Une proposition subordonnée conjonctive circonstancielle de cause est introduite par une conjonction de subordination exprimant la cause et est complément circonstanciel de cause de la proposition principale. Les feuilles tombent parce que l'automne arrive.
La subordonnée conjonctive circonstancielle de conséquence peut être… introduite par les conjonctions : au point que, de sorte que, de façon que, si bien que ; Exemple : Bob est très intelligent [si bien qu'il réussit sans peine].
La proposition subordonnée conjonctive circonstancielle de but est introduite par pour que, afin que, de peur que. Ex. : Il s'adresse à un ami pour qu'il l'aide à trouver du travail. Il lui rappelle sa promesse de peur qu'il ne l'oublie.
La proposition subordonnée circonstancielle de conséquence (ou consécutive) exprime le résultat du fait exprimé dans la principale. Cette proposition est introduite par une locution conjonctive de subordination ou annoncée dans la principale par un système corrélatif.
Les termes et structures qui expriment la conséquence sont : donc, alors, ainsi, en conséquence, par conséquent, c'est pourquoi, si bien que, de manière que, de façon que, de sorte que, si … que, tellement … que, au point de/que, à tel point que, un tel … que, une telle … que, de tels … que, de telles … que, il suffit ...
Adam et Ornicar
Mais où est donc Ornicar ? Classique interrogation pour retenir la liste des conjonctions de coordination : Mais, ou (sans l'accent), et, donc, or, ni, car. Mais connaissez-vous Adam ? Adam part pour Anvers avec cent sous, entre derrière chez Decontre.
Comment exprimer l'opposition ? -> en utilisant un infinitif ou un nom précédé de "au lieu de", "bien loin de", "malgré", "en dépit de", "par contre"... C'est la proposition infinitive ou le groupe nominal qui exprime l'opposition. exemples : Au lieu de pleurer, tu ferais mieux de travailler.
La prop.
La proposition subordonnée circonstancielle concessive exprime une action en opposition avec l'action de la principale. Elle est introduite par des conjonctions de subordination comme - bien que, quoique, malgré que. Le verbe est conjugué au mode subjonctif. Exemple : Il est venu bien qu'il soit malade.
La subordonnée complétive est une phrase enchâssée qui est généralement introduite par la conjonction que. Elle est appelée complétive, car elle remplit très souvent la fonction de complément.
Une proposition est dite conjonctive quand elle commence par une conjonction de subordination (en français : que, dès que, pendant que, quand, parce que, puisque, bien que, quoique, si, même si, etc).
Par cause, on entend l'action ou la situation qui est à l'origine d'un évènement, et par conséquence, on veut dire l'évènement qui résulte d'une action ou d'une situation.
Les subordonnées exprimant l'opposition simple sont introduites par alors que, tandis que, quand, lorsque + indicatif. Alors qu'il aime la musique, Jean ne peut jamais en écouter. Attention à ne pas confondre ces subordonnées avec celles de temps introduites par les mêmes conjonctions.
La concession est le fait de relier deux faits qui, bien que contradictoires, n'ont pas empêché l'action de se dérouler. Son expression se fait par le biais d'un complément circonstanciel de concession.
Les adverbes de liaison et de relation logique
Liste d'adverbes de liaison et de relation logique : par conséquent, donc, ensuite, en revanche, encore, même, par ailleurs, en revanche, cependant, néanmoins, certes, enfin, tout de même, pourtant, toutefois, par contre, seulement, ainsi, alors, puis…
Une conjonction de coordination est un mot (ou groupe de mots), invariable, qui relie deux mots, propositions ou phrases. Un adverbe de liaison est un mot (ou groupe de mots), invariable, qui relie deux mots, propositions ou phrases.
Les conjonctions de coordination sont : et, ou, ni, mais, car, or, donc. Elles servent à relier deux éléments de fonctions différentes. Je pense que tu peux gagner le match . Quelques conjonctions de subordination : que, puisque, comme, si, quand, lorsque, quoique,....
Les termes et structures qui expriment la cause sont : parce que, puisque, comme, car, en effet, étant donné (que), vu (que), du fait de, en raison de, faute de, sous prétexte que, suite à, à cause de, grâce à, pour et par.
La cause est un fait qui entraîne un autre fait. Exemple : Je m'arrête, car je suis fatiguée. Je m'arrête : pourquoi ? Parce que je suis fatiguée.
On pourrait dire : « en effet, il est plus intelligent. » « Par conséquent », « ainsi », « alors » et « du coup » sont quant-à eux des adverbes de conséquence, ils introduisent une proposition qui exprime la conséquence de ce qui vient d'être dit.
Il existe trois sortes de propositions subordonnées : – les propositions subordonnées complétives ; – les propositions subordonnées circonstancielles ; – les propositions subordonnées relatives.
Exprimer la cause signifie donner la raison d'un événement ou d'un comportement mais aussi justifier ses actes. Voilà les conjonctions et les tournures qui expriment la cause. - Pourquoi elle n'est pas venue ? - Parce qu'elle était malade. Comme elle était malade, elle n'est pas venue.
2) Dans une phrase complexe,
parce que, comme (obligatoirement placé en tête de phrase), parce que, puisque (suppose que la cause est déjà connue), étant donné que, sous prétexte que, d'autant que. Puisque vous le voyez souvent, assurez-le que je l'aime beaucoup.
MAIS, OU, ET, DONC, OR, NI, CAR sont des conjonctions de coordination. Elles coordonnent ou lient deux mots ou deux propositions de nature ou de fonction identiques.