Traditionnellement, on fait appel à des plantes médicinales telles que les feuilles de bouleau, les feuilles d'ortie, les feuilles d'orthosiphon ou le solidage verge d'or : une infusion avec Sidroga Feuilles d'ortie, Sidroga Feuilles de bouleau ou avec Sidroga Tisane pour la vessie et les reins.
Le thym est bon pour soigner les infections urinaires . En cas de cystite, vous devez de toute façon boire beaucoup pour diluer les germes présents dans la vessie : grâce à ses propriétés antiseptiques et diurétiques, la tisane de thym s'avère plus efficace que l'eau pure pour lutter contre la maladie.
Le problème des agrumes est qu'ils sont hautement acides et peuvent irriter la vessie. Ce qui aggravera seulement l'incontinence. Il faut garder à l'esprit que ces agrumes sous forme de jus devraient également être évités.
Les traitements de la rétention urinaire sont généralement les suivants : drainage de la vessie. dilatation urétrale. stents urétraux.
Le bouleau, dont l'usage remonte au Moyen-Âge, est connu pour ses propriétés diurétiques et dépuratives. Au même titre d'ailleurs que la bruyère, sur laquelle les herboristes retiennent surtout les sommités fleuries.
Consommer de la pastèque pour nettoyer sa vessie
Sa haute teneur en eau et en substances antioxydantes lui donne un effet diurétique qui contribue à éliminer les liquides ainsi que les déchets. De plus, faire bouillir ses pépins dans l'eau permet d'obtenir un merveilleux thé et décuple ses propriétés.
Ceci est dû au fait qu'une hypertrophie de la prostate peut entraîner une obstruction qui limite le flux d'urine et empêche ainsi la vessie de se vider complètement. Chez les femmes, les tissus affaiblis, étirés ou endommagés peuvent entraîner un prolapsus (cystocèle) et un déplacement de la vessie.
Il existe deux principales causes de la rétention urinaire : causes obstructives et causes non obstructives. S'il existe une obstruction (par exemple des calculs rénaux), l'urine ne peut pas s'écouler librement par la voie urinaire.
Une vessie qui ne se vide pas complètement favorise le développement des bactéries et donc des infections urinaires récidivantes, et expose à un risque d'incontinence par regorgement (voir encadré). En cas de rétention longuement négligée, la vessie peut même se distendre.
Le jus de canneberge : il permet également d'éviter que les bactéries responsables des cystites ne s'accrochent aux parois de la vessie. Il est plus utilisé en prévention, mais peut être un traitement complémentaire aux antibiotiques lors d'une infection urinaire.
L'Hépar est généralement recommandée car il s'agit d'une eau composée de minéraux qui réduit les risques de constipation. Or, la constipation est un autre facteur qui augmente les risques d'infection urinaire, car elle signifie une concentration de bactéries près de votre urètre.
Pour les éliminer, optez pour une eau type Contrex, Vittel, Volvic ou Perrier, dont la composition minérale favorise le drainage et la diurèse. L'eau lors d'un régime sert aussi de coupe faim : au lieu de craquer sur un aliment, on boit.
Le vinaigre de cidre favorise le rinçage des reins et de la vessie et prévient la formation de calculs rénaux et vésicaux. C'est un puissant antimicrobien, comme l'indique une étude publiée par Natural Product Research.
En plus de l'effet diurétique, les thés à base de feuilles de busserole ont également un effet désinfectant sur les infections de la vessie. Cet effet aurait également des plantes médicinales telles que la camomille ou la sauge, ainsi que le thé vert.
Pour cela, il faut boire beaucoup d'eau. Beaucoup boire, c'est quoi ? C'est prendre une bouteille de 1,5 litre et la boire en 30 minutes. Dans l'heure qui suit, la vessie se remplira d'urine plusieurs fois et vous irez uriner souvent, évacuant ainsi les bactéries.
La camomille possède un léger effet diurétique et elle contient des composés aux propriétés anti-inflammatoires et antibactériennes (13).
Le saw palmetto est reconnu pour améliorer le débit urinaire et jouer un rôle positif sur la fréquence des mictions.
"Le besoin d'uriner est progressif. On commence à ressentir quelque chose dans la vessie à partir de 100 à 150 millilitres et ensuite, le besoin va s'accentuer pour devenir vraiment impératif aux alentours de 300-350 millilitres et douloureux au-delà de 400 millilitres. On parle alors de blocage, de rétention.
Traitement de la rétention urinaire
Si les personnes ne peuvent pas uriner du tout, les médecins insèrent immédiatement un mince tube de caoutchouc dans la vessie (une sonde urinaire) pour évacuer l'urine retenue et soulager les personnes. La cause de la rétention urinaire est traitée.
Classiquement, le patient se présente en urgence dans l'incapacité d'uriner malgré une sensation de réplétion vésicale, associée à une douleur sus-pubienne. Il est souvent agité et très inconfortable.
Toutes les boissons alcoolisées favorisent les infections urinaires puisque l'alcool est irritant pour la paroi de la vessie. Il facilite donc l'inflammation et l'infection.