Réaliser des économies d'énergie, trier ses déchets, utiliser moins de papier : ces gestes du quotidien permettent de réaliser des économies pour l'entreprise d'un côté, et de préserver les ressources de la planète de l'autre.
En conclusion, la RSE et la digitalisation offrent tous deux des avantages et des inconvénients pour une entreprise. La RSE peut améliorer la réputation, l'engagement des employés et la gestion des risques, mais elle peut également impliquer des coûts supplémentaires et des défis de conformité.
La RSE vise à concilier performances économiques, sociales et environnementales de manière volontaire. Désormais, la prise en considération des enjeux sociaux et environnementaux est inscrite dans la définition de l'intérêt social des sociétés.
Au vu de la définition ci-dessus, nous pouvons voir que la RSE se caractérise par trois piliers : le pilier économique, le pilier environnemental et le pilier social. Ces trois piliers sont interconnectés, ils s'articulent entre eux et ne peuvent fonctionner l'un sans l'autre.
En d'autres termes, la RSE c'est la contribution des entreprises aux enjeux du développement durable. Une entreprise qui pratique la RSE va donc chercher à avoir un impact positif sur la société tout en étant économiquement viable.
La mise en place d'une démarche RSE présente de nombreux avantages : cela aide à bâtir la réputation d'une entreprise, cela aide à développer de nouveaux produits et services, cela conduit à des niveaux plus élevés de satisfaction de la clientèle et enfin, cela rend l'entreprise plus compétitive sur le marché.
Les principaux risques encourus par une entreprise qui se lance dans la mise en place d'une démarche RSE peuvent être : un risque juridique, puisque certains engagements peuvent mettre votre entreprise ou un salarié à mal vis-à-vis de la loi, des autorités administratives, du droit du travail ou du droit des affaires.
La RSE devrait, dans un avenir plus ou moins proche, tendre vers un renforcement de la gestion des données détenues par les entreprises en incitant ces dernières à former aux enjeux du numérique les dirigeants, salariés et autres acteurs de l'entreprise.
En somme, un investissement positif sur tous les fronts.
La démarche RSE, une fois intégrée, n'est plus une charge financière, mais une manière de gagner en compétitivité, de s'adapter aux attentes de ses clients et de gagner en productivité.
Quels sont les principes de la RSE ? L'objectif principal de la Responsabilité Sociétale des Entreprises est de responsabiliser les entreprises, de toutes les tailles et de tous les secteurs, vis-à-vis de l'impact environnemental et humain de leurs activités.
Cette loi PACTE rend obligatoire pour toutes les entreprises la prise en « considération des enjeux sociétaux et environnementaux de son activité » (Article 1833 du Code Civil).
Définition avantage concurrentiel (avantage compétitif) :
Un avantage concurrentiel (ou avantage compétitif) est un élément qui permet de différencier considérablement une offre face à ses concurrents. Il offre à l'entreprise qui le possède une position dominante sur son marché.
La RSE favorise les mutations écologiques de la société car elle incite les entreprises à intégrer une dimension environnementale dans leurs activités. À travers la RSE, les entreprises vont œuvrer pour la protection et la préservation de la planète.
Une bonne stratégie RSE est également gage d'une entreprise saine et en bonne santé. La société n'apparaît plus comme un simple producteur de biens ou de services mais un acteur engagé, responsable, respectueux et éthique. Les entreprises se voient souvent reprocher de ne pas s'engager suffisamment.
La contribution au développement local ; Les relations et conditions de travail ; Les bonnes pratiques des affaires ; La protection des consommateurs.
Les méthodes d'analyse et de reporting RSE sont trop peu développées. Lorsque les entreprises sont prêtes à s'engager dans des démarches RSE, elles se heurtent au manque d'outils pour mesurer l'impact social et environnemental de leurs activités. Il existe en effet de nombreuses pratiques de reporting et d'analyse.
Lorsque l'entreprise s'engage dans la RSE, elle veut engager une responsabilité et avoir un impact/effet positif sur la société et en matière d'environnement. Plus concrètement, cela implique d'aligner les intérêts de ses activités commerciales avec les enjeux du développement durable.
L'absence de définition collective claire de la « responsabilité » de l'entreprise. Voilà le fond du problème, la raison pour laquelle la RSE ne fonctionne pas. C'est que nous n'avons jamais défini collectivement ce qu'était la « responsabilité » de l'entreprise.
la lutte contre l'exclusion sociale ; le respect des droits humains ; l'octroi de bonnes conditions de travail et l'amélioration du bien être des salariés (formations, communication, qualité de vie au travail…) ; le renforcement de l'égalité des chances et de la diversité.
La RSE améliore la performance des entreprises françaises
En résumé, les entreprises mettant en place une politique RSE sont en moyenne 13% plus performantes que les autres.
Deux types de risques sont concernés : d'une part, ceux liés aux activités de l'entreprise donneuse d'ordre, d'autre part, ceux liés aux activités des tiers sous-traitants et fournisseurs avec lesquels l'entreprise donneuse d'ordre entretient une relation commerciale établie.