Voltaire : « le travail éloigne de nous trois grands maux : l'ennui, le vice et le besoin » (in Candide, Voltaire). Travailler évite à l'homme de s'ennuyer ou de sombrer dans le vice. Cela lui permet également de subvenir à ses besoins. Le travail est donc utile à l'homme, même s'il est parfois difficile ou pénible.
Voltaire a plaidé pour la tolérance et l'égalité, et contre le fanatisme et la noblesse. Pendant toute sa vie il a lutté contre l'injustice et l'intolérance. En effet, Voltaire s'est battu pour la tolérance, il a utilisé Dieu pour dire qu'il faut se respecter même si nous sommes différents.
Le travail a une valeur morale. Précisément, en soumettant ses appétits et ses désirs immédiats au pouvoir de sa volonté, l'homme au travail apprend à les dominer: ainsi le commerçant devra-t-il faire preuve de diplomatie et de patience s'il veut conserver ses clients.
La morale de Voltaire est que le travail (jardinage) évite l'ennui (occupe le temps), le besoin ( car il produit de la richesse) et le vice (car il n'est pas tenté de dérober les biens d'autrui ).
Tout d'abord, au sens économique, le travail est producteur de valeur. Travailler pour produire des biens et des services consiste à accomplir une tâche par laquelle on va contribuer à agir sur le réel pour le transformer et lui donner ce que l'on appelle une valeur ajoutée.
Le travail a une grande valeur, il ne s'agit pas de le nier. Il développe des vertus morales, permet à l'individu de se sentir utile socialement et lui donne des raisons de vivre. Il est au principe de la civilisation et de ses progrès. Mais il ne faut pas sous estimer sa part maudite.
Voltaire dénonçait l'injustice sociale, l'intolérance religieuse et le pouvoir arbitraire. Ses idées appartenaient à l'esprit des Lumières, un mouvement philosophique, scientifique et littéraire du 18e siècle qui voulait défendre la Raison et la Liberté de l'Homme contre l'obscurantisme et les persécutions.
Voltaire a estimé que l'État devrait avoir une religion officielle, les autres devant seulement être tolérées. Il lutte cependant contre la persécution des mécréants et des croyants d'autres religions, à commencer par les protestants. Voltaire combat pour la défense des victimes du fanatisme religieux.
Il diffuse ses idées philosophiques à travers des poèmes, des contes (Candide, Micromégas, L'Ingénu, Zadig), des essais historiques (Le Siècle de Louis XIV), des pièces de théâtre, ou encore via son Dictionnaire philosophique.
Les principes de solidarité, de justice sociale, de laïcité, de responsabilité collective, et le respect des différences, des diversités, de l'altérité sont au cœur du travail social.
Calcul de la valeur absolue
La façon la plus évidente de mesurer la valeur pour les travailleurs qui accomplissent le travail est d'utiliser leur salaire ou leur rémunération.
Voltaire apparaît comme le premier philosophe engagé, vouant ses écrits et ses interventions au service de la liberté de penser, de croire, de la tolérance et de la justice.
Voltaire est un poète, écrivain, dramaturge, historien et philosophe français né le 21 novembre 1694 et décédé le 30 mai 1778. Auteur des Lettres philosophiques et de Candide ou l'Optimisme, c'est aussi un grand humaniste qui s'est battu toute sa vie contre le fanatisme religieux et la liberté d'opinion.
Son importance historique :
Voltaire est un philosophe des Lumières et un écrivain engagé : il dénonce la guerre, il critique le roi et l'Eglise : il veut réformer les structures sociales et judiciaires de son époque : il combat l'injustice et l'intolérance religieuse, il défend la liberté de penser et d'expression.
Nous avons étudié dans l'œuvre de Voltaire, les différents combats qu'il mène à travers Candide et son voyage. Voici les principales idées que Voltaire dénonce : la société, l'optimisme, la guerre, la religion, le pouvoir et l'esclavage.
Voltaire devient célèbre à 24 ans grâce au succès de sa tragédie Œdipe (1718). « Il fit croire, des Enfers, Racine revenu » écrit le prince de Conti.
Outre le fait que le travail fournit un revenu et permet de subvenir à ses besoins et à ceux de sa famille, il donne la possibilité de s'accomplir, procure le sentiment d'être utile, contribue à la valorisation et favorise le développement de l'estime de soi.
Ce sont en effet ses écrits philosophiques, illuminés par ses contes du genre, qui nous sont parvenus de manière décisive. Voltaire a toujours lutté, dans ses idées, pour la tolérance. Son combat contre l'arbitraire et le fanatisme s'illustre notamment à travers trois œuvres : Les Lettres philosophiques (1734)
La valorisation retenue est confirmée par des experts du repreneur (expert-comptable, avocat, notaire conseiller en fusion acquisition etc.).
Les valeurs humaines
Ces valeurs humaines sont notamment le respect, l'acceptation, la considération, l'appréciation, l'accueil, l'ouverture, l'entraide, la réciprocité, la solidarité, l'écoute, la bienveillance, l'empathie, la fraternité, l'affection et l'amour envers d'autres êtres humains.
Les valeurs professionnelles, ce sont finalement les valeurs propres à chaque individu qui, au-delà de leur vie personnelle, s'expriment dans leur travail. Car quelqu'un qui prône l'humanisme et la bienveillance dans son cercle familial et amical conserve généralement ces valeurs au travail.
Les valeurs peuvent être définies comme des grands principes moraux servant de repères aux individus dans la conduite de leur vie sociale. Elles sont interdépendantes et constituées en système.
« Liberté, égalité, fraternité ». « Liberté, égalité, fraternité » est la devise de la République française.
Les dix valeurs fondamentales et universelles que Schwartz (1992) a mises en avant sont l'autonomie, la stimulation, l'hédonisme, la réussite, le pouvoir, la sécurité, la conformité, la tradition, la bienveillance et l'universalisme.