Il existe 3 fonctions exécutives principales de notre cerveau : la mémoire de travail, le contrôle de l'inhibition et la flexibilité cognitive. Sur la base de ces 3 fonctions exécutives se construisent les fonctions exécutives de plus haut niveau : la planification, la résolution de problème et le raisonnement.
La stimulation cognitive sollicite certains composants des fonctions cognitives, lesquelles sont des fonctions supérieures du cerveau : il s'agit de l'attention, de la mémoire, des fonctions exécutives, des fonctions visuo-spatiales et du langage que nous allons présenter de manière succincte.
Les chercheurs en sciences cognitives ont créé des modèles des fonctions exécutives, dont l'un des plus connus est le modèle du système attentionnel superviseur de Donald Norman et Tim Shallice.
Les fonctions cognitives les plus importantes sont l'attention, l'orientation, la mémoire, les gnosies, les fonctions exécutives, les praxies, le langage, la cognition sociale et les compétences visuo spatiales.
Les fonctions exécutives sont essentielles, ce sont les compétences cognitives qui nous permettent d'agir de façon organisée pour atteindre nos objectifs. Les experts en relèvent trois principales : la mémoire de travail, le contrôle inhibiteur et la flexibilité cognitive.
Définition. Ce sont les capacités de notre cerveau qui nous permettent d'être en interaction avec notre environnement : elles permettent de percevoir, se concentrer, acquérir des connaissances, raisonner, s'adapter et interagir avec les autres.
Sur le plan anatomique, le cortex frontal constitue la partie la plus antérieure du cerveau. Sur le plan fonctionnel, c'est principalement une partie du lobe frontal, le cortex préfrontal, qui est liée aux fonctions exécutives.
Les personnes atteintes d'un trouble cognitif léger (communément abrégé « TCL ») ont des problèmes de mémoire, de langage, de raisonnement ou de jugement qui sont plus importants que les altérations cognitives liées au vieillissement normal.
Les fonctions cognitives : la mémoire. La mémoire est une fonction cognitive primordiale pour notre vie. Elle nous permet d'enregistrer les informations, de les conserver et de les « utiliser » quand on en a besoin.
L'Atelier d'efficience cognitive est un programme d'éducation à l'apprentissage qui vise, de manière générale, le développement de l'autorégulation de l'apprentis- sage dans ses aspects affectifs et cognitifs.
Selon l'âge de la personne ayant des difficultés exécutives et les domaines dans lesquels se retrouvent les atteintes fonctionnelles principales, les neuropsychologues, les psychologues, les ergothérapeutes, les orthophonistes ou les orthopédagogues peuvent entreprendre de la rééducation.
Les neurones sont sensibles au stress. En trop grande quantité, il peut être nocif pour les cellules nerveuses. Pour les stimuler et améliorer les fonctions cognitives, misez sur des activités de détente comme le yoga, la relaxation, la méditation. Ces disciplines auraient des effets positifs sur l'activité neuronale.
Voici donc ce qu'il faut retenir face au domaine cognitif. Tout d'abord, le domaine cognitif met l'accent sur l'attention chez les enfants. L'attention correspond à la capacité à se concentrer sur une personne, un objet ou une action, et ce, pendant un certain temps.
Les troubles cognitifs dans la DMD peuvent concerner le langage, la mémoire, la lecture… Par ailleurs, il existe une proportion non négligeable de troubles spécifiques des apprentissages comme la dyslexie, la dyscalculie et la dysgraphie, ainsi que des troubles de l'attention avec ou sans hyperactivité (TDA/H).
pour les transformer en connaissances.La cognition englobe différents processus cognitifs tels que l'apprentissage, l'attention, la mémoire, le langage, le raisonnement, la prise de décision, etc. qui font partie du développement intellectuel et de l'expérience.
D'autre part, les fonctions cérébrales supérieures comme le raisonnement, la mémoire et l'attention sont contrôlées par les hémisphères cérébraux et les lobes qui font partie du cortex. Une stimulation correcte peut aider à améliorer l'état des différentes capacités cognitives (Finisguerra et al., 2019).
1/ La flexibilité mentale (switch) : Cette fonction définit la capacité de changer de tâche ou de stratégie mentale et à passer d'une opération cognitive à une autre. Elle peut requérir le désengagement d'une tâche pour se réengager dans une autre. Elle permet donc l'adaptation aux situations nouvelles.
C'est l'aptitude à inhiber, à résister ou à ne pas agir sous le coup de l'impulsion et la capacité d'interrompre son comportement au moment opportun. Le défaut d'inhibition constitue le déficit central dans le TDA/H. « Déclencher une action, c'est donc en inhiber beaucoup d'autres.