Les maladies de l'appareil locomoteur : arthrose, pathologies des membres inférieurs, déformations des pieds, troubles musculaires et neuromusculaires. Les troubles de l'équilibre, liés à une maladie neurologique ou à des problèmes d'oreille interne. Les atteintes vasculaires : hypotension, séquelles d'AVC.
Affections neurologiques : maladie de Parkinson, sclérose en plaques, lésions de la moelle épinière, atteinte des nerfs du système nerveux périphérique, ataxie, chorée de Huntington… Atteintes vasculaires : AVC avec séquelles cérébrales, hypotension ou hypotension orthostatique.
Les causes des troubles de l'équilibre et de la marche
Une faiblesse des muscles. Des perturbations de l'oreille interne (l'organe de l'équilibre). Les troubles de la vision. L'hypotension orthostatique : diminution brusque de la pression artérielle lorsque l'on se met debout.
Souvent, la difficulté à marcher est liée à une cause neurologique comme la maladie de Parkinson, la sclérose en plaques, les accidents vasculaires cérébraux (AVC), les lésions de la moelle épinière, les neuropathies périphériques, les troubles cérébelleux, et bien d'autres.
Dans le cas de troubles de la marche, il s'agit le plus souvent d'un kinésithérapeute, d'un médecin (de rééducation) et d'un ergothérapeute. Parfois, des dispositifs spéciaux doivent être utilisés.
Faiblesse des muscles des membres, très grosse fatigue, ce sont les manifestations de la myasthénie, une maladie neuromusculaire chronique qui touche 5 Français sur 100 000.
Le dérobement est lié à l'absence de contraction du muscle quadriceps, ce qui entraîne une flexion du genou. Ce lâchage du genou peut-être "réflexe" suite à une douleur ou simplement lié à une faiblesse du quadriceps, à un déséquilibre entre quadriceps et ischios.
Les plus fréquentes sont : Certains traitements médicamenteux, notamment les antiépileptiques, les neuroleptiques, les antidépresseurs et certains traitements pour le coeur. Une faiblesse musculaire. Des troubles de l'oreille interne, qui est l'organe de l'équilibre.
Les causes les plus fréquentes de nouveaux étourdissements en position verticale sont les suivantes : Diminution du volume sanguin (pouvant résulter d'une déshydratation ou d'une perte de sang) Médicaments. Alitement prolongé
Mettez-vous debout, bien droit, pieds légèrement écartés. Puis levez un pied, en appuyant la voûte plantaire sur le côté du mollet opposé, essayez de garder l'équilibre 10 secondes. Reposez votre pied au sol et faite la même chose avec l'autre jambe. Répétez l'exercice plusieurs fois de chaque côté.
Bras droit le long du corps, pliez le bras gauche comme si vous marchiez vigoureusement et, sans bouger les jambes, ayez la sensation de rouler votre cuisse droite vers l'intérieur. Cela réoriente votre hanche et vos appuis du pied dans le même axe: une des clés pour une marche solide et non pathogène.
AFNP. Trop de malades atteints d'une neuropathie périphérique cessent leurs activités physiques et sportives par crainte de ne plus y arriver ou d'aggraver la pathologie. Ce phénomène est connu sous le nom de déconditionnement.
Jambes faibles : le vieillissement parmi les causes principales. Une personne âgée qui ne tient plus sur ses jambes peut simplement souffrir du vieillissement. En effet, vieillir est à l'origine d'une perte musculaire tout à fait normale au fil du temps.
L'hémiplégie est causée par une atteinte du système nerveux central (cerveau et moelle épinière) : les ordres d'exécution des mouvements ne sont plus transmis aux muscles. En plus des troubles moteurs, d'autres fonctions peuvent être altérées comme la mémoire ou la sensibilité.
L'asthénie, communément appelée fatigue, est un symptôme fréquent. Elle devient anormale lorsqu'elle perdure malgré le sommeil et le repos. Elle peut être passagère et réactionnelle (après un surmenage, lors d'une infection brève…), ou durable, en lien avec une maladie chronique ou une souffrance psychique.
Le premier symptôme est une douleur dans la jambe à la marche, liée au rétrécissement du diamètre d'une artère, qui diminue l'apport de sang et donc d'oxygène aux muscles. Si l'artérite évolue, les douleurs surviennent même au repos. Le bilan mesure l'étendue des lésions artérielles.
La fatigue musculaire est souvent concentrée vers les membres inférieurs : jambes (cuisses, mollets). Les personnes souffrant de fatigue musculaire ont alors souvent des jambes en coton, qui flageolent ou une sensation de lourdeur.
La faiblesse des jambes peut être causée par une inflammation, qui est la réponse normale du corps à une blessure ou à une infection. Parfois, le système immunitaire du corps est activé alors qu'il n'est pas censé le faire, ce qui conduit à une maladie inflammatoire auto-immune.
Le syndrome de Guillain-Barré survient après une infection virale, même bénigne. Il se caractérise généralement par une paralysie progressive du corps. Le plus souvent, elle débute au niveau des jambes puis remonte vers les muscles qui commandent la respiration pour gagner les nerfs du cou et de la tête.
Faiblesse musculaire, maux de tête, troubles du sommeil, dérèglement des sens, tremblements, mauvaise coordination… Dès l'apparition des premiers symptômes, prenez rendez-vous chez votre médecin traitant qui saura interpréter les signaux d'alerte et vous orienter vers un neurologue si votre état le nécessite.
Le diagnostic d'une maladie neuromusculaire repose sur un interrogatoire médical, un examen clinique et des examens complémentaires (analyses biologiques, immunologiques, électro- myogramme, imagerie, étude de muscle (biopsie))...