Vitamines B: un effet protecteur contre le cancer du poumon.
La vitamine D est efficace contre les infections respiratoires classiques, à condition d'être prise de façon quotidienne ou hebdomadaire. Les doses efficaces sont comprises entre 1 000 et 4 000 Unités Internationales par jour.
Le pamplemousse ou encore le pomélo sont connus pour être des sources importantes de flavonoïdes. 4 verres de jus de pamplemousse par semaine suffiraient ainsi à nettoyer efficacement vos poumons.
Toujours en phytothérapie, l'infusion de gingembre est recommandée pour nettoyer naturellement vos poumons et les fortifier. Elle les aide à se débarrasser du mucus, des toxines et de divers allergènes. Il suffit de laisser infuser 1 g de gingembre en poudre dans 250 ml d'eau bouillante pendant une dizaine de minutes.
Augmenter les apports en fibres (légumes, fruits, céréales complètes, légumineuses) a un effet bénéfique sur le contrôle de l'asthme et permet également de réduire l'inflammation des voies respiratoires. Cela permettrait également de freiner le développement de la BPCO et une amélioration des débits bronchiques.
La romarin permet de nettoyer les poumons. Pour l'utiliser, effectuez un bain de romarin en faisant infuser 10 branches durant 10 minutes, dans 2 litres d'eau bouillante. Ajoutez cette eau à celle de votre bain, pour profiter des effets de la plante.
2. Pour leurs antioxydants. Le citron et la lime contiennent beaucoup d'antioxydants, entre autres des flavonoïdes, qui sont des agents anti-cancer bien connus. Des études cliniques ont démontré l'effet positif de la limonène sur les cancers de la bouche, du sein, des poumons, de l'estomac et du côlon.
Ce peut être aussi un essoufflement à l'effort. Il est souvent déclenché par des facteurs précis : allergie, tabac, pollution, stress, rire, parfums, sport, cycle menstruel... ». L'essoufflement peut être en rapport avec des maladies plus graves mais aussi plus rares : cancer, fibrose pulmonaire, etc.
essoufflement, respiration sifflante, voix rauque et toux qui s'aggrave ou persiste) douleur thoracique, en particulier lors de profondes inspirations et de quintes de toux. présence de sang dans les expectorations (ou hémoptysie)
Selon une étude parue dans Nature : nos poumons ont la capacité de se régénérer après l'arrêt du tabac. Cela confirme un vieil adage : il n'est jamais trop tard pour arrêter de fumer.
Inspirez puis expirez et comptez le nombre de cycles sur une minute. Si vous dépasser 20 cycles par minute, vous êtes en "polypnée" et vous devez alors contacter rapidement un médecin pour évaluer votre situation.
Marche, vélo, jardinage… l'activité physique améliore les capacités respiratoires. Le yoga ou l'apnée aident à ralentir et à contrôler le souffle. Pour les activités d'intérieur, bien aérer avant, pendant et après.
Lorsqu'il s'agit d'une pneumopathie d'origine bactérienne, un traitement antibiotique est prescrit (par exemple amoxicilline pour les pneumonies à pneumocoque), voire en association en cas de tuberculose notamment. La pneumopathie liée à une légionellose sera traitée avec des antibiotiques type macrolides ou quinolone.
Une très grande majorité des infections pulmonaires est traitée grâce à un traitement médicamenteux à base d'antibiotiques. Un antalgique type paracétamol peut être prescrit en cas de forte fièvre. Un antitussif en cas de toux sèche ou un fluidifiant en cas de toux grasse viennent compléter le traitement.
infections et pneumonies : les infections du poumon, dont font partie les pneumonies, peuvent occasionner des douleurs thoraciques et dorsales. Celles-ci sont accompagnées d'une forte fièvre, de toux et d'une gêne respiratoire. Ces infections doivent être prises en charge par un médecin.
Ainsi une simple prise de sang pourrait déterminer qui doit se voir conseiller un dépistage précoce avec une plus grande précision. Cette identification des patients à risque de cancer du poumon permet dès lors de les orienter plus rapidement vers des examens spécifiques (CT scanner à faible dose).
Nous utilisons surtout l'endoscopie bronchique souple. De durée variable, entre 10 et 30 minutes, cet examen consiste à introduire, par les voies respiratoires naturelles (le nez ou la bouche), un tube flexible appelé bronchoscope qui permet d'examiner la trachée et les bronches.
Respirer profondément et doucement, pour augmenter la quantité d'air qu'arrive aux poumons ; Rester à l'air libre ou dans une pièce aérée, afin d'assurer plus de quantité d'oxygène ; Eviter des endroits très chauds ou très froides, pour empêcher une aggravation de l'état respiratoire.
L'huile essentielle de romarin à 1-8 cinéole a des effets bénéfiques anti-inflammatoires pulmonaires et respiratoires et elle est décongestionnante, anti-infectieuse respiratoire, expectorante et mucolytique.
Elle consiste à injecter par le fibroscope un liquide physiologique porté à 37 °C dans les bronches et les alvéoles pulmonaires. Cette solution est ensuite aspirée par le fibroscope et analysée.
8/9 Le gingembre
En infusion dans de l'eau bouillante, le gingembre est un excellent remède contre les maux de gorge et des bronches. En effet, il agit comme un anti-inflammatoire au niveau des poumons.
La consommation de lait à pleine teneur en gras, mais pas de lait à faible teneur en gras, était liée à une réduction du risque de respiration sifflante; Un apport plus élevé en vitamine D pendant la grossesse était aussi associé à un risque réduit de respiration sifflante pendant l'enfance.