Faire alerter ou alerter les secours. Suivre les conseils donnés par les secours. Surveiller la victime en lui parlant régulièrement. Protéger la victime contre le froid, la chaleur et les intempéries.
Pour ce faire, placez vos mains à plat de chaque côté de la victime : cela évitera tout mouvement de la colonne vertébrale et permettra de garder droit l'axe tête-cou-tronc de la personne blessée. Dans tous les cas, il s'agit de surveiller la victime au moins 72 heures après le choc, même si ce dernier semble bénin.
Les premiers secours psychologiques, c'est savoir prendre soin de soi pour composer avec les pensées, les sentiments et les émotions qui nous habitent en période de stress, durant une crise ou après un traumatisme.
Dans l'attente des secours, prodiguer les gestes de premiers secours suivants : réaliser des compressions thoraciques et des insufflations (bouche-à-bouche), en alternant 30 compressions thoraciques et 2 insufflations pour tenter de réanimer la victime.
Le sauveteur secouriste du travail (SST) est un salarié de l'entreprise. Son rôle est de porter les premiers secours à toute victime d'un accident du travail, mais aussi d'être acteur de la prévention des risques professionnels dans son entreprise. Pour cela, il doit être régulièrement formé.
Les bons gestes :
- Mettre la victime en position latérale de sécurité (sur le côté) si elle est inconsciente. - Si la victime saigne abondamment, comprimer la plaie. - Couvrir la victime, lui parler, la réconforter. - Demander aux autres passants d'aider.
La sensibilisation aux Gestes Qui Sauvent (GQS) constitue pour les citoyens la première marche vers un parcours de citoyen-sauveteur qui s'étoffera tout au long de leurs vies. L'objectif présidentiel affirmé de disposer à l'horizon 2022 de 80% de citoyens formés, donne le cap pour ce type de formation.
Ce qu'il est possible de faire pour secourir les blessés : il faut s'assurer que la personne accidentée puisse respirer et que les voies respiratoires soient dégagées. il faut également rassurer la victime en lui parlant. Il faut également éviter de parler de ses blessures, pour ne pas la faire paniquer.
Couvrez le blessé : un blessé en état de choc a toujours froid ; Demandez aux badauds de vous aider... ou de s'éloigner. Si le blessé saigne abondamment : essayez d'arrêter l'hémorragie en comprimant la plaie avec un gros pansement (serviette par exemple)
Le secourisme, ou les premiers gestes élémentaires de survie, est l'ensemble des gestes pratiques simples qui peuvent prévenir le danger de mort immédiate, rendre le blessé transportable vers un centre hospitalier et réduire les conséquences immédiates et tardives des blessures.
Le programme de Premiers secours en santé mentale (PSSM) permet de former des secouristes capables de mieux repérer les troubles en santé mentale, d'adopter un comportement adapté, d'informer sur les ressources disponibles, d'encourager à aller vers les professionnels adéquats et, en cas de crise, d'agir pour relayer ...
L'intervenant est un formateur accrédité Premiers Secours en Santé Mentale (PSSM). La formation répartie sur 4 demi-journées ou 2 jours non consécutifs, a une durée totale de 14h. La session de formation 2022 est prévue à Périgueux, dans les locaux de la CPAM, en fin d'année, la date reste à définir.
Le traitement du syndrome de stress post-traumatique fait appel aux thérapies comportementales et cognitives, à l'EMDR, une technique de désensibilisation et de reprogrammation par les mouvements oculaires mise au point dans les années 1980 aux Etats-Unis, à l'hypnose ou à la sophrologie.
Une consultation avec un psychologue ou un psychiatre spécialisé dans les psychotraumatismes est donc recommandée. Plusieurs méthodes peuvent être employées : la thérapie cognitivo-comportementale (TCC), la désensibilisation par mouvements oculaires (EMDR) ou l'hypnose donnent de bons résultats.
Même si les victimes réclament de l'eau, il est interdit de leur en donner, car cela peut provoquer des étouffements et si une opération est nécessaire, elles devront être à jeun.
Adopter les comportements qui sauvent, c'est être acteur de sa propre sécurité et de celle de ses proches : savoir éviter les dangers, réagir de façon adaptée face à une menace, connaître les bons réflexes et les bons gestes pour ne pas être démuni face à l'urgence, quelle qu'elle soit.
Prenez le bras opposé de la victime, placez le dos de sa main contre son oreille, qui se trouve de votre côté. Maintenez la main de la victime pressée contre sa joue, paume contre paume. Avec l'autre main, attrapez la jambe opposée de la victime et relevez la tout en gardant le pied au sol.
Dans les cas où il n'y a pas de manière évidente de contrôler un danger ou si la réglementation n'impose pas de limite ou de norme, vous devez demander conseil à des professionnels de la santé au travail, comme un hygiéniste, ergonome, ingénieur ou un professionnel de la sécurité, afin de connaître les « bonnes ...
Sur les lieux de l'accident: garder son calme, organiser les secours, éviter les accidents en chaîne en balisant les lieux et prudence dans le ramassage et le transport des blessés. Connaître les gestes de première urgence: massage cardiaque externe, pansement compressif d'une hémorragie, immobilisation d'une fracture.
Un dégagement d'urgence doit être entrepris lorsque : Il est nécessaire d'éloigner la victime du lieu de l'accident (risque de sur-accident, d'explosion, incendie, fuite de gaz...). La victime est facilement accessible. La personne qui vient porter secours ne se met pas elle-même en danger.