Le montant ASPA 2023 maximum auquel vous pouvez prétendre dépend de votre situation familiale (en couple ou seul). Il ne peut être supérieur à : 11.533,02€ par an pour une personne seule, soit 961,08€ par mois. 17.905,06€ par an pour les couples, soit 1.492,08€ par mois.
Quelle augmentation pour les petites retraités en 2023 ? Le projet de décret prévoit que votre nouvelle pension de base, après Majex, ne doit pas dépasser « 847,57 euros par mois » en 2023.
Dans ce cas, il peut prétendre à l'ASS (Allocation de solidarité spécifique) lorsqu'il a épuisé ses droits au chômage. Sous réserve de ne pas dépasser 1259,89 euros net / mois de revenus pour une personne seule et 1968,82 euros / mois pour un couple, son montant maximum est de 536,95 euros.
Source : Rapport sur les objectifs et les effets du projet de réforme des retraites, janvier 2023. Sur les 1,8 million de petites retraites revalorisées, 125 000 pensions grimperont de 100 euros selon le ministère du Travail. En moyenne, le gain mensuel brut sera de 57 euros, selon le gouvernement.
L'allocation de solidarité aux personnes âgées (ASPA) et les anciennes allocations du minimum vieillesse sont revalorisées au 1er janvier 2023 : 961,08 € par mois pour les personnes seules (soit + 44,3€ par rapport à janvier 2022)
Est-ce que les retraités ont droit à la prime de 185 € ? La prime de 185 € est une aide financière spécifique, mise en place pour soutenir les personnes aux revenus modestes. Elle permet d'atténuer les difficultés financières et contribue à la stabilité économique. Cependant, tout le monde n'a pas droit à cette prime.
Pour compenser la hausse généralisée des prix, une "indemnité inflation" défiscalisée de 100 euros est versée à 38 millions de Français entre décembre 2021 et février 2022. Les retraités sont concernés par cette prime. Percevoir une retraite et/ou une réversion dont le total est inférieur à 2 000 € nets par mois.
Au total, “près de 1,7 million de retraités bénéficieront d'une revalorisation de leur retraite, dont environ 700.000 bénéficieront d'un paiement dès l'automne 2023”, indique le ministère du Travail dans un communiqué. Concrètement, le versement sera effectué début octobre, au titre des pensions de septembre.
Une mesure de la réforme des retraites permettra aux retraités les plus modestes de bénéficier d'une hausse maximale de leur pension de 100 euros par mois. Sont concernés ceux qui perçoivent le minimum contributif (Mico).
Dans un tout autre registre, la réforme des retraites s'appliquant au 1er septembre 2023 porte une augmentation du minimum contributif devant profiter à 1,8 million de retraités modestes. En moyenne, le gain mensuel brut sera de 57 euros, selon le gouvernement.
Si vous avez au moins 120 trimestres cotisés à l'Assurance retraite (les autres trimestres étant validés auprès d'autres caisses de retraite), le montant du minimum contributif est fixé à 8 970,86 € brut par an, soit 747,57 € brut par mois.
Vous pouvez cumuler RSA et pension de retraite, mais cela ne vaut pas forcément le coup. Explication. Légalement, rien ne vous empêche de cumuler RSA et retraite si vous y avez droit. Mais vos revenus proviendront très certainement de votre retraite et du minimum vieillesse.
Les pensions minimales seront revalorisées à hauteur de 100 euros par mois, mais seulement pour les personnes qui partent à la retraite à compter du 1er septembre 2023.
La revalorisation des petites pensions des retraités actuels
Les revalorisations ultérieures auront lieu au printemps 2024, avec effet rétroactif au 1er septembre 2023.
Pour un départ fin 2023, le nouveau minimum contributif sera de 709 euros. Et le MiCo majoré portera dans le meilleur des cas votre pension minimum à 848 euros, en brut, soit 100 euros de plus qu'aujourd'hui.
L'âge légal de départ : relevé de 62 ans à 64 ans
Elle sera mise en place progressivement à compter du 1er septembre 2023, à raison de 3 mois supplémentaires par génération. Ainsi, la 1ʳᵉ génération concernée, celle de 1961 née entre septembre et décembre, pourra demander ses droits à 62 ans et 3 mois.
Ce qu'il faut retenir sur le « minimum vieillesse » (ou Aspa) Le minimum vieillesse, ou Aspa, est attribué aux personnes de faibles ressources, âgées d'au moins 65 ans (des exceptions existent). Cette allocation est versée quel que soit le nombre de trimestres validés. Elle est attribuée sous conditions de ressources.
L'Agirc -Arrco les a reçus courant juillet et elle les appliquera aux retraites payées à partir de septembre ou octobre 2023, en fonction de l'avancée de la réception des actualisations. La retraite complémentaire est versée tous les mois, ou dans certains cas trimestriellemnt ou annuellement.
Le montant maximal de l'Aspa est de 961,08 € par mois pour une personne seule et de 1 492,08 € par mois pour un couple en 2023 . Si vous n'avez jamais travaillé (ou presque) avant de partir à la retraite, vous pourrez donc bénéficier de certaines aides, voire d'une petite retraite de base.
Au mieux, le coup de pouce serait de 100 euros par mois (25 euros pour le mico de base et 75 euros pour le mico majoré). Pour le «stock» des retraités, la revalorisation s'appliquera à ceux qui ont cotisé au moins 30 ans (120 trimestres).
Les retraités actuels ne sont pas concernés par la réforme des retraites. La génération née du 1er septembre au 31 décembre 1961 sera la première impactée. En effet, à compter du 1er septembre 2023, l'âge légal de départ à la retraite reculera de 3 mois par an.
Les modalités de versement de la prime de pouvoir d'achat de la fonction publique ont été précisées dans le décret n°2023-702 du 31 juillet. La prime est versée en une seule fois par l'employeur public qui emploie et rémunère l'agent au 30 juin 2023. Son octroi est prévu avant la fin de l'année 2023.
L'indemnité inflation est une prime désocialisée et défiscalisée qui sera versée au bénéficiaire retraité en février 2022. Comme l'a précisé Jean Castex, le versement du chèque carburant se fera automatiquement. Si vous êtes éligible, vous n'aurez donc rien à faire à part attendre.
Qui verse la prime inflation aux retraités ? Si la CAF et Pôle emploi ont indemnisé leurs bénéficiaires lors des premiers versements de la prime exceptionnelle de rentrée, c'est désormais la CNAV (Caisse nationale d'assurance vieillesse) qui se charge de verser la prime inflation aux retraités.