Il est recommandé d'éviter la consommation de viande crue ou peu cuite (viande hachée de cheval ou de bœuf, steak tartare, barbecue sans cuisson à cœur, viande de volailles pas suffisamment cuite…) en particulier par les personnes sensibles : jeunes enfants, femmes enceintes et personnes âgées ou immunodéprimées.
Une consommation excessive de viande rouge et de viande transformée (voir recommandations nutritionnelles) est déconseillée pour la santé en raison de leur association avec une augmentation de l'incidence de maladies cardio-vasculaires, du diabète sucré et du cancer colo-rectal (CSS 2019).
Quelle viande privilégier ? Les viandes les plus intéressantes nutritionnellement sont la volaille comme la dinde, le poulet, voire la pintade riche en fer. Mais aussi les œufs, bio en priorité. Le label Bleu-Blanc-Cœur garantit une alimentation aux graines de lin, qui enrichissent les œufs en acides gras Omega 3.
Les larves siègent dans les muscles du bœuf. Si la viande bovine est crue ou mal cuite, elles restent vivantes et se fixent dans l'intestin du nouvel hôte, l'être humain.
Comment les vers intestinaux se transmettent-ils? Par contact direct : Des œufs peuvent se déposer sur les doigts ou sous les ongles d'une personne infectée qui se gratte aux endroits qui lui démangent. Si cette personne touche à la bouche d'une autre personne, elle lui transmettra les vers intestinaux.
Un autre usage consiste à frotter les gousses d'ail fraîches sur vos pieds. De nombreuses autres herbes sont efficaces dans la lutte contre les parasites intestinaux. On peut citer le thym, la sarriette, la camomille, l'aunée, le romarin, l'armoise et la gentiane.
Les viandes blanches késako ? Les viandes blanches sont celles provenant des volailles (poulet ou dinde) et du lapin. Elles sont considérées comme des alliées importantes d'une alimentation saine. Leur teneur en matières grasses est plus modérée que celle des viandes rouges et leur taux en protéines varie.
Dans l'alimentation actuelle, le porc et la charcuterie représentent aussi la plus grande source de sel, qui est devenu l'un des trois ennemis prioritaires pour la santé publique. La salaison a permis au cours des siècles de conserver les viandes, mais il est désormais urgent de diminuer notre consommation en sel.
De la viande rouge (bœuf, veau, agneau) : 1 à 2 fois par semaine ; De la viande blanche (porc, volaille, lapin) : 1 à 3 fois par semaine ; De la charcuterie, du gibier ou des abats : 1 à 2 fois par semaine et pas plus de 50 g par jour.
Le campylobacter est une autre bactérie que l'on peut trouver dans le poulet. Elle cause la campylobactériose, une toxi-infection dont les symptômes peuvent être graves. Les enfants, les personnes âgées et celles qui ont un système immunitaire affaibli sont plus à risque d'en être atteints.
Le poulet : champion en vitamines
Riche en vitamines du groupe B, à l'origine du métabolisme des lipides, glucides et protéines, le poulet agit sur les systèmes nerveux et contribue au bon fonctionnement général de l'organisme. En outre, il permet de conserver une peau saine et en bonne santé.
La viande de porc est riche en protéines elle en contient près de 20 g pour 100 g de viande crue et environ 25g pour 100g de viande cuite. Le porc apporte aussi des vitamines, sa viande est réputée pour sa richesse en vitamines B1.
La volaille est la viande à privilégier au quotidien selon le PNNS*. Comme de nombreuses viandes de volaille, le poulet possède de qualités pour le corps… et la santé ! Son premier atout : le poulet est riche en protéines (26g/100g) : un plus pour augmenter la masse musculaire (et donc, la performance des sportifs !).
La viande rouge
Les viandes rouges sont difficiles et longues à digérer car elles sont longues à mastiquer. Pouvant provoquer ballonnements et flatulences, l'organisme met donc une grande énergie dans la digestion, ce qui peut entraîner une fatigue d'autant plus accrue en cas de baisse de régime.
Le porc contient plusieurs nutriments essentiels à la santé. Il renferme des protéines de haute qualité. Il est également riche en zinc, en sélénium et en vitamines du groupe B, spécialement la vitamine B1 (thiamine) dont les taux surpassent ceux des autres viandes.
La viande de dinde est très intéressante pour la santé. Cette viande blanche est faible en lipides, peu grasse elle est l'alliée d'une alimentation équilibrée et variée. La dinde est faible en calories. Avec les protéines et les glucides, les lipides représentent l'une des trois grandes familles de macronutriments.
Si une saucisse est ibérique, ça veut dire, les porcs dont elles proviennent ont vécu en liberté et ont mangé des glands ou sont nourris au bon fourrage) alors cette saucisses vous apporteront des acides gras bons, en plus, vous aideront à élever votre niveau de fer dans le sang.
Il est riche en potassium et en zinc. Son apport en fer est moindre comparé à la viande rouge, il s'agit toutefois de fer bien assimilable. Enfin, le veau apporte des vitamines du groupe B, en particulier PP (B3) et B12 : selon le morceau, 100 g représentent jusqu'à 50 % de l'apport quotidien conseillé en vitamine PP.
Le cheval. Le cheval fait partie des viandes rouges. Il contient 18,8% de protéines et 10% de lipides dont 3,6% d'acides gras saturés.
Il n'existe pas une appellation scientifique du "ver de la femme". C'est une expression généralement utilisée au quartier, mais inconnue du jargon médical. Nous parlons plutôt d'algies pelviennes.
Symptômes indiquant la présence d'oxyures
a tendance à se gratter l'anus ou à se plaindre de démangeaisons; a des lésions de grattage autour de l'anus; est irritable; a de petits vers blancs autour de l'anus ou sur les selles, souvent plus visibles la nuit.
On peut trouver, dans les selles ou dans les sous-vêtements, des segments blancs qui ressemblent à une sorte de nouille qui bouge. Rare, l'ascaris provoque de la toux, des maux de ventre, des vomissements, des diarrhées, de la fatigue et un amaigrissement.