Selon la Bible (Livre de la Genèse, ch. 2 et 3), l'arbre de la connaissance du bien et du mal se situait dans le jardin d'Éden, où vivaient Adam et Ève. Dieu défendit à Adam de manger des fruits de ce seul arbre, et l'avertit que s'il mangeait ces fruits défendus, il serait passible de mort.
Définition de bien
Etymologie : du latin bene, bien, à propos, favorablement. Au singulier, le bien est ce qui est l'opposé du mal, ce qui possède une valeur morale, qui a de la probité, de la vertu.
Ce pourquoi Spinoza commence le livre IV en définissant ainsi les concepts moraux : par bien et mal, j'entendrai ce que nous savons avec certitude être un moyen d'approcher ou de s'éloigner du modèle de la nature humaine que nous nous proposons 2.
Le Mal, c'est ce qui s'oppose à l'évolution et lui échappe par une régression vers la servitude ancestrale, vers la bête. En d'autres termes, et d'un point de vue strictement humain, le bien c'est le respect de la personnalité humaine; le mal c'est le mépris de cette personnalité.
Opposé au Bien, le Mal désigne tout ce qui blesse l'individu et fait obstacle au bonheur.
- Anatole France. Le mal est nécessaire. S'il n'existait pas, le bien n'existerait pas non plus. Le mal est l'unique raison d'être du bien.
Le mal fait partie de Dieu. Il n'est pas Dieu lui-même ou Dieu comme Dieu ; sinon, on ne pourrait pas fuir du mal vers Dieu. Mais Dieu n'est pas seulement le Dieu sauveur, le Deus revelatus, le Dieu qui se révèle dans le Christ.
A titre de corollaires, nous retiendrons les définitions kantiennes : le mal absolu est «celui qu'une sagesse ne peut permettre ou désirer ni comme fin, ni comme moyen », tandis que le mal «conditionnel» «ne peut jamais être une fin, mais..., comme moyen, peut se concilier avec une volonté sage (4) ».
Pour Socrate "le bien est la source de toutes nos actions". Celui qui fait le mal se trompe car il le considère, en son for intérieur, comme un bien. La faute est donc une erreur et l'erreur un manque de connaissance. Le sens commun distingue la faute de l'erreur.
Or le pire des maux que puisse connaître un homme, c'est de porter en lui l'injustice. Socrate considère qu'échapper au châtiment est une peine que l'on ne peut souhaiter qu'à ses ennemis car ne pas expier ses crimes est le pire des maux.
On ne peut vouloir le mal, mais seulement le bien. Cette explication du mal moral revient à dire que son origine se trouve dans les pulsions, dans l'inconscient, dans la passion. Pas dans la raison, ou dans la partie réflexive, intelligente, de notre âme.
Le véritable mal serait alors non pas tant le fruit de la cruauté (qui peut être requise pour le noble), que la retombée dans le rejet de l'action (pour ne pas dire la paresse). Or, tout l'enjeu est encore de comprendre plus avant ce que Nietzsche entend par « le mal ».
La thèse de Platon selon laquelle le mal n'est désiré que par ignorance est écartée, puisque le propos de Thomas est d'expliquer le consentement en faveur du mal connu. Or, si le mal peut être voulu, on ne peut le vouloir sans le référer au bien.
À chaque fois, le bien est l'objet d'un mouvement, d'une orientation, d'une visée. Les ressources psychologiques qui permettent une telle orientation vers le bien sont essentielles en l'homme. Elles correspondent à la catégorie entière des états mentaux qu'on désigne sous le nom de désirs, volitions, émotions.
Un bien est une chose utilisable pour combler un besoin fondamental ou un désir. Entendu le plus souvent comme étant une chose concrète et physiquement tangible, il se différencie du service qui par opposition est dit « intangible ».
Les biens sont des objets physiques produits pour lesquels il existe une demande, sur lesquels des droits de propriété peuvent être établis et dont la propriété peut être transférée d'une unité institutionnelle à une autre par le biais d'une opération sur le marché.
Selon les Définitions de Platon, le Bien est « ce qui n'a d'autre fin que soi-même ». Employé comme nom en métaphysique, le Bien désigne ce qui est absolument désirable.
Commencement, première apparition ou manifestation de quelque chose : Les théories sur l'origine de la vie. 2. Lieu, contexte d'où est issu quelque chose : Des mots d'origine latine. 3.
Commencement, début. Exemple : Etre à l'origine de quelque chose. Provenance, milieu duquel quelqu'un, quelque chose est issu.
L'origine (du latin origo, « la source ») est au premier abord le moment initial de l'apparition d'une chose, c'est-à-dire la naissance historique de cette chose, le commencement de cette chose.
La morale veut que l'on traite autrui avec respect et dignité. De même, autrui doit nous rendre ce respect envers la personne humaine que nous sommes. C'est la valeur absolue de notre humanité qui fonde ces exigences. Mais vis-à-vis de soi-même, les choses semblent moins évidentes.
Socrate est considéré par beaucoup comme le père fondateur de la philosophie occidentale et comme l'une des figures les plus énigmatiques de l'histoire ancienne.
On peut admettre que l'homme, d'un point de vue biologique, peut vivre sans penser. Comme l'animal, l'homme a des besoins physiologiques qu'il doit satisfaire s'il veut se maintenir en vie. Pour vivre, l'homme doit s'alimenter, se vêtir, se loger ou trouver un abri.
Faire le bien est accomplir tout ce que Dieu approuve. S'enrichir de belles œuvres est tout aussi englobant, l'accent étant placé sur l'engagement concret. Les femmes riches, en 2, 10, ne doivent pas faire étalage de leur luxe, mais « se parer » de bonnes œuvres, marques d'une authentique piété.
La tentation au sens passif ("être tenté")
« Aucune tentation ne vous est survenue qui n'ait été humaine, et Dieu, qui est fidèle, ne permettra pas que vous soyez tentés au-delà de vos forces : mais avec la tentation il préparera aussi le moyen d'en sortir, afin que vous puissiez la supporter » (1Co 10:13).