Un chêne adulte pompe près de 200 litres d'eau par jour à une hauteur d'une trentaine de mètres !
La règle générale pour déterminer la tâche d'eau est que les arbres d'une circonférence inférieure à 60 centimètres ont besoin de 200 à 300 litres à chaque fois, et que les arbres dont la circonférence est supérieure à 60 centimètres ont besoin de 300 à 500 litres à chaque arrosage.
Le saule est un arbre qui boit beaucoup d'eau. Si vous habitez dans un terrain où l'humidité est abondante, cet arbre peut s'avérer très pratique. En effet, le saule vous débarrasse de l'humidité en absorbant l'eau souterraine.
Les arbres puisent l'eau dans le sol par leur système racinaire, puis l'acheminent jusqu'aux feuilles d'où elle s'échappe dans l'atmosphère sous forme de vapeur d'eau.
Lorsqu'il s'agit d'arroser les arbres en profondeur, il n'y a pas de moment magique pour le faire. L'idéal serait de le faire le matin, car cela permet à une plus grande quantité d'eau de rester dans le sol au lieu de s'évaporer. L'eau du matin permet à vos arbres de se rafraîchir pendant la chaleur de la journée.
Bon à savoir : pour savoir si un arbre a besoin d'être arrosé, enfoncez un bâton pointu ou un tournevis long dans le sol. S'il pénètre facilement, l'arbre n'a pas besoin d'eau. S'il résiste, cela signifie que le sol est sec et qu'un arrosage s'impose.
Si l'arbre a besoin d'eau, il vaut mieux arroser une grande quantité une fois qu'une petite quantité tous les jours. Arrosez au maximum 1 par semaine, selon la météo. Laisser le sol s'assécher un peu entre deux arrosage de façon à ce que les racines soit stimulées à croitre et à se développer à l'extérieur de la motte.
Les feuilles suent
La solution à notre problème provient de ce que la circulation est ouverte : l'eau peut sortir de l'arbre. Le moteur qui fait monter la sève est le Soleil. Le courant de sève circule des racines les plus fines jusqu'aux capillaires des feuilles, où plus de 90 pour cent de l'eau de la sève s'évapore.
Le procédé proposé consiste à enregistrer la vitesse d'évaporation de l'eau qui imprègne un tapis granulaire faiblement immergé dans un bac horizontal, lui-même suspendu sous une balance, dans une étuve régulée à température modérée.
En absence de transpiration, on observe un phénomène appelé la poussée radiculaire, qui permet malgré la fermeture des stomates (par exemple pendant la nuit) d'avoir une absorption d'eau au niveau des racines. L'eau ne sera donc plus sous tension comme pour la transpiration, mais sous pression.
L'érable champêtre, l'érable platane, le frêne à fleurs, le mûrier platane, l'olivier, le savonnier de Chine, le tilleul à petites feuilles, le tilleul à grandes feuilles (moins résistant que celui à petites feuilles)... La rédaction vous conseille : Chêne vert, Quercus ilex. Chêne : les différentes espèces.
Les principaux arbres à ne pas planter près des maisons
La raison est simple : ils peuvent gêner les voisins en se développant de façon excessive et en obstruant les fenêtres par exemple. Ainsi, les variétés d'arbres à éviter près des maison sont : l'eucalyptus, le chêne, l'orme, le prunus ou encore l'acacia !
Les plus exigeants sont les fruitiers « à pépins », dont les fruits grossissent au cœur de l'été. Le poirier, notamment, exige annuellement 850 mm d'eau bien répartis sur l'année, ce qu'il ne trouve que dans le nord-ouest de la France.
Pour les arbustes et les buissons, c'est environ 5 litres par plante. Et si vous avez planté des arbres ou de grands arbustes, ils peuvent utiliser jusqu'à 10 litres par arbre ou arbuste.
Il ne suffit pas simplement d'arroser le sol. Versez une dizaine de litres d'eau au pied de chaque arbuste une fois par semaine pendant l'été. En hiver, selon la température et la météo, les plantes peuvent avoir besoin de plus ou moins d'eau.
À l'origine, elle visait à éviter que tous les troncs tombés ne pourrissent. Depuis, on a continué à utiliser ce procédé d'arrosage par ruissellement. L'eau qui est projetée dans les tuyaux est récupérée dans une cuve avant d'arroser à nouveau les troncs d'arbres.
Chez un arbre, environ 90 % de l'eau puisée dans le sol est évaporé par la transpiration des feuilles via de petites ouvertures appelées stomates.
En zone tempérée et s'il ne manque pas d'eau, un hectare de hêtre (Fagus sylvatica) émet dans l'atmosphère environ 25 tonnes de vapeur d'eau par jour durant une saison de végétation, ce qui représente une transpiration de 250 g d'eau par jour pour chaque arbre.
L'arbre puise l'eau contenant des sels minéraux grâce à ses racines. En parallèle, il capte du dioxyde de carbone au niveau de ses feuilles et de l'écorce. Le fameux CO2 présent dans l'atmosphère pénètre dans l'arbre par de petits orifices (les stomates).
En limitation de montée de sève : de novembre à avril (selon la région).
Les plantes absorbent de l'eau par le xylème ; c'est un tissu de tubes minces sur la tige externe des plantes. Le xylème transporte l'eau et les nutriments des racines vers toutes les parties de la plante. Les molécules d'eau sont attirées par les molécules du xylème ; l'eau afflue alors vers le haut.
Tous les bons livres ou magazines de jardinage nous conseillent toujours de faire une cuvette au pied de nos nouvelles plantations. L'intérêt de cette cuvette est de pouvoir arroser abondamment après la plantation, puis régulièrement pendant la période, plus ou moins longue, d'installation de la plante.
Quand : Pas le soir (le sol est chaud, l'eau que tu vas apporter vas essentiellement servir à refroidir le sol par évaporation), pas le matin (les plantes vont être en mode défense face au soleil et ne vont que très peu absorder l'eau). Arrose donc avant le lever du soleil!
Arrosage et engrais du pommier
Arrosez généreusement chaque pommier une fois par semaine, lors de la première année de plantation, entre avril et octobre. Espacez les arrosages à partir de la seconde année de plantation. Paillez le pied des pommiers pour limiter la croissance de l'herbe.