La proposition principale peut être coupée en deux par une subordonnée relative. Elle peut être COD du verbe de la principale. Elle est introduite par la conjonction de subordination que. On ne peut pas la supprimer.
Les propositions subordonnées complétives
Une proposition subordonnée complétive est essentielle à la construction de la phrase et le plus souvent elle ne peut pas être supprimée (contrairement à la proposition subordonnée circonstancielle). Elle est souvent l'équivalent d'un groupe nominal (GN).
Il existe trois sortes de propositions subordonnées : – les propositions subordonnées complétives ; – les propositions subordonnées circonstancielles ; – les propositions subordonnées relatives.
La proposition principale
Une proposition qui contient un terme dont dépend une autre proposition est appelée proposition principale. « il explique » est une proposition principale car elle contient le verbe explique dont dépend la proposition « comment l'auteur décrit une période de sa vie ».
La proposition indépendante est celle qui ne dépend d'aucune autre et qui n'en détient aucune sous sa dépendance ; elle se suffit à elle-même car elle a une signification complète. 4. La proposition indépendante et la composition de la phrase.
- La proposition indépendante, ne dépend d'aucune autre proposition, et aucune autre proposition ne dépend d'elle. - Erik est sérieux. - Le soleil disparaît derrière les nuages. - La proposition subordonnée dépend toujours d'une autre proposition dont elle complète le sens.
On appelle proposition incidente une proposition qui n'est pas coordonnée et qui n'a aucun lien de dépendance avec un membre de la phrase dans laquelle elle se trouve intégrée. Il faudra, soit dit en passant, être beaucoup plus vigilant. La proposition incidente joue en quelque sorte le rôle d'une parenthèse.
Deux propositions indépendantes sont juxtaposées quand elles ne sont pas reliées par un mot de liaison. Elles sont juste séparées par une virgule ou un point virgule.
Une proposition est dite conjonctive quand elle commence par une conjonction de subordination (en français : que, dès que, pendant que, quand, parce que, puisque, bien que, quoique, si, même si, etc).
La subordonnée complétive est une phrase enchâssée qui est généralement introduite par la conjonction que. Elle est appelée complétive, car elle remplit très souvent la fonction de complément.
Une proposition est une partie de phrase ou une phrase, dans une phrase. Il y a autant de propositions qu'il y a de verbes. ex: Le chat dort dans le salon.
La proposition subordonnée interrogative est introduite par un mot interrogatif (pronom, déterminant ou adverbe) : elle peut être transformée en question. Ex. : Les gens du village se demandent [si le mauvais temps durera longtemps].
La subordonnée introduite par un mot interrogatif « quand, où, pourquoi, combien, comment, qui, si, quel » est dite interrogative indirecte. Elle sert de complément d'objet au verbe de la principale. Pour son anniversaire, je lui demanderai ce qu'elle aimerait recevoir.
Une proposition subordonnée est une proposition qui dépend d'une proposition principale. Elle se rattache à la proposition principale pour apporter une précision en lien avec celle-ci.
Il ne faut pas confondre la proposition subordonnée complétive introduite par la conjonction que et la proposition subordonnée relative introduite par le pronom relatif que. La proposition complétive conjonctive se rapporte à un verbe tandis que la proposition relative complète un nom.
Les quatre subordonnées relatives sont introduites respectivement par : par laquelle, sur lequel, qui et où. Le nom que chacune d'elles complète précède le pronom relatif.
Une proposition subordonnée relative complète généralement un nom ou un pronom ; une proposition subordonnée complétive complète généralement un verbe.
Proposition ne dépendant d'aucune autre proposition, et dont aucune proposition ne dépend. Toute phrase simple est donc une proposition indépendante. Dans le cas d'une phrase complexe, une proposition coordonnée ou juxtaposée est également une proposition indépendante.
La proposition subordonnée complétive a le plus souvent une fonction de COD ou COI dans la phrase. Elle est introduite par - que -. Son verbe peut être, selon le sens, conjugué à l'indicatif (fait réel), au conditionnel (condition) ou ausubjonctif (après -il faut que-).
On dit que deux propositions indépendantes sont coordonnées quand elles sont reliées par un mot de liaison : Mais, ou, et, donc, or, ni, car sont des conjonctions de coordination.
Une proposition incise est une proposition indépendante ou principale, la plupart du temps, courte, qui coupe ou se joint à une autre proposition pour indiquer une sorte de parenthèse. Les incises indiquent que le scripteur rapporte les paroles de quelqu'un. Le sujet est, la plupart du temps, placé après le verbe.