Sixième extinction de masse : la disparition des espèces a été largement sous-estimée. Si l'on comptabilise les invertébrés, 170 à 300 fois plus d'espèces auraient déjà disparu. Les vertébrés représentent environ 3 % de la biodiversité connue.
Une étude publiée ce lundi 25 septembre dans la très sérieuse revue Nature Geoscience affirme que la prochaine extinction de masse aura lieu dans seulement 250 millions d'années et que les conséquences seront terribles pour les mammifères que nous sommes.
La crise du Permien-Trias est la troisième et la plus grande extinction qu'ait jamais connue la Terre. Elle provoque la disparition de plus de 90% des espèces, terrestres comme marines. Cette crise sans précédent aurait été essentiellement causée par deux épisodes volcaniques majeurs.
Selon les études les plus optimistes, l'espèce humaine pourrait survivre encore un milliard d'années sur la planète bleue. Passé ce stade, Scientific American explique que le Soleil signera la fin de l'humanité. Lorsque ce dernier chauffera la Terre comme il le fait déjà avec Vénus, la planète deviendra invivable.
EXTINCTION CRÉTACÉ-PALÉOGÈNE - IL Y A 66 MILLIONS D'ANNÉES
L'extinction du Crétacé-Paléogène est l'extinction de masse la plus récente et la seule liée à un impact majeur d'astéroïde. Quelque 76 % de toutes les espèces de la planète, y compris tous les dinosaures non aviaires, se sont éteintes.
La perte d'habitat est la menace la plus importante pesant sur la biodiversité et elle met en péril plus de 80 p. 100 de toutes les espèces.
L'extinction de l'Holocène (aussi nommée sixième extinction ou entrée dans l'Anthropocène) est le nom donné habituellement à l'extinction massive et étendue des espèces durant l'époque contemporaine, dite « moderne », de l'Holocène, qui continue actuellement.
Trois théories ont été proposées pour expliquer ces extinctions : la chasse par les humains dont le nombre était en pleine expansion ; le changement climatique ; un impact par un astéroïde ou une comète.
La Liste rouge de l'UICN comprend désormais 142 577 espèces : 40 084 d'entre elles sont menacées, soit plus de 28 % des espèces évaluées. Ainsi, 41 % des amphibiens, 26 % des mammifères ou encore 37 % des raies et requins de la liste sont aujourd'hui menacés.
La disparition de leur habitat naturel, le déclin du gibier et les conflits directs avec l'Homme sont autant de raisons qui les mettent en danger critique dans certaines régions où ils vivent.
Depuis près de vingt ans, l'idée que l'extinction des dinosaures est due à la chute d'une météorite a fait de nombreux émules. Une étude récente montre cependant que le cratère de Chicxulub, identifié comme le lieu d'impact de cette catastrophe, est antérieur de 300 000 ans à la disparition des dinosaures.
Une extinction de masse, que certains appelle aussi "crise biologique", est une période de disparition rapide et massive d'espèces. Pour qu'elle ait lieu, il y a 3 conditions à remplir : La durée doit être relativement courte sur l'échelle de temps géologique. Cela doit se faire à l'échelle mondiale.
Pollution de l'eau, de l'air et du sol
Nous associons souvent la pollution à l'industrie, aux transports et à la production d'énergie, qui sont des sources importantes, mais près de 50 % des pressions sur la nature liées à la pollution proviennent des émissions agricoles dans l'air, l'eau et le sol.
Comme chaque année, le Forum économique mondial publie le classement des risques qui pèsent le plus sur l'humanité. À court et à long terme, malgré la pandémie qui sévit depuis deux ans, c'est le changement climatique qui représente le plus grand danger.
Trois grands types de causes ont été proposées pour expliquer les extinctions massives : 1) biologique (appauvrissement génétique, pression de prédation), 2) terrestre (volcanisme, variations eustatiques, changements climatiques) et 3) extra-terrestre (impact de météorite, augmentation des rayons cosmiques, hypothèse ...
La Banque mondiale met en garde contre le scénario noir d'un réchauffement du thermomètre mondial de 4 °C dès 2060 et la «cascade de cataclysmes» qui frapperaient alors les pays pauvres.
En 2025, la population mondiale pourrait atteindre de 7,5 à 9,5 milliards d'habitants, contre 5,8 aujourd'hui. En 2040, l'accumulation des gaz à effet de serre pourrait avoir entraîné un réchauffement de 1° C à 2° C de la température moyenne de la planète et une élévation de 0,2 à 1,5 mètre du niveau des océans.
« Où est passée l'humanité ? » C'est le cri d'un soldat devant l'horreur vécue de la guerre de 14. Jean Gaston Lalumière, benjamin d'une famille de vignerons et maraîchers d'Eysines, dans la banlieue de Bordeaux, est âgé de vingt ans au moment de la déclaration de guerre. Il connaît le baptême du feu en mars 1916.
Quel est votre animal sauvage préféré qui est en voie d'extinction ? L'un de nos plus proches parents vivants... Le gorille. Le vaquita ou marsouin de californie avec seulement 16 individus restants au monde.
L'on peut notamment citer l'orang-outan de Sumatra, le léopard de l'Amour, l'éléphant de Sumatra, le rhinocéros noir, la tortue imbriquée, le tigre de Java et le gorille de la rivière Cross. De nombreux insectes et amphibiens figurent également sur cette liste.