On démontre pourquoi, pour une hyperbole d'équation générale x^2/a^2-y^2/b^2=1, la distance focale est telle que f^2=a^2+b^2. Créé par Sal Khan.
d = FK = b2/c . L'hyperbole est dite équilatère lorsque a = b, soit , c'est-à-dire lorsque les asymptotes sont perpendiculaires. L'hyperbole d'excentricité 2 est une trisectrice.
En effet, il s'agit d'une «figure de style consistant à mettre en relief une notion par l'exagération des termes employés», d'après la définition donnée par le Trésor de la langue française. L'hyperbole est par définition le contraire de la litote, qu'on utilise pour laisser entendre plus qu'on ne dit.
Plusieurs procédés sont utilisés pour produire une hyperbole : la comparaison. Par exemple : blanc comme la neige; bleu tel le ciel; il ressemble à son père. Fermer l'infobulle (irréaliste), la métaphore. Par exemple : « Qu'est devenu mon cœur, navire déserté? » (Nelligan).
Alors l'aire comprise entre b et ab est A (ab) – A(b) et cette aire est égale à A(a) (En utilisant les approximations par les rectangles). 3. On définit alors la fonction ln par : pour tout réel a strictement positif : Si a > 1, ln a = A(a) . Si a < 1 , ln a = – A(a) .
Soit la parabole P d'équation : y=ax^2+bx+c, courbe représentative de la fonction f.
Définition de hyperbole nom féminin
Figure de style qui consiste à exagérer l'expression pour mettre en relief une idée (ex. « un nain » pour « un homme petit »). ➙ emphase, exagération.
L'hyperbole est la principale figure de l'exagération. Elle exagère l'expression d'une idée ou d'une réalité -le plus souvent une exagération qui tend vers l'impossible- pour la mettre en relief. Elle fait appel aux superlatifs, accumulations de mots, comparaisons… Son pouvoir évocateur frappe l'imagination du lecteur.
Figure de rhétorique consistant à mettre en relief une idée en employant des mots qui vont au-delà de la pensée. (Ainsi, dire un pygmée pour qualifier un homme de petite taille.)
litote n.f.
Figure de style consistant à atténuer l'expression.
Procédé stylistique qui consiste à exagérer l'expression. Synonyme : enflure, exagération.
Une équation de droite se présente sous la forme : y = ax + b avec a le coefficient directeur et b l'ordonnée à l'origine. Ici b = 0, car la droite coupe l'axe des ordonnées au point 0. Pour déterminer a, il suffit de se placer sur le point correspondant à l'ordonnée à l'origine (b).
Une équation est une égalité entre deux expressions mathématiques, donc une formule de la forme A = B, où les deux membres A et B de l'équation sont des expressions où figurent une ou plusieurs variables, représentées par des lettres.
Une équation est une égalité où les valeurs d'un ou de plusieurs nombres sont inconnues. Ces valeurs inconnues sont remplacées par des lettres. Par exemple, x + 2 = 6 est une équation. L'inconnue est.
Les sommets d'une ellipse sont les 4 points situés à ses extrémités. Les sommets d'une hyperbole sont les points situés à l'extrémité de chacune des branches. Le sommet d'une parabole est le point situé à son extrémité.
On utilise souvent d'autres figures de style pour construire une hyperbole comme la métaphore ou la comparaison. Ainsi, dire que quelqu'un est un « géant », c'est recourir à une métaphore mais aussi faire une hyperbole puisque l'on grossit démesurément le trait pour mettre en valeur la taille de la personne.
La métaphore permet d'exprimer ce qui est réel sous la forme d'une image : elle est constituée de deux éléments le comparé et le comparant. «Ma jeunesse ne fut qu'un ténébreux orage», écrit Baudelaire dans L'Ennemi.
En mathématiques, une hyperbole est une courbe plane obtenue comme la double intersection d'un double cône de révolution avec un plan. Elle peut également être définie comme conique d'excentricité supérieure à 1, ou comme ensemble des points dont la différence des distances à deux points fixes est constante.
Un cercle dont le centre est situé à (5, 9) et le rayon de 10 aura l'équation ( x − 5 ) 2 + ( y − 9 ) 2 = 10 2 qui est également égale à ( x − 5 ) 2 + ( y − 9 ) 2 = 100 .
Propriété : L'équation a x + b y + c = 0 avec a ≠ 0 ou b ≠ 0 est l'équation d'une droite d et, réciproquement, toute droite d a une équation du type a x + b y + c = 0.
Si l'équation de la trajectoire est de la forme (a et b ∈ R) : * Y = aX + b l'équation d'une droite, la trajectoire est rectiligne (ou droite) donc le mouvement est rectiligne; * Y = aX2 + b l'équation d'une parabole ; * (X - a)2 + (Y - b)2 = R2 l'équation d'un cercle de rayon R et de centre O (a,b) dans le repère, ...
Appellé «le dernier théorème de Fermat», cette équation avait été posé en 1637 par le mathématicien français Pierre Fermat.
Il existe, dans ce contexte, deux grandes familles d'équations, les cartésiennes et les paramétriques. L'analyse étudie des équations du type f(x) = 0, où f est une fonction ayant certaines propriétés comme la continuité, la dérivabilité ou encore le fait d'être contractante.
Dans une équation de réaction, les formules chimiques des réactifs sont indiquées à gauche du signe égal (=) et les formules chimiques des produits sont indiquées à droite de ce même signe. Remarque : lorsqu'une équation de réaction est écrite avec le signe (=), la réaction chimique n'est généralement pas orientée.
Pour déterminer l'équation réduite de la forme y = mx + p d'une droite (d) à partir des coordonnées de deux points A et B appartenant à (d) : calculer la valeur du coefficient directeur m à partir de la relation ; calculer la valeur de l'ordonnée à l'origine p en utilisant les coordonnées du point A ou B.