Difficilement, car sans lumière les plantes disparaîtraient, suivies des animaux. Par ailleurs, sans la chaleur du soleil, la surface terrestre se refroidirait jusqu'à atteindre la température de l'espace: environ –270 °C.
C'est le phénomène de l'effet de serre naturel. Sans cet effet de serre, la température à la surface de la Terre serait de -18°C et la vie, si elle s' y avérait possible, serait fort différente.
Bref, dans l'Univers il peut faire froid, très froid… Mais pas jusqu'au zéro absolu! Le zéro absolu (dit 0 K ou 0 Kelvin) vaut -273,15 °C. C'est la température la plus basse «permise» (en fait on ne peut que s'en approcher) par la physique, car en théorie cela signifie que les atomes ne bougent plus.
Dans l'espace, il n'y a pas d'air. Les échanges de chaleur se font uniquement par échange de rayonnement, et pas par rayonnement et convection et conduction comme sur Terre.
Oui. Dans cinq milliards d'années, il se transformera en géante rouge, puis en naine blanche, qui se refroidira lentement.
Véritable boule de feu, le soleil est constitué de gaz ionisés. L'astre est vieux d'environ 4.5 milliards d'années, il s'est formé par l'effondrement gravitationnel d'une nébuleuse sur elle-même.
La planète sera de plus en plus surpeuplée et ses habitants se concentreront dans les villes. Les technologies produiront davantage de richesses, mais il faudra tenir compte des inégalités et de la durabilité. La population mondiale atteindra 9,8 milliards de personnes en 2050 et se concentrera dans les villes[1].
C'est un constat qui se fait aisément en haute altitude, où l'eau bout en dessous de 100 °C, car l'atmosphère y est amoindrie et donc la pression également. De la même manière, de l'eau liquide placée dans une chambre à vide se mettra à bouillir rapidement et intensément.
Les scientifiques ont fait chuter un gaz quantique d'une tour pour dépasser le zéro absolu. Des physiciens allemands sont parvenus à produire la température la plus froide jamais enregistrée. Le zéro absolu, difficile à dépasser, est stabilisé à -273,15°C (soit 0 Kelvin).
L'échelle de Kelvin impliquait logiquement une température minimale naturelle, où les particules cessent complètement de bouger. C'est le « zéro absolu » ou le zéro kelvin. Il a été calculé que cette température correspond à -273,15°C.
L'Éthiopie, record des pays les plus chauds
Certainement l'un des pays les plus chauds de la planète, l'Éthiopie voit la température varier entre 45 °C et 60 °C sur le site de Dallol. De quoi être largement en tête de notre classement.
Quelle est la température la plus basse à la surface de la Terre ? -98°C d'après des mesures satellites récentes. Cette température extrême a été enregistrée sur la calotte glaciaire du milieu de l'Antarctique au cours d'un long hiver polaire.
De jour, l'absorption du rayonnement solaire est bien supérieure à l'émission du sol à travers l'atmosphère si bien qu'au final le sol chauffe sur une faible épaisseur dizaine de centimètres. La nuit, l'absorption du rayonnement solaire n'a plus lieu et le sol se refroidit vers le ciel à travers l'atmosphère.
Il s'agit principalement des éléments uranium, thorium et potassium. Par exemple, la désintégration du noyau de l'uranium 238 donne en moyenne 6 neutrinos en même temps qu'elle libère 52 méga-électron-volt d'énergie portée par les particules émises qui s'arrêteront dans la matière et déposeront de la chaleur.
L'effet de serre
La Terre reçoit en permanence de l'énergie du soleil. La partie de cette énergie qui n'est pas réfléchie par l'atmosphère, notamment les nuages, ou la surface terrestre est absorbée par la surface terrestre qui se réchauffe en l'absorbant.
La température de Planck est la température de l'univers à 1 temps de Planck après le Big Bang, et est considérée comme la température maximale possible de facto. On a calculé qu'elle était d'environ 1,4 × 1032°C (140 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000°C).
Car, pour ce qui est des records de froid, la limite est vite atteinte. La température la plus basse qui puisse exister est le zéro absolu et correspond à environ −273,15 °C.
Le nouveau record est de 46,0 °C mesurés à Vérargues dans l'Hérault le 28 juin 2019. De nombreuses stations ont mesuré des valeurs exceptionnelles. 45,9 °C ont ainsi été relevés le 28 juin 2019 à Gallargues-le-Montueux dans le Gard.
En effet, la faible valeur de la pression de son atmosphère (0,66 millibars), qui peut varier de 30 % au cours de l'année, ne permet pas à l'eau liquide de s'y maintenir : tant que la pression partielle en H2O est inférieure sur une planète à 6,1 millibars, l'eau ne peut exister que sous forme de vapeur ou de glace.
1644 : découverte de la notion physique du vide par Torricelli.
Ainsi, sous 1 atmosphère, soit la pression atmosphérique normale, l'eau bout effectivement à 100°C. Lorsque la pression augmente, on voit que la température d'ébullition augmente elle aussi : il faudra chauffer plus pour obtenir de la vapeur.
1/ Les Pays-Bas.
En Europe, Londres (Royaume-Uni) ou encore Venise (Italie) ne sont pas en reste. En France, des villes comme Bordeaux et ses alentours, la région de Saint-Nazaire et les villages de la côte montpelliéraine pourraient être les premières à disparaître sous les eaux.
Du côté du littoral méditerranéen, la Camargue et les villes de Sète, Marseille, Toulon et Nice, subiraient le même sort.