Les outils de l'écoute active :
de précision, qui vont permettre de préciser le sens d'un propos (Exemple : qu'entendez-vous par « conflit » ?) miroirs répétition des propos de l'interlocuteur sous forme de question), qui permettent d'approfondir une réponse tout en montrant qu'on a écouté.
Faire preuve d'empathie, vouloir comprendre l'autre et conserver une ouverture d'esprit sont les qualités essentielles pour une bonne écoute active. Prendre trop de recul, être insensible à son interlocuteur, ou faire répéter de façon mécanique ne permet pas de favoriser un échange et une compréhension adéquate.
L'écoute active est une technique de communication visant à privilégier les contenus émotionnels d'une conversation par rapport à ses contenus intellectuels. Elle fait appel à des leviers concrets tels que le questionnement ouvert ou encore la reformulation du discours de l'interlocuteur.
Dans un dialogue plus dynamique, l'écoute active consiste à montrer à l'interlocuteur qu'on l'écoute - par son attitude, son regard, son silence lorsque l'autre parle, puis par des reformulations sous forme de questions.
1. Être attentif à un bruit, à un son, à de la musique, etc., les entendre volontairement : Écouter de la musique. 2. Prêter attention à ce que quelqu'un dit pour l'entendre et le comprendre : Écoute-moi quand je te parle.
Véritable levier de communication, l'écoute active est une technique de communication qui consiste à utiliser le questionnement et la reformulation afin de s'assurer que l'on a compris au mieux le message de son interlocuteur et de le lui démontrer.
Ces attitudes facilitatrices au cœur de l'approche centrée sur la personne reposent sur trois conditions essentielles que sont l'empathie, la congruence, le regard positif inconditionnel.
La communication verbale est basée sur la langue (dans toutes ses formes). Au contraire, la communication non-verbale correspond à tous les signaux visibles émis par une personne, consciemment ou non.
Dans quelles situations utiliser l'écoute active ? Face à ses interlocuteurs, le formateur aura notamment recours à l'écoute active : quand ils s'expriment de façon peu précise; s'il soupçonne un malaise, par exemple si une personne est fermée ou en retrait, qu'elle semble contrariée.
L'écoute active, aussi nommée écoute bienveillante, est une technique d'accompagnement développée par le psychologue américain Carl Rogers.
Dans la mesure du possible, éliminer toute distraction et minimiser le bruit ambiant. Proposer une intention à l'élève afin de le motiver à participer avec attention à l'activité d'écoute. Activer les connaissances antérieures de l'élève. Vérifier que l'accent et le débit de la langue parlée sont familiers à l'élève.
Elle consiste à s'intéresser réellement à ce que dit l'interlocuteur et à l'aider à poursuivre sa réflexion sans chercher à le conseiller, à le juger ou à l'influencer. C'est l'attitude qui favorise le plus la communication. L'interlocuteur se sent écouté et compris.
Fausser l'écoute, c'est utiliser des mot-clés, utiliser une bonne gestuelle, reformuler les fins de phrases ou en posant une question.
Elle permettra au client de percevoir plus clairement ses motivations, ses sentiments, ses émotions, ses zones de faiblesse et de force, d'ombre et de lumière, sans jugement. ce qu'il admette et comprenne sa part de responsabilité dans chaque situation rencontrée, sans culpabilité mais avec lucidité.
L'hypothèse fondamentale de l'Approche centrée sur la personne est formulée par Rogers en ces termes : « L'individu a en lui de vastes ressources qui lui permettent de se comprendre lui-même, de modifier la représentation qu'il a de lui-même et partant, ses attitudes et le comportement qu'il se dicte à lui-même.