Les lettres
En arabe, ‹ پ › n'est habituellement pas utilisé pour la transcription de l'arabe standard moderne, mais peut l'être pour représenter une consonne occlusive bilabiale sourde [p] dans l'écriture, par exemple dans le dialecte algérien et tunisien.
Par ailleurs, six lettres (و ز ر ذ د ا) ne s'attachent jamais à la lettre suivante, de sorte qu'un mot peut être entrecoupé d'une ou plusieurs espaces.
Le ʾalif maqṣūra est une lettre de l'alphabet arabe utilisée dans l'écriture de l'arabe comme variante du ʾalif en fin de mot et comme lettre à part entière dans l'écriture du kazakh, du kirghize, du chleuh et de l'ouïghour.
En comorien, kurde et wakhi écrit avec l'alphabet arabe, ‹ ڤ › représente une consonne fricative labio-dentale voisée [v].
Kāf (en arabe كاف, kāf, ou simplement ك) est une lettre de l'alphabet arabe.
De son côté, Alif Lām Mīm serait, à la fois, une abréviation du nom al-Rahman et de plusieurs formules dédiées à Allah, comme « Je suis Allah le Très-Savant »). Pour Suyuti, elle servait à Mahomet pour capter l'attention de l'assemblée à qui il énonçait le Coran.
Le t doux, ta (ت) est comme le t français, doux et faible, et le T dur "taw" (ط) est profond et fort. Le d doux, del (د) est même plus doux que le d français, et le D dur, Dod (ض) est très profond et dur. Le dh doux, dhel (ذ), est comme le th anglais de the, et le DH dur, DHa (ظ) est profond et fort.
Les voyelles en arabe se nomment les harakats (حَرَكَات).
selon les recommandations des projets correspondants. Rā (en arabe راء, rāʾ, ou simplement ر) est la 10e lettre de l'alphabet arabe.
Fāʾ (en arabe فاء, fāʾ, ou simplement ف) est la 20e lettre de l'alphabet arabe.
Le gāf ‹ ڨ › est une lettre additionnelle de l'alphabet arabe utilisé dans l'écriture du tamazight algérien, du khowar, du mandingue, de certaines variantes de l'arabe, et anciennement utilisé dans l'écriture du tchétchène.
La Damma ُ est une petite virgule écrite au-dessus de la consonne, elle se lit « o », « ou », ou bien « u ». Lorsque cette voyelle est écrite au-dessus de la lettre b ب, les deux ensembles font بُ.
Mīm (en arabe : ميم, mīm), ou simplement م, est la 24e lettre de l'alphabet arabe. Sa valeur numérique dans la numération Abjad est 40.
ع appelé "ayn". Il s'écrit avec un "3". Ce son ressemble à un "a" prolongé mais qui se forme dans la gorge.
Les chiffres de zéro à neuf sont rendus par des mots spécifiques : sifr (صِفْرٌ) [0], wahid (وَاحِدٌ) [1], ithnan (اِثْنَانِ) [2], thalatha (ثَلَاثَةٌ) [3], arba'a (أَرْبَعٌ) [4], khamsa (خَمْسَةٌ) [5], sitta (سِتَّةٌ) [6], sab'a (سَبْعَةٌ) [7], thamaniya (ثَمَانِيَةٌ) [8] et tis'a (تِسْعَةٌ) [9].
Un se dit wahid (waah-heet) (واحد). Deux se dit itnan (ihth-naan) (إثنان). Trois se dit talata (theh-lah-theh) (ثلاثة). Quatre se dit arba'a (ahr-uh-bah-ah) (أربع).
Le alif, « èlif » tel quel en français, se prononce « ou », « a » ou « i » en début de mot. Lors de la lecture, on reconnaîtra l'une ou l'autre des prononciations grâce à un « hamza ». Une hamza prend la forme d'une sorte de « ç » au-dessus ou en dessous d'une lettre indiquant la présence d'une voyelle.
ʿAṭāʾ, de la part de son père, ce que dit Ibn ʿAbbās, à savoir: 'La totalité des versets du Coran est de six mille six cent seize (6.616) et l'ensemble des lettres du Coran est de trois cent vingt-trois mille six cent soixante et onze (323.671)'.
Souvenez-vous, pour dire bonjour en arabe on peut dire : Sabah el khayr – صباح الخير ou Sabah el nour – صباح النور.