La structure d'une interaction ou d'un texte argumentatif correspond à l'ordonnancement des informations, des arguments, des concessions et des réfutations dans un événement discursif particulier.
Pour commencer votre argumentation il faut être clair sur vos objectifs : annoncez-les clairement puis argumentez pour les atteindre. Dans la mesure du possible, vos arguments doivent être nourris par des faits précis et indiscutables, afin d'éviter que votre interlocuteur puisse les remettre en cause.
Il faut rechercher la thèse que l'on souhaite défendre, c'est-à-dire l'idée générale de l'argumentaire. Cette thèse devra être démontrée par plusieurs arguments. Enfin, ces arguments devront être illustrés par des exemples concrets, comme des citations de texte ou des situations réelles.
Une introduction : elle consiste en quelques phrases dans lesquelles vous commencez par donner le contexte du sujet puis vous l'introduisez, la plupart du temps sous la forme interrogative. 2. Vous rédigez ensuite le développement en suivant un plan qui montre que vous savez classer vos idées.
Reprendre des arguments
Votre conclusion doit refléter de façon claire le plan de votre document, en reprenant les principaux éléments et idées clés dans l'ordre. De cette façon, votre conclusion est la synthèse d'un raisonnement logique et cohérent , chaque partie étant en lien avec l'autre.
Le but de l'introduction est claire: amorcer le sujet, présenter ses enjeux et montrer qu'il existe un débat, un paradoxe, un problème philosophique réel autour du sujet, pour aboutir à un plan qui se proposera d'argumenter autour de ce débat et de le résoudre dans la mesure du possible.
Une argumentation est un discours destiné à convaincre de la validité d'un propos ; elle prend en compte un interlocuteur (réel ou fictif) dont elle veut obtenir l'adhésion. Dans une argumentation, on distingue le thème (ce dont on parle) de la thèse (ce qu'on en dit, l'opinion émise à propos du thème).
Le discours argumentatif est structuré dans sa forme : signes typographiques, découpage des paragraphes, liens logiques ou chronologiques pour passer d'une idée à une autre et marquer les étapes du raisonnement.
Pour être irréfutable, un bon argument sera fondé sur des faits indiscutables, des cas concrets, des expériences précises, des données chiffrées. Et surtout, tel un lapin, il ne sortira pas du chapeau. Pas de tour de prestidigitation, rien que du rationnel conduisant votre interlocuteur à la conclusion souhaitée !
« une situation d'argumentation est une situation dans laquelle un sujet A se propose d'intervenir sur le jugement, l'opinion ou le comportement d'un sujet B à l'aide – ou par le moyen – d'un discours. »
Pour susciter la confiance, il faut tout d'abord être compris. Cela signifie présenter des idées, des informations adaptées au niveau de technicité du public. C'est aussi structurer son intervention de façon logique et lisible pour faciliter l'appropriation des messages.
La première phrase de l'introduction doit interpeller le lecteur. L'idéale est donc de choisir une phrase simple, brève et affirmative. Elle peut contenir : Un fait.
Pour être efficace, une introduction se déroule en 4 étapes : l'approche, l'explication du sujet, la formulation de la problématique, et enfin l'annonce du plan. L'accroche peut se faire notamment par le biais d'une citation ou d'un fait d'actualité.
Certains mots servent à bien marquer cet enchaînement et à indiquer qu'il s'agit bien d'une conclusion : Au bout du compte, mais, c'est, enfin, telle est… Compte tenu de leur clarté, de leur pertinence et de leur cohésion, à la correction du Ministère, cette conclusion et l'introduction réunies ont reçu la cote A.
L'ouverture figure souvent sur la partie finale de la conclusion. Elle doit transmettre un message clair pour tous les auditeurs cibles. C'est là que poser des questions pas encore répondues ou résolues est de mises pour donner une réflexion.
Comment annoncer le plan ? Une formule assez simple est souvent utilisée pour annoncer un plan : « Afin de répondre à la problématique posée, il serait intéressant d'étudier en premier lieu (axe I), puis en second lieu (axe II) ». L'annonce doit être explicite et claire, et suivant une certaine logique.
La conclusion est divisée en deux étapes :
La synthèse effectue un retour sur la thèse de départ et les arguments qui la soutiennent principalement. C'est une bonne façon de ramener le lecteur vers le propos d'origine, vers ce qui l'avait amené à lire le texte.
Introduire un exemple
Par exemple ; ainsi ; comme en témoigne ; comme l'indique ; considérons par exemple le cas de ; tel est le cas par exemple de ; si l'on prend le cas de ; l'exemple le plus significatif nous est fourni par ; l'exemple de… confirme que… ; cette situation montre / prouve que…