La ménopause survient à la suite d'une diminution progressive de la synthèse de deux hormones reproductrices, les œstrogènes et la progestérone. Il s'ensuit un arrêt de l'ovulation et donc la fin de la période de fertilité.
Cela peut être des bouffées de chaleur, des suées nocturnes, des maux de tête, une sensation de fatigue, des troubles du sommeil, une irritabilité ou des douleurs articulaires.
A la ménopause le taux de FSH est compris entre 20 et 150 UI/l. Lorsque la FSH est basse, "il faut penser à rechercher une Insuffisance hypophysaire ou une tumeur du cerveau qui perturbe la production de FSH" informe le Dr Paganelli.
Manque d'énergie, difficultés de concentration, troubles de la mémoire, du sommeil, sautes d'humeur, spottings… ces symptômes ne sont qu'un aperçu des conséquences possibles d'un manque de progestérone.
La ménopause et la prise de poids sont-elles liées ? Lors de la ménopause, les hormones féminines, les œstrogènes, ne sont plus produites alors que les hormones masculines, la testostérone, le sont toujours, à plus faible dose. Ce changement hormonal provoque une nouvelle répartition des graisses.
La leptine est une hormone digestive peptidique qui permet à la fois de réguler les réserves lipidiques de l'organisme et de stimuler la satiété. C'est d'ailleurs pourquoi elle est aussi nommée "hormone de la satiété".
Elle entraîne plusieurs changements corporels dont la diminution de la masse musculaire. Vous stockez ainsi beaucoup plus de graisses (et les kilos) sans les brûler, notamment au niveau du ventre qui commence à gonfler. Cette transformation s'accompagne généralement de ballonnements.
Traitements hormonaux substitutifs avec progestérone : des risques accrus de cancer et d'AVC. Dès les années 1980, des traitements hormonaux de synthèse tentant de reproduire les œstrogènes et la progestérone secrétés par la femme avant la ménopause ont été proposés afin de réduire ces symptômes désagréables.
Ainsi, la Sauge, le Trèfle rouge, le Houblon, les isoflavones de soja, le Gattilier, l'Actée à grappes noires… Sont des alternatives naturelles au Traitement Hormonal Substitutif.
Vos symptômes se sont atténués ou ont cessé. Vous vous sentez plus vous-même ou éprouvez un sentiment de bien-être. Vous constatez que vous dormez mieux et que vous êtes en meilleure santé. Normalement, c'est à ce moment-là que vous pourrez vous dire « Dieu merci, ça y est, c'est finalement terminé. »
Confirmer la ménopause par prise de sang
Celle-ci permet de mesurer le taux d'hormone folliculostimulante (FSH), confirmant de façon formelle la survenue de la ménopause. Lorsque la FSH est élevée, la ménopause est confirmée.
Pour savoir si vous êtes ménopausée, un test sanguin effectué auprès de votre gynécologue permet de mesurer le taux de FSH (l'hormone folliculostimulante). Selon les résultats de ce test, votre gynécologue pourra déterminer s'il est encore utile ou non de continuer votre contraception.
Les autres plantes proposées contre les troubles de la ménopause sont le ginseng, l'igname sauvage ou yam (Dioscorea villosa), le trèfle rouge (Trifolium pratense), l'achillée millefeuille (Achillea millefolium) ou le gattilier.
La ménopause est la période de la vie d'une femme où les règles ( menstruations ) s'arrêtent définitivement. Elle intervient généralement entre 45 et 55 ans et en général aux alentours de 50 ans.
A la ménopause, la chute soudaine des œstrogènes provoque généralement une baisse du tonus physique et mental, voire une fatigue intense, avec souvent des répercussions sur l'énergie. Mais elles se manifestent différemment chez chacune.
Le traitement de la ménopause possédant le plus de recommandations en 2021 lorsque l'intensité des symptômes est forte, est le traitement hormonal substitutif (THM).
Un traitement hormonal, à base d'estrogènes et/ou de progestatif, peut s'avérer bénéfique pour certaines femmes qui ont des symptômes modérés à intenses. C'est souvent un choix de la patiente, orienté par le médecin, et le traitement doit s'amorcer dans les 10 années qui suivent la ménopause.
La situation hormonale détermine l'endroit du corps où les graisses seront stockées. Un dérèglement hormonal ou des variations hormonales chez la femme peuvent faire gonfler le ventre ou favoriser le stockage des graisses au niveau de l'abdomen. C'est ce qu'on appelle le "ventre hormonal".
Par voie orale uniquement, les effets suivants ont été observés: · risque de somnolence ou de sensations vertigineuses fugaces apparaissant 1 à 3 heures après la prise du médicament, · modifications des règles, interruption des règles, saignements entre les règles. Ces effets témoignent le plus souvent d'un surdosage.
Non. Un traitement hormonal bien équilibré n'entraine pas de prise de poids comme l'ont confirmé plusieurs études scientifiques.
Il est donc nécessaire de la privilégier lorsqu'on cherche à augmenter naturellement sa progestérone. On trouve de la vitamine B6 dans les légumineuses (pois chiche, notamment), dans les poissons (saumon, thon, morue), dans les oléagineux (noisettes, pistaches) ainsi que dans les graines (tournesol, lin, sésame…).
À la ménopause
Préférez donc des eaux riches en calcium : Hépar, Cont- rex, Courmayeur, Vittel, Rozana, Badoit, San Pellegrino. Si l'on fait de l'hypertension Les eaux pauvres en sodium sont recommandées : Hépar, Vittel, Contrex, Courmayeur, Thonon, Évian, Volvic, Salvetat, Perrier.
Les meilleures activités sportives pour maigrir du ventre à la ménopause : la natation et l'aquagym qui, en plus de travailler votre ceinture abdominale, vont consommer davantage d'énergie grâce au contact du froid. Résultats : un massage drainant minceur et des graisses brûlées.