Leur nombre varie se- lon les études, cependant on en retient généralement six : la joie, la surprise, la peur, la colère, le dégoût et la tristesse (une septième émotion, le mépris, est parfois ajoutée).
Théorie des émotions
Plutchik considère qu'il y a huit émotions de base : la joie, la peur, le dégoût, la colère, la tristesse, la surprise, la confiance et l'anticipation (en).
Les six principales apparaissent au cours de la première année de vie : joie, tristesse, dégoût, peur, colère et surprise.
Les 5 émotions de bases sont la peur, la colère, la tristesse, la honte et la joie.
C'est ainsi qu'il a prouvé scientifiquement que les expressions du visage se manifestent de la même façon dans n'importe quelle culture. Il a recensé l'existence de 7 émotions universelles : la joie, la tristesse, la peur, la colère, le dégoût, la surprise et le mépris.
Autre différence, le sentiment est généralement dirigé vers un élément précis (une situation, une personne…), tandis que l'émotion peut ne pas avoir d'objet bien défini. Les sentiments sont donc des émotions conscientisées par notre cerveau et qui durent dans le temps.
L'amour comporte également des caractéristiques hormonales et génétiques, voire neurales. Pourtant, l'amour a été largement considéré par les scientifiques comme une émotion (processus axé sur l'événement), un sentiment, un état affectif.
Lorsqu'une émotion nous envahit et qu'elle génère un malaise diffus, difficile à expliquer, il s'agit certainement d'une « émotion complexe ».
Cette émotion peut être déclenchée par un événement « extérieur » (rencontre, dispute, bonne ou mauvaise nouvelle…) ou par une pensée, une image, un souvenir… La nature ne laissant rien au hasard, si les émotions existent, c'est qu'elles ont une utilité !
Le stress, anglicisme signifiant "tension" issu du latin stringere ("mise en tension") n'est pas une émotion ni un sentiment mais une réaction biologique et psychique, spontanée, naturelle, en cascade, de l'organisme face à son environnement.
Grâce à toutes ces données le cerveau se préoccupe de nous tenir ou plutôt de maintenir notre équilibre vital et crée de la fatigue qui selon Timothy Noakes devient une émotion plutôt qu'un événement physique.
Dans cet article nous vous proposons de commencer par un premier petit pas, celui de la compréhension de l'utilité des 4 émotions de base : la peur, la colère, la tristesse et la joie.
En 1990 Ekman réalisa une nouvelle liste d'émotions appelées cette fois-ci émotions secondaires. Elles seraient les suivantes : l'amusement, la satisfaction, la gêne, l'excitation, la culpabilité, la fierté dans la réussite, le soulagement, le plaisir sensoriel, la honte et le mépris (encore lui…).
On peut être tenté de confondre motivation et émotions qui sont pourtant fondamentalement différentes. Les émotions donnent une valeur aux choses, mais elles demeurent passives. Au contraire, les motivations nous poussent à l'action : elles nous font dire : « Je veux…
Le premier point important, c'est d'habituer notre cerveau à ressentir la joie. Soyez patients, vous pouvez trouver ce qui vous rend vraiment heureux. La joie se trouve le plus souvent dans des choses simples (profiter de ceux qu'on aime, admirer un paysage, manger notre plat préféré, lire un bon bouquin…).
Pour créer une réelle émotion positive, il faut se distinguer des concurrents afin de susciter un réel intérêt. Aujourd'hui, la massification des données, oblige les entreprises à faire un véritable travail de recherche. On ne peut pas dire la même chose que son voisin.
Interagir et communiquer avec les autres est aussi une bonne façon d'améliorer son humeur quand on se sent moins bien et d'augmenter la probabilité de ressentir des émotions positives. La plus longue étude longitudinale menée sur des adultes (la Grant Study) l'a clairement démontré.
Les émotions ont un rôle particulier. Elles fonctionnent comme un système d'alarme et livrent des indicateurs sur nos états internes. Elles affectent nos perceptions, jugements et induisent des comportements. Elles ont pour origine un déclencheur interne ou externe.
La négligence émotionnelle est l'invalidation des émotions de l'enfant par ses figures d'attachement (parents). Ex: "Les garçons ça pleure pas", "Y'a pas de raison d'avoir peur", "Ne sois pas triste"... Ces mots sont en fait une défense face à des affects que l'adulte ne sait pas gérer lui-même et qui l'angoissent.
Ainsi, les émotions sont souvent catégorisées en fonction de leur valence : une émotion est dite positive si « le ressenti est agréable » ou négative si « le ressenti est désagréable ». Selon certains chercheurs, un individu pourrait ressentir une émotion qui est à la fois positive et négative.
« Je m'affolamoure », « je t'extraime » ou encore « j'ai le boum boum ».
L'aromantisme, c'est le fait de ne ressentir aucune attirance romantique pour son ou sa partenaire. Autrement dit, pas de sentiment amoureux.
L'amour désigne un sentiment intense d'affection et d'attachement envers un être vivant ou une chose qui pousse ceux qui le ressentent à rechercher une proximité physique, intellectuelle ou même imaginaire avec l'objet de cet amour.