Étymologie. (1432) Du persan بازار , bâzâr (« marché ») ou de l'arabe بازار , bāzār (« marché »).
Familier. Lieu ou ensemble d'objets en désordre : Quel bazar !
Familier. Lieu ou objets en désordre. Synonyme : bric-à-brac, capharnaüm, fatras, fouillis, souk.
BAZAR, subst. masc. I. − Lieu où l'on vend toutes sortes de marchandises généralement à bon marché.
On écrit bazar : le mot « bazar » s'écrit toujours sans -d. L'erreur d'orthographe bazard est fréquente car on est tenté de garder le « d » du verbe « bazarder ».
Du reuz! - Ya du reuz, du bruit, du bazar, voire même une sacrée prise de tête !
Difficultés. Attention à l'emploi des féminins vendeuse et venderesse. Vendeur (= personne dont le métier est de vendre) a pour féminin vendeuse : les vendeurs et les vendeuses d'un grand magasin. Mot courant.
L'oniomanie ou trouble lié à l'achat compulsif, ou familièrement fièvre acheteuse, est la manie compulsive des achats, généralement peu ou pas nécessaires à l'individu.
Le personal shopper, aussi appelé relookeur ou conseiller en style, est un véritable professionnel du style.
mess n. Elle a mis le bazar dans la cuisine en faisant un gâteau. She made a mess in the kitchen while baking a cake.
désordre, imbroglio. – Familier : bazar, cirque, embrouillamini, micmac, pagaïe, pagaille, pastis, souk. – Populaire : bin's, boxon, chienlit, foutoir, merdier.
foutoir n.m. Endroit où règne un désordre extrême.
Attesté en 1242 sous la forme bouticle et le sens de « lieu où un marchand ou un artisan étale et vend sa marchandise » ; (1377) botique ; (1564) boutique a le sens de « atelier, fonds de commerce » : La fantasie de lhomme est une merveilleuse boutique pour forger des folles imaginations — (Calvin, Lettres) ; (1565) ...
Le Bazar, situé à l'emplacement des actuels numéros 13 à 19 de la rue Jean-Goujon (VIIIe arrondissement de Paris, dans le quartier des Champs-Elysées) et édifié dans un immense terrain vague en face des écuries de M. le baron Alphonse de Rothschild, ouvre le 3 mai 1887.
Comment sait-on qu'il s'agit d'un achat compulsif ? Cela débute souvent par l'envie d'un objet, qui cède le pas à l'idée de l'acquérir pour ne pas manquer. Une fois l'achat effectué, la personne se sent excitée mais le sentiment de culpabilité voire le sentiment de honte peuvent survenir .
Une devanture de magasin, appelée aussi devanture de boutique ou devanture commerciale est une façade comportant la vitrine du magasin et l'ornementation du mur qui l'encadre.
L'addiction au shopping est une dépendance. C'est une drogue dure qui se manifeste par la pratique d'achats de manière compulsive. Au départ, le geste d'achat provoque une grande joie et procure un véritable bonheur. Ces sensations agréables font partie intégrante de l'addiction.
Salaire Vendeur
Le vendeur reçoit un salaire moyen d'environ 1 700 à 2 500 euros brut par mois. Cela correspond à un peu plus de 20? 000 à 30 000 euros brut par an.
savoir développer une argumentation de vente solide et adaptée, être aimable, souriant, et s'exprimer avec aisance, être à l'aise avec les chiffres (commandes, caisse, inventaire).
Un bon vendeur, écoute, analyse, conseille et rassure. Il doit savoir aller au-delà d'un simple argumentaire commercial pour installer une relation de confiance avec son client. Un exercice délicat ! Dans les allées d'une boutique, le vendeur est l'élément clé pour transformer un badaud en client.
"Papa" se dit tadig. C'est le mot affectueux pour "père", ou tad. "Bonne fête des pères" en breton s'écrit gouel laouen tad.
Avant de faire des noeuds papillons, elle transformait du mobilier pour « leur donner une deuxième vie ». Elle a choisi le mot breton pouloute, qui signifie « petite poussière ».
Mersi est le mot breton directement issu du français « merci ».