Tristan et Iseut est la légende fondatrice de l'amour courtois. L'histoire est connue. Orphelin, mais vaillant, Tristan de Loonois est recueilli par son oncle le roi Marc, et aussitôt haï par les barons de Cornouailles. Il accomplit des exploits guerriers et son oncle l'envoie chercher une fiancée au-delà des mers.
L'amour est impossible : parce qu'il se définit souvent hors mariage, empêché par des séries d'obstacles politiques ou sociaux insurmontables, l'amour courtois ne peut se réaliser. C'est d'ailleurs ce qui lui fournit sa tonalité lyrique : la « maladie d'amour » est un thème récurrent de la littérature courtoise.
Tristan mourant se réfugie dans le château de son ami Dinas. Là, la reine vient lui dire un dernier adieu et ils meurent ensemble, dans une violente étreinte – Tristan serre Iseut dans ses bras jusqu'à lui faire éclater le cœur pour qu'elle l'accompagne dans la mort, il lui épargne le suicide.
Un jour que Tristan harpait dans la chambre d'Iseut, une dénonciation aver¬ tit le mari de celle-ci, le roi Marc, qui accourt et frappe Tristan d'une lance empoisonnée. Blessé à mort, Tristan se réfugie au château de Dinas, et obtient d'y revoir une dernière fois son amante.
Tristan et Iseult est un mythe* venu de Cornouailles (une région du sud-ouest de l'Angleterre). Les plus anciennes versions de ce mythe datent de 1170 environ. En 1173, deux romans ont été écrits par Béroul et Thomas, deux trouvères (des personnes qui vont de cour en cour pour réciter des histoires).
Et quand le fuyard lui eut montré la route, Tristan le relâcha. Le monstre approchait. Il avait la tête d'une guivre, les yeux rouges et tels que des charbons embrasés, deux cornes au front, les oreilles longues et velues, des griffes de lion, une queue de serpent, le corps écailleux d'un griffon.
Il vient en Cornouailles pour recueillir le tribut (ce tribut réclamé à Marc'h consistait en 600 jeunes gens vierges âgés de 15 ans, 300 garçons et 300 filles), mais Tristan s'engage à combattre le champion sur une île près de Saint Samson de Cornouailles, afin de libérer son peuple de la dette.
Il est le héros masculin de la légende arthurienne de "Tristan et Iseut". D'origine cornique, il est l'un des chevaliers de la Table ronde. Il est le fils de Blanchefleur et Rivalen (ou dans les versions ultérieures Isabelle et Meliodas), et le neveu du roi Marc de Cornouailles.
1) La ' Cornouaille ', avec les arrondissements de Quimper, Quimperlé et Châteaulin (Finistère). 2) Le diocèse de Léon (appelé ' Leonois ' dans les textes français), qui est le pays natal de Tristan.
Dans la légende Tristan et Iseut, Tristan est le neveu du roi Marc de Cornouailles. Il fut envoyé en Irlande afin de chercher Iseut la blonde, pour qu'elle épouse le roi Marc. Cependant, au cours de leur voyage, Tristan et Iseut boivent accidentellement un philtre d'amour et tombent éperdument amoureux l'un de l'autre.
Iseut arrive alors dans un vaisseau à la voile blanche, mais l'épouse de Tristan, de colère et de jalousie, lui dit que la voile est noire. Se croyant abandonné par celle qu'il aime, il se laisse mourir. Iseut la Blonde, apprenant la mort de Tristan, se laisse mourir dans ses bras.
Signification : Le prénom Tristan est inspiré du mot celte "drystan" qui peut se traduire par "tumulte" ou "révolte". Histoire : Tristan est un dérivé du mot " drystan " qui est également un prénom.
Pour le récompenser, le duc lui offre sa fille, Iseut aux Blanches Mains, en mariage. Tristan accepte car voilà plus de deux ans qu'il n'a plus de nouvelle d'Iseut la Blonde. Mais le soir de sa nuit de noces, pris de remords, il refuse de consommer le mariage.
L'amour courtois n'est ni libertinage, ni passion brutale, il est presque une ascèse pour le chevalier, qui doit, pour mériter la femme qu'il aime, se soumettre entièrement à elle. La dame est suzeraine, le chevalier est son vassal.
En ce sens, on peut légitimement considérer que l'histoire de Tristan et Iseult est un mythe car la vie des héros nous interroge sur le bien et le mal, l'innocence et la culpabilité, l'amour passion et la raison, autant de questions qui hantent l'homme depuis toujours.
L'histoire se déroule en Cornouailles, en Bretagne et en Irlande. Elle met en scène deux jeunes gens : Tristan de Loonois (le pays de St-Pol-de-Léon), chevalier et neveu de Marc, vieux roi de Cornouailles et Yseut la blonde, jeune fille noble d'Irlande, épouse de ce même Marc.
Governal tue Guenelon. Il lui tranche la tête et la plante sur une fourche.
Le nain couchait, comme il en avait coutume, dans la chambre du roi. Quand il crut que tous dormaient, il se leva et répandit entre le lit de Tristan et celui de la reine la fleur de farine : si l'un des deux amants allait rejoindre l'autre, la farine garderait la forme de ses pas.
Tristan souhaite rendre Iseut au roi Marc. Le roi pardonne aux amants et reprend sa femme, mais bannit néanmoins Tristan à cause de la jalousie de certains de ses barons. Puis Tristan se marie avec une autre Iseut : Iseut aux blanches mains.
Tristan est le meilleur chevalier de Cornouailles et Lancelot est le meilleur chevalier de la table ronde, Galaad excepté. Il est donc tout à fait naturel qu'une relation d'amitié naisse entre ces deux personnages. prose, révèle l'amitié de Lancelot et de Galehaut, le chevalier des îles lointaines.
d) Tristan n'attache pas sa barque parce qu'un seul sortira vivant. Une seule barque suffira au vainqueur. Il espère gagner.
Le Morholt avait mangé la terre. Il se releva, très énervé, et mit un coup terrible sur une roche, ce qui la brisa. Tous les éclats volèrent et Tristan courut se cacher derrière les buissons. Le Morholt le chercha et Tristan lui sauta dessus, lui creva les yeux avec deux couteaux.
Au bout d'un certain temps, un représentant du roi d'Irlande, le géant Morholt vient réclamer son tribut habituel de trois cents jeunes hommes et trois cents jeunes filles au royaume de Cornouailles. Tristan le défie en duel pour en finir avec cette mesure inique.