Attention à ne pas trop chauffer selon le matériau. Pour l'impression du PLA il ne faudra pas dépasser 50°C car l'effet inverse peut être obtenu, le PLA commençant à devenir malléable à partir de 40-50°C.
Solution 1 : Mise à niveau du plateau. C'est la solution à privilégier, le plateau doit être le plus de niveau et le plus droit possible avant de lancer une impression. Si le plateau est de travers, la buse pourrait être bien réglée à droite du plateau par exemple, et avoir trop de jeu plus à gauche.
Aujourd'hui, la plupart des imprimantes 3D en sont équipées, mais il s'agit toujours de le régler à la bonne température. Pour le PLA, on recommande généralement de le chauffer à 70 °C, mais ça ne marche pas à tous les coups. Selon nous, la plage idéale se situe en réalité entre 55 et 70 °C.
Ce filament sous sa forme standard s'imprime généralement entre 190 et 210 °C pour des vitesses allant de 40 à 80 mm/s.
Un extrudeur encrassé va avoir tendance à être moins efficace sur les mouvements de filaments. Il pourra créer des défauts irréguliers et augmente fortement le risque de grinding. De la même manière, un extrudeur mal « calibré » peut aussi causer certaines problématiques d'entraînement du filament.
Le grattoire ou la spatule en métal est également très pratique pour le nettoyage du plateau d'impression si vous utilisez comme filament de l'ABS, du PLA ou du nylon. De plus, vous pouvez vous servir d'une lame de grattoire pour le nettoyage du plateau d'impression en verre de votre imprimante 3D.
Ainsi, parmi les méthodes de lissage existantes pour le PLA, le papier de verre est souvent la solution incontournable. L'idée est d'utiliser successivement différentes tailles de grain jusqu'à obtenir une surface plus lisse.
Plus l'épaisseur de couche est importante plus le temps d'impression sera réduit. Schématiquement, une impression en 100 microns nécessitera près de 3 fois plus de temps qu'une impression en 300 microns. Le standard, sorte de compromis entre définition et temps d'impression, est l'impression à 200 microns (0.20 mm).
La température
Vous l'avez tous constaté en décollant votre pièce après impression: il vous faut attendre que le plateau refroidisse pour que la pièce se décolle parfaitement. C'est élémentaire, de la pure physique : le plastique se dilate en chauffant. À contrario il se rétracte en refroidissant.
Cela est généralement dû au suintement de plastique hors de la buse pendant que l'extrudeuse se déplace vers un nouvel emplacement.
En terme de valeurs, sur les imprimantes actuelles, une vitesse de référence de 50mm/s ou 60mm/s est plutôt qualitative, alors qu'à 80 ou 90mm/s on est cherche à gagner du temps, au détriment de la qualité. Pour faire de la haute qualité, on pourra baisser encore en vitesse, à 40, voire 30mm/s.
La meilleure façon d'éviter le warping est d'utiliser un plateau chauffant. Il permet de maintenir le matériau à une température juste au-dessous du point où le matériau se solidifie (la température de transition vitreuse). De cette manière, nous somme sûr qu'il reste plat et connecté au plateau d'impression.
L'alcool isopropylique est un bon solvant pour les cires, les huiles, les résines et de nombreux autres produits mais aussi un agent de nettoyage (capteurs, connecteurs optiques, buses d'imprimantes), de dégraissage et de déshydratation. C'est le nettoyant idéal pour n'importe quel plateau d'impression 3D.
Le véritable ABS standard a besoin d'une température d'enceinte proche des 80°C pour ne pas souffrir de déformation ou de décollement. Cette température de fabrication permet également de maximiser la liaison des couches et ainsi de renforcer et fiabiliser les pièces imprimées.
Dans l'impression 3D, l'épaisseur de paroi correspond à la distance entre une surface de votre pièce et la surface opposée. Une pièce qui entrerait dans une boîte de 250 x 250 x 300 mm doit être conçue avec une épaisseur de paroi minimale de 1 mm.
La hauteur de couche doit être inférieure à 80% du diamètre de la buse (par exemple, la hauteur de couche maximale avec une buse de 0,4 mm est d'environ 0,32 mm).
Les pattes d'éléphants sont les parties écrasées sur le plateau à la base d'une impression, à la manière des jeans patte d'éléphant. Pour corriger cela il faut vérifier que le filament et la buse ont le même diamètre que dans le trancheur, calibrer l'extrudeur de votre imprimante 3D FDM.
Double cliquez sur votre imprimante. Dans la fenêtre qui s'ouvre, cliquez sur le menu Imprimante puis sur Propriétés. Ouvrez l'onglet Avancé de la fenêtre qui s'affiche. Sélectionnez alors l'option Lancer l'impression après la mise en spouleur de la dernière page.
Des facteurs tels que le réseau que vous utilisez, les dispositifs de sécurité mal configurés, la qualité de la sortie d'imprimante, le papier que vous utilisez et même l'installation du dernier micrologiciel peuvent également influencer la vitesse d'impression.
Lorsque vous configurez le produit pour imprimer sur certains types de papier, du papier épais par exemple, le produit imprime plus lentement afin d'appliquer correctement le toner sur le papier. Si le paramètre de type de papier ne correspond pas au type de papier utilisé, remplacez-le par le type de papier approprié.
Commencez par préchauffer le four. Nous préconisons une recuisson en deux fois. Une première fois à 40°C pendant 4h20 puis la seconde à 80°C pendant 1h20. De cette façon, même si on obtient pas la TFC maximale, la pièce ne se déformera pas.
Le ponçage, simple mais efficace
Le ponçage est compatible avec la grande majorité des thermoplastiques du marché. Cette méthode est simple : elle consiste à passer du papier de verre avec un grain assez fin sur votre objet afin de retirer les impuretés et de lisser votre pièce.
Les vernis et résines
Pour le brillant, on utilisera plutôt les vernis en pot de Prince August ou de Pebeo.