Les meilleurs oiseaux de proie peuvent valoir plus de 200.000 euros.
En France, la capture et la détention d'animaux sauvages sont interdites, surtout quand il s'agit d'espèces protégées comme les rapaces. La seule possibilité, pour qu'un particulier en possède un, est qu'il pratique la fauconnerie.
Certains Faucons pèlerins ont vécu jusqu'à 18 ou même 20 ans, mais la longévité moyenne est généralement beaucoup plus courte. Traditionnellement, la femelle est appelée « forme » alors que le mâle est appelé « tiercelet ».
La première chose à faire est d'obtenir un permis de chasse, accompagné d'un certificat spécifique pour utiliser un oiseau de proie. Une autorisation pour détenir et transporter un rapace est également nécessaire. Ensuite, des stages chez les professionnels sont fortement recommandés.
Le salaire du fauconnier dépend de ses missions et de son statut. Dans un lieu de divertissement, il peut gagner environ 1600 €. En travaillant pour l'armée de l'air, le salaire varie en 1300 € à l'entrée de l'école aviateur jusqu'à 1400 € à la suite de l'obtention du grade de caporal-chef.
Les meilleurs oiseaux de proie peuvent valoir plus de 200.000 euros.
Le faucon pèlerin est spécialisé dans la prédation des oiseaux petits et moyens qu'il attaque généralement en exécutant des piqués à grande vitesse et qu'il saisit en plein vol. Son seul véritable prédateur est le grand-duc d'Europe.
Ses principaux prédateurs, à part l'homme, sont les grands rapaces, tels les aigles, le Hibou grand-duc (Bubo bubo) ou de grands faucons comme le Faucon gerfaut (Falco rusticolus). Certains mammifères prédateurs, tels les chats sauvages, les gloutons ou les renards peuvent aussi à l'occasion se saisir d'un faucon.
On parle ici de 1000 à 10 000 dollars pour l'oiseau, même chose pour la volière, et entre 1500 et 3000 dollars pour l'équipement de base.
Les seuls maîtres fauconniers travaillent généralement sur les pistes d'aéroports, les bases militaires et les entreprises de traitement de nuisibles pour faire fuir les autres animaux ou dans les parcs d'attraction et les zoos pour réaliser des spectacles.
Comme tous les falconidés, les crécerelles ne construisent pas de nids mais sont très éclectiques dans le choix de leurs sites de nidification, essentiellement des plates-formes ou des cavités dans les falaises ou bâtiments, ou d'anciens nids, surtout de corvidés, dans des arbres ou des pylônes électriques.
Vous pourrez aussi attirer des faucons crécerelle chez vous en construisant un nid en bois et en lui choisissant un emplacement en hauteur, et avec une vue dégagée afin que les parents puissent surveiller leur progéniture à distance.
Il ne faut surtout pas le nourrir ni l'abreuver les 24 premières heures, cela aggraverait son état et risque de le tuer. Calme, chaleur, obscurité. Nourrissage après 24 heures, par toutes petites quantités de coeur de boeuf plusieurs fois dans la journée (3 fois le premier jour, 6 les suivants).
Aucun diplôme n'est nécessaire pour devenir fauconnier. Métier très rare, il est généralement accessible après avoir été formé par un maître fauconnier, par exemple dans un parc animalier, ou en suivant une formation spécifique dans l'armée de l'air.
Les faucons appartiennent à l'ordre des accipitriformes, ou falconiformes, qui regroupe les oiseaux de proie, des chasseurs redoutables, dont le faucon crécerelle et le faucon pèlerin sont les espèces les plus répandues en France.
Son envergure atteint 1,35 m pour une longueur de 51 à 56 cm et son poids varie généralement entre 1 et 1,6 kg : c'est le plus grand et le plus lourd de tous les faucons.
Le petit du faucon est appelé fauconneau.
Le faucon pèlerin se nourrit principalement d'oiseaux, les mammifères ne constituant qu'une infime partie de son régime alimentaire. Il s'attaque à plusieurs espèces d'oiseaux : geai bleu, carouge à épaulettes, pigeons bisets, étourneaux sansonnets, etc.
Au sens strict, un fauconnier est le professionnel chargé de s'occuper des rapaces, qu'il s'agisse de faucons, de buses, d'éperviers, d'aigles, de chouettes… En parcs animaliers, ces soigneurs peuvent avoir affaire à d'autres types d'oiseaux et gèrent en plus l'entretien et l'aménagement de la volière.
Comme tous les faucons, il ne bâtit pas de nid, mais réutilise celui d'autres oiseaux, généralement des corvidés, ou exploite des sites existants, que ce soit sur une vire de falaise, dans un creux d'arbre ou dans un bâtiment, d'où le nom fréquemment donné en Europe de « faucon des tours ».
Les Aigles royaux sont des oiseaux superprédateurs, les adultes en bonne santé ne connaissant pas de prédateurs.
PRÉDATEURS. Certes, le grand corbeau pille parfois l'aire de l'aigle et n'hésite pas à le harceler en vol, tout comme les chocards (bien souvent appelés à tort « choucas ») et autres craves ou faucons. Mais, le seul ennemi avéré de l'aigle est l'homme.
Avec son corps fuselé et sa large poitrine, le faucon pèlerin bat tous les records de vitesse… lorsqu'il est motivé. En moyenne, il plane à 90 km/h, ce qui n'est pas très spectaculaire, mais, quand il effectue des descentes en piqué pour attraper des proies en vol, il est capable de doubler voire quadrupler sa vitesse.