Malgré la place qu'elle occupe dans la formation des infirmières, la sociologie est encore perçue comme un savoir détaché des soins aux malades et des soignants, alors que l'hôpital avec les acteurs de la santé constituent un excellent terrain pour l'observation et pour l'étude des faits sociaux.
La sociologie de la santé est un sous-champ disciplinaire de la sociologie qui s'intéresse aux interactions entre la société et la santé. Un des principaux objets d'étude de la sociologie de la santé est l'impact de la vie sociale sur le taux de mortalité, et vice versa.
Aider les jeunes à faire un projet de vie, et à se responsabiliser devant des choix. La politique de santé a pour objectif de diminuer les inégalités sociales et territoriales, proposer une meilleure prise en charge et aussi une meilleure qualité de vie aux personnes atteintes d'un handicap ou d'une maladie chronique.
Voici quelques dates marquantes : Création du brevet de capacité professionnelle (1922) puis diplôme d'État d'infirmier (1942) Création de la fonction de cadre infirmier (1951)création du grade d'infirmière générale (1975) Reconnaissance d'une autonomie dans les soins = rôle propre infirmier (1978)
« Prévenir c'est guérir » en devient la devise phare et l'infirmière visiteuse l'actrice principale au service de cette devise.
Florence Nightingale, née le 12 mai 1820 à Florence (Grand-duché de Toscane) et morte le 13 août 1910 à Londres (Royaume-Uni), est une infirmière britannique, pionnière des soins infirmiers modernes et de l'utilisation des statistiques dans le domaine de la santé.
En décembre 1969, la modification de la Loi des infirmières du Québec a fait en sorte que Jean Robitaille fut le premier homme à intégrer la profession infirmière en 1970. Il a reçu son attestation des mains d'Helen D. Taylor, alors présidente de l'AIPQ.
1854 : Florence Nightingale, pionnière des soins infirmiers modernes ainsi que 38 infirmières volontaires sont envoyées en Turquie le 21 octobre pour porter soin aux blessés de la guerre de Crimée.
1°/ Entretien d'accueil du patient et de son entourage ; 2°/ Activités à visée sociothérapeutique individuelle ou de groupe ; 3°/ Surveillance des personnes en chambre d'isolement ; 4°/ Surveillance et évaluation des engagements thérapeutiques qui associent le médecin, l'infirmier ou l'infirmière et le patient.
Le métaparadigme ou objet de la discipline se définit au moyen de quatre concepts centraux (personne, environnement, santé et soins) avec des propositions non relationnelles opérationnelles et des propositions relationnelles qui affirment le lien entre les concepts (9).
La sociologie est l'étude des relations, actions et représentations sociales par lesquelles se constituent les sociétés. Elle vise à comprendre comment les sociétés fonctionnent et se transforment.
La maladie est un “ fait social total ” car elle mobilise différentes dimensions de la société: familial, économique, politique, éducative, professionnelle, religieuse, symbolique… Il existe aussi une évolution des rapports usagers-soignants, plus négociés.
Ce qui importe pour le sociologue, ce n'est pas la réalité objective de la maladie car « celle-ci peut ou non être réelle du point de vue biologique », mais son aspect social, le rôle du malade est pour sa part toujours vrai du point de vue social» (Freidson E., 1984, 217).
Point sur l'évolution du mot et du métier d'infirmier
Infirmier vient du mot « enfermier » qui apparaît en 1398. Il est associé au mot latin « infirmus » qui signifie « faible ». L' « enfermerie » désigne à la fois un état (la maladie, l'infirmité) mais aussi un lieu, un refuge pour les plus démunis.
Selon les résultats de l'enquête, les Français trouvent aussi les infirmiers et infirmières « compétents » (93 %), « courageux » (92 %), « sympathiques » (89 %), particulièrement « investis » et « bienveillants » (88 %) mais aussi, et c'est primordial pour des infirmiers, « à l'écoute de leurs patients » (84 %).
Pourquoi faisons-nous ce métier alors ? Par choix, par vocation ? Etre infirmier, c'est aussi aider l'autre, être à son écoute, surmonter les épreuves dans un état particulier de souffrance et de faiblesse qu'elle soit morale ou physique lors d'une hospitalisation, d'une maladie, d'un handicap.
Florence Nightingale, née le 12 mai 1820 à Florence, morte le 13 août 1910 à Londres, est une infirmière britannique, pionnière des soins infirmiers modernes et de l'utilisation des statistiques dans le domaine de la santé.
La Kényane Anna Qabale Duba a été distinguée par le prix de la meilleure infirmière du monde à Dubaï. Elle se démarque par son engagement en matière d'éducation sexuelle et de lutte contre l'excision.
"Virginia Henderson pense que l'infirmière, pour assister la personne dans le maintien ou le recouvrement de sa santé, doit se "mettre dans la peau" de cette personne, afin de comprendre et d'être attentive à ses besoins."
de connaissances théoriques solides et actualisées, d'aptitudes gestuelles, de dextérité, de grandes capacités relationnelles, d'écoute, d'humanité, de respect envers la personne soignée, ses proches, ses collègues, les partenaires de soins,…
L'infirmier dispense des soins de nature préventive, curative ou palliative pour promouvoir, maintenir et restaurer la santé des patients. Ce métier à haute responsabilité exige rigueur, vigilance et technicité. À l'hôpital, en entreprise ou en libéral, toutes les formules offrent d'excellents débouchés professionnels.
Devenir Infirmière / Infirmier : formation nécessaire
Pour devenir infirmier , obtenir un baccalauréat scientifique offre les bases les plus solides. Les plus conseillés sont le bac S et le bac ST2S (sciences et technologie de la santé et du social).