la dimension physique, sensorielle de la douleur (ça "tape" ou "ça brûle"), sa composante émotionnelle ("c'est désagréable"), la possibilité que la douleur existe sans lésion objectivable.
Il existe trois façons de classer la douleur : Temporelle : aiguë ou chronique. Étiologique : d'origine cancéreuse ou non. Physiologique : nociceptive, neuropathique, mixte.
Les facteurs psychologiques qui contribuent à la douleur, particulièrement à la douleur chronique, peuvent inclure anxiété, dépression et insomnie. (Voir également Présentation de la douleur. La douleur est la raison la plus fréquente pour laquelle les personnes consultent leur médecin.
Selon la définition officielle de l'association internationale pour l'étude de la douleur (IASP), "la douleur est une expérience sensorielle et émotionnelle désagréable associée à une lésion tissulaire réelle ou potentielle ou décrite dans ces termes".
A l'origine de la douleur, il y a un stimulus : le froid, la chaleur (une brûlure par exemple), une pression mécanique, des agents chimiques, une réaction inflammatoire… Ce stimulus va activer les terminaisons nerveuses de neurones spécialisés dans la perception de la douleur.
La douleur aiguë joue un rôle d'alarme qui va permettre à l'organisme de réagir et de se protéger face à un stimulus mécanique, chimique ou thermique : elle est liée à des stimulations intenses qui déclenchent immédiatement un mécanisme de transmission d'informations depuis les terminaisons nerveuses – les récepteurs ...
L'International Association for the Study of Pain (IASP) reconnaît pleinement le rôle des émotions dans le ressenti de la douleur, qui est décrite comme «une expérience sensorielle et émotionnelle désagréable associée à un dommage tissulaire ou potentiel, ou décrite en termes d'un tel dommage».
La douleur nociceptive est un signal envoyé au cerveau suite à une lésion ou une inflammation des tissus ou un traumatisme (muscles, articulations). Cette douleur est généralement provoquée par une coupure, une brûlure, un traumatisme…
Le cerveau peut moduler la façon dont la moelle épinière traite l'information douloureuse. Soit via un signal électrique, soit via des hormones comme l'ocytocine, dont la libération est coordonnée par trente neurones situés dans l'hypothalamus (notre image).
On distingue principalement deux grands types de douleur : la douleur aiguë, qui est de courte durée et constitueun signal d'alarme essentiel au maintien de notre intégrité physique, et la douleur chronique, qui est ressentie longtemps (plus de 3 mois) et persiste après guérison de la lésion l'ayant provoquée.
Le National Health Service, le système de santé publique britannique, a listé les pathologies les plus douloureuses pour le corps humain. La migraine, la sciatique, l'appendicite, la fracture osseuse ou encore l'attaque cardiaque: autant de pathologique provoquant des douleurs insupportables.
Pour cette guerre des sexes, il n'y a donc pas vraiment de vainqueur. Mais on ne vous a pas tout dit: une expérience de l'émission hollandaise Proefkonijnen montre deux hommes expérimenter la douleur que représente un accouchement. Mais ils l'ont vécu pendant deux heures, là où un accouchement en prend en moyenne huit.
Ce centre est situé dans l'hypothalamus et est composé de trente petits neurones qui coordonnent la libération dans le sang d'une hormone au rôle apaisant.
Sentiment pénible, affliction, souffrance morale ; chagrin, peine : Raviver une douleur ancienne.
MASOCHISTE : Définition de MASOCHISTE.
douloureux adj. Qui cause une douleur physique. douloureuse n.f.
Qu'est-ce qu'un centre anti-douleur ? Les centres d'évaluation et de traitement de la douleur (CETD), plus communément appelés centres anti-douleur, ont pour objet d'évaluer l'intensité de la douleur et de proposer des solutions permettant de la soulager, voire de la faire disparaître.
La polynévrite est une maladie inflammatoire qui affecte l'extrémité des nerfs du système nerveux périphérique. Les causes sont multiples (diabète, alcoolisme, médicaments...) et son évolution est généralement lente.
En langage médical, l'hypoesthésie désigne donc une perte de sensibilité : celle-ci peut survenir au niveau de n'importe quelle partie du corps (visage, bras, jambes...) et même atteindre des zones assez inhabituelles (l'urètre, le sphincter anal, la langue...).