En France, le port du voile est légalement autorisé sur le lieu de travail dans le secteur privé, sauf si l'employeur justifie d'une nécessité liée à la sécurité ou à une interaction spécifique avec la clientèle.
Porter le hijab est donc possible, en principe, pour les sportives qui souhaitent faire des compétitions. Cependant, cette liberté est parfois restreinte pour des questions de sécurité. C'est en tout cas ce qu'invoque la Fédération française de basket pour interdire cette pratique à ses usagers.
La Cour de cassation a admis qu'une clause de neutralité interdise le port visible de tout signe politique, philosophique ou religieux sur le lieu de travail, à la condition que cette clause soit générale et indifférenciée et ne s'applique qu'aux salariés se trouvant en contact avec les clients (Cass.
La justice européenne a tranché: interdire le voile au travail n'est pas discriminatoire. L'employeur doit cependant prouver qu'il s'agit d'un "besoin réel" et que sans cette interdiction, la neutralité de l'entreprise serait remise en cause, indique la Cour de justice de l'Union européenne.
En premier lieu, l'agent public ne doit porter aucun signe, notamment vestimentaire, destiné à marquer son appartenance à une religion tel que le port d'un « voile couvrant entièrement sa chevelure destiné à marquer manifestement son appartenance à une religion » (CE, avis du 3 mai 2000, Melle Marteaux), d'un bandana ...
Cette loi interdit aux enseignants le port de signes religieux durant leur prestation de travail.
Les principaux signes religieux sont : Le foulard ou voile islamique (hidjab). Le voile intégral (burqa, sitar ou niqab) qui masque intégralement le visage. La croix : il s'agit là d'un symbole religieux chrétien.
Contrairement aux écoles du secondaire (primaire, collège, lycée), où le port du voile est interdit depuis la loi de 2004, la manifestation de ses convictions religieuses est plus libre à l'université. La loi sur la laïcité de 1905, donne en effet la possibilité de porter un quelconque signe religieux à l'université.
C'est légal. La Fédération des entreprises Genève nous confirme que les employeurs peuvent interdire sur le lieu de travail le port du voile ou d'autres signes extérieurs religieux. En revanche, cette interdiction doit rester générale, pour ne pas stigmatiser une religion plutôt qu'une autre.
Bonjour, normalement aucuns signes religieux n'est acceptés mais cela dépendra du responsable ça reste aléatoire.
Le voile sur le lieu de travail n'est pas accepté pour ne pas laisser apparaître son engagement religieux .
Le type de voilement est laissé à l'appréciation de l'imam, du père ou de la femme. La femme musulmane ne doit pas seulement veiller à sa virginité mais à son capital, dont le voile fait partie. Car le voile est là aussi pour sauvegarder l'honneur dans la mesure où il protège la femme contre toutes les tentations.
Le voile peut être interprété comme une protection pour la femme et pour l'homme contre le désir sexuel. Le voile permettrait de cacher les atours féminins afin de ne pas attirer le regard des hommes.
Nos vêtements d'hiver pour femmes voilées couvrent votre corps avec des manches longues, des vestes raffinées pour femmes, des gilets tendance, des cardigans à col en V, des manteaux longs et des robes d'hiver amples pour le dress code modest fashion..
Sabah explique qu'il y a un âge minimum, qu'il ne faut pas trop se presser de le porter : « L'âge idéal, je dirais que c'est autour de vingt ans. Pour le Coran, c'est la majorité, 18 ans.
Abdennour Bidar nous présente cette voie de libération du regard à travers les cinq piliers fondamentaux de l'islam auquel tout musulman dans le monde se réfère : le témoignage de foi, la prière, l'aumône, le jeûne et le pèlerinage.
"Le voile est une obligation dans l'islam, mais pour le niqab, il y a des avis divergents. Certains savants disent qu'il est obligatoire, d'autres que non. Pour moi, ce n'est pas une obligation: le visage et les mains de la femme peuvent rester visibles.
En conclusion, en l'état du droit, il reste donc possible pour un parent accompagnateur d'une sortie scolaire de faire état de sa religion ou d'arborer un signe religieux, sous réserve de ne pas troubler l'ordre public.
En France, selon la loi du 15 mars 2004, "dans les écoles, les collèges et les lycées publics, le port de signes ou tenues par lesquels les élèves manifestent ostensiblement une appartenance religieuse est interdit", une circulaire précisant ces signes "le voile islamique (..) la kippa ou une croix de dimension ...
Il est interdit puisque normalement l'école est laïque." Et c'est justement sur cette notion de laïcité que se noue le cœur de l'incompréhension chez ces jeunes. "La laïcité est juste une question de religion", affirme ainsi Wassila, pour qui "tout le monde devrait avoir le choix de porter ce qu'il veut".
La laïcité repose sur trois principes : la liberté de conscience et celle de manifester ses convictions dans les limites du respect de l'ordre public, la séparation des institutions publiques et des organisations religieuses, et l'égalité de tous devant la loi quelles que soient leurs croyances ou leurs convictions.
La neutralité est un instrument de garantie de la liberté des citoyens dans l'exercice de leur religion ou de leur non-religion. Nos sociétés occidentales sont caractérisées désormais par la diversité des convictions et des orientations philosophico-religieuses.
Les signes et tenues qui sont interdits sont ceux dont le port conduit à se faire immédiatement reconnaître par son appartenance religieuse tels que le voile islamique, quel que soit le nom qu'on lui donne, la kippa ou une croix de dimension manifestement excessive.