Il s'agit d'une infection aigue du poumon liée à un microbe. On peut aussi parler d'« infection parenchymateuse pulmonaire ». Elle est appelée « pneumonie » lorsqu'elle atteint un lobe entier du poumon.
Asthme, BPCO, maladies neuromusculaires, maladies pulmonaires interstitielles… Autant de maladies à l'origine de la dégradation des fonctions respiratoires. Réponses de spécialistes à vos questions. La BPCO est une maladie qui entraîne une « obstruction » ou un blocage des voies respiratoires.
essoufflement, respiration sifflante, voix rauque et toux qui s'aggrave ou persiste) douleur thoracique, en particulier lors de profondes inspirations et de quintes de toux. présence de sang dans les expectorations (ou hémoptysie)
Ainsi une simple prise de sang pourrait déterminer qui doit se voir conseiller un dépistage précoce avec une plus grande précision. Cette identification des patients à risque de cancer du poumon permet dès lors de les orienter plus rapidement vers des examens spécifiques (CT scanner à faible dose).
ganglions lymphatiques enflés dans le cou ou au-dessus de la clavicule; maux de tête.
Essoufflement soudain dû à une maladie du cœur
une décompensation cardiaque (ou défaillance du cœur) appelée œdème aigu du poumon (par exemple une décompensation d'une insuffisance cardiaque ou un infarctus du myocarde ; une péricardite (inflammation des enveloppes du cœur) ; un trouble du rythme cardiaque.
La toux est une expulsion d'air des poumons subite et explosive. C'est l'une des causes les plus fréquentes de consultation chez le médecin. La toux va libérer les voies respiratoires des corps étrangers qui s'y trouvent et protéger les poumons contre les particules inhalées.
Ce peut être aussi un essoufflement à l'effort. Il est souvent déclenché par des facteurs précis : allergie, tabac, pollution, stress, rire, parfums, sport, cycle menstruel... ». L'essoufflement peut être en rapport avec des maladies plus graves mais aussi plus rares : cancer, fibrose pulmonaire, etc.
infections et pneumonies : les infections du poumon, dont font partie les pneumonies, peuvent occasionner des douleurs thoraciques et dorsales. Celles-ci sont accompagnées d'une forte fièvre, de toux et d'une gêne respiratoire. Ces infections doivent être prises en charge par un médecin.
Le tabagisme est le principal facteur de risque du cancer du poumon : un fumeur a 10 à 15 fois plus de risque de développer un cancer du poumon par rapport à un non-fumeur. Le tabagisme passif augmente, lui, de 26 % le risque de développer un cancer du poumon chez un non-fumeur.
Elle peut même provoquer des vomissements ou la fracture d'une côte si vous toussez très fort. La toux peut être sèche et quinteuse ou grasse et productive (expectorations). Il arrive parfois que les expectorations contiennent du sang provenant des poumons.
La sarcoïdose est une maladie dite « inflammatoire » de cause inconnue qui peut toucher les poumons (chez 9 patients sur 10), mais également d'autres organes.
Elle peut être aiguë, chronique, sèche ou grasse. Elle est, le plus souvent, due à une infection virale mais peut être provoquée par d'autres maladies : reflux gastro-œsophagien, asthme, allergie…
Mesurer sa fréquence respiratoire
Inspirez puis expirez et comptez le nombre de cycles sur une minute. Si vous dépasser 20 cycles par minute, vous êtes en "polypnée" et vous devez alors contacter rapidement un médecin pour évaluer votre situation.
Ainsi, après l'effort, cette réaction permet de stabiliser la quantité d'oxygène dans le corps et également le rythme cardiaque. Par conséquent, si vous n'utilisez qu'occasionnellement les escaliers, ressentir un essoufflement après cet effort est une réaction normale.
Le cancer du poumon à petites cellules est le type le plus agressif de cancer du poumon. Dans de nombreux cas, il s'est déjà propagé à d'autres parties du corps au moment où il est diagnostiqué.
Le poumon droit est plus gros que le poumon gauche, pour deux raisons, qui dépendent toutes les deux l'une de l'autre : Le poumon droit possède trois lobes, comparé au poumon gauche qui en possède deux.
Pour le stade limité du cancer du poumon à petites cellules, la survie médiane est de 12 à 16 mois, avec traitement. Pour le stade étendu du cancer du poumon à petites cellules, la survie médiane est de 7 à 11 mois, avec traitement.
Il existe trois principaux types de traitements du cancer du poumon : la chirurgie, la radiothérapie et les traitements systémiques (ou généraux) comme la chimiothérapie, les thérapies ciblées ou l'immunothérapie. Ces options thérapeutiques peuvent être utilisées seules ou associées.