La connaissance est un rapport actif au monde qui vise à s'en faire une représentation et à l'expliquer. Cette activité associe généralement l'action et la réflexion. Il existe divers types de connaissances plus ou moins efficaces, plus ou moins fiables et réalistes.
Au niveau des sens externes la connaissance est donc une véritable prise de possession du monde extérieur l'enfant se rend compte que quelque chose existe ; il apprend à différencier les objets, à les identifier, à s'orienter dans l'espace et le temps ; il apprend aussi à nommer les objets et à s'en servir.
L'objet de la connaissance constitue en quelque sorte une limite jamais atteinte. Par ailleurs, le sujet lui-même n'est pas donné une fois pour toutes. Il évolue au contact de la réalité, il élabore de nouveaux instruments de connaissance qui modifient, à des degrés divers, sa manière d'appréhender l'objet.
But et mode de la connaissance scientifique
Les buts de la science sont d'expliquer, prédire et, éventuellement, contrôler les phénomènes naturels.
Action, fait de comprendre, de connaître les propriétés, les caractéristiques, les traits spécifiques de quelque chose : La connaissance de la nature. 2. Opération par laquelle l'esprit humain procède à l'analyse d'un objet, d'une réalité et en définit la nature : Connaissance intuitive.
La connaissance de soi nous permet de prendre conscience de nos besoins, nos valeurs, nos aptitudes particulières, nos limites, de ce qui nous inspire, nous fait vibrer, ce qui nous rend heureux(se) ou pas,...
Une base de connaissances n'est pas simplement un espace de stockage de données, mais peut être un outil d'intelligence artificielle pour prendre des décisions intelligentes. Diverses techniques de représentation des connaissances, notamment les cadres et les scripts, représentent les connaissances.
La théorie de la connaissance s'intéresse à la transmission des savoirs d'un individu sachant vers un individu ou un collectif apte et volontaire pour apprendre.
Article détaillé : Anthropologie. Pour l'anthropologue, la première connaissance est celle que les hommes ont d'eux-mêmes et de leur environnement, et qui, dans les sociétés primitives, assure leur survie quotidienne. C'est aussi cette connaissance qui structure le groupe humain.
Tardif (1992) affirme que les trois catégories de connaissances portent respectivement sur les faits, les règles et les principes (déclaratives), le comment faire (procédurales), et le quand et pourquoi (conditionnelles).
Connaissance : Bachelard définissait la connaissance comme la réponse à une question. Cela signifie que la connaissance s'élabore par les scientifiques qui posent les bonnes questions, expérimentent et font des conclusions transmises à d'autres individus.
La connaissance ne réside pas dans le contenu, elle réside dans la méthode par laquelle on accède à ce contenu. Dans le Ménon, Socrate illustre cette différence par une analogie : celle de deux hommes qui doivent se rendre à une même destination (Larisse, une ville située au nord d'Athènes).
Dévoilez-vous progressivement. Parlez de vous, dévoilez-vous peu à peu pour attiser la curiosité de l'autre et l'inviter à vous interroger sur ce qui vous passionne. Répondez honnêtement aux questions tout en gardant un esprit positif avec un peu de mystère pour vous faire désirer.
La connaissance acquiert du même coup une valeur privilégiée, puisque loin d'être abstraite ou relative, elle nous unit à l'être même, dans son intimité et dans sa vérité absolues.
La définition traditionnelle suggère donc que lorsqu'une croyance s'appuie sur des bonnes raisons, et qu'elle est vraie, alors c'est une connaissance.
Connaître, c'est être capable de se ressouvenir. Platon admet que l'on ne peut pas chercher ce que l'on ne connaît absolument pas, et qu'il n'est possible de chercher que ce que l'on connaît d'une certaine manière.
Les limites constructives sont relatives à l'impossibilité de construire un discours scientifique qui échappe à tout doute et qui repose sur des fondements sûrs. Les limites prédictives montrent l'impossibilité de prévoir certains phénomènes avec une précision arbitraire sur une échelle de temps indéterminée.
La meilleure connaissance est celle qui mène les hommes vers les hommes.
La connaissance de soi met alors à jour notre identité-ipsé, c'est-à-dire notre dignité morale qui nous élève au-delà de ce que la nature fait de nous. Chercher à se connaître sert donc rien de moins que la réalisation de notre humanité.