qui se porte au-dessus du kimono.
Le kimono des geishas est porté avec l'obi, ou la ceinture de soie qui accompagne généralement les habillements nippons. L'obi se ferme par un nœud dans le dos, c'est très important, car cela permettait de les différencier des prostituées qui nouaient la ceinture de leur habit sur le devant.
Fierté et motivation. Le port de l'uniforme contribue à pousser les gens à remplir leur rôle à l'école ou au travail en faisant appel à leur fierté.
ORIGINES ET HISTOIRE DU KIMONO. Les premières traces du kimono apparaissent bien sûr au Japon, au VIIème siècle tandis que le Japon est sous influence chinoise. À cette époque, il s'appelle kosode, il s'agit d'un sous-vêtement que l'on porte avec un pantalon, une jupe longue ou une grande veste large.
Le rose est LA couleur préférée des Japonaises, et des Japonais aussi. Dans un billet publié en juillet dernier sur The Japan Times, la blogueuse Amy Chavez parle même d'une "obsession nationale du Japon pour la couleur rose".
Le noren, rideau traditionnel japonais. Si vous êtes déjà venus au Japon, vous avez surement déjà remarqué de petits rideaux accrochés sur les devantures qui rappellent les rideaux bistrot de chez nous. Il s'agit de noren, des décorations à la fois intérieures et extérieures qui habillent les rues nipponnes.
L'Irezumi est le style de tatouage traditionnel japonais qui consiste à recouvrir une large partie du corps ou parfois le corps en entier. Les dessins s'arrêtent au poignet et à la cheville pour être facilement dissimulés par des vêtements, comme ceux des yakusa.
En japonais, il existe trois types de caractères : les hiragana, les katakana et les kanji. Les hiragana et les katakana sont des symboles phonétiques. Chacun représente une syllabe. Les kanji sont des idéogrammes qui ont chacun leur sens propre.
Le Cheongsam, également connu sous le nom de Qipao, est le vêtement porté par les femmes Mandchoues durant la dynastie Qing. Ce sont, sans aucun doute, les vêtements pour femmes chinoises les plus célèbres au monde. Fondamentalement, un Qipao est un vêtement très ample qui peut cacher la forme du corps d'une femme.
Entre hygiène et politesse. La première raison avancée sur pourquoi enlever ses chaussures est également la plus évidente est tout simplement d'ordre hygiénique et sanitaire. Le Japon a un climat avec des températures et un taux d'humidité élevés.
En effet, la barbe que nous affectionnons tant est très mal vue au Japon. Elle symbolise la violence, l'esprit rebelle et reste, encore aujourd'hui, interdite dans de nombreuses entreprises. Comment la barbe, autrefois symbole de puissance, a fini par être bannie de la société nippone ?
Les Geta sont en effet des chaussures japonaises. Littéralement, ce nom signifie « supporter les pieds ». Elles sont fabriquées pour permettre aux personnes qui les portent de prendre de la taille.
Elles n'ont pas le droit de se marier ni d'avoir des enfants, mais elles peuvent se choisir un amant (ou plusieurs), sans forcément qu'il s'agisse d'un client. «Certains Japonais se figurent que les geikos continuent d'avoir un danna, un protecteur riche, explique Komomo. Mais ce n'est plus forcément nécessaire.
Les Geishas sont célèbres pour le maquillage blanc de leur visage, symbole de pureté. La poudre qu'elles appliquent, par-dessus une huile à base de camomille et de clous de girofle appelée bintsuke-abura, est obtenue après broyage de grains de riz.
Un chignon de cheveux lisses noirs, réalisé par un coiffeur pour une semaine (les geishas dorment pour cela sur un repose-nuque !), ou une perruque.
Le kimono , qui signifie littéralement « chose que l'on porte sur soi », est à l'origine le vêtement traditionnel japonais. Dans les arts martiaux , le kimono est la tenue officielle de combat, composée d'une veste et d'un pantalon de coton blanc le plus souvent.
Au judo, il y a 2 couleurs de judogi : blanc (le kimono de judo que tout le monde connait) et le bleu (destiné à différencier les combattants lors des compétitions).
Le judogi : la tenue de judo
Les vêtements de Judo que l'on appelle également judogis sont composés d'un pantalon et d'une veste tenue par une ceinture appelée obi.