Il s'agit d'Attijariwafa Bank (AWB), de Bank of Africa (BOA), de Crédit Immobilier et Hôtelier (CIH), de la Société Générale Marocaine de Banques (SGMB) et de la Banque Marocaine pour le Commerce et l'Industrie (BMCI).
La banque islamique se trouve exposée à un risque de retrait massif des fonds et doit faire face à un problème de liquidité. Ce risque fait référence au risque lié à un taux de rendement des comptes d'investissement non compétitifs.
Lors de la cérémonie de remise des trophées « World Best Banks Awards » par le magazine américain Global Finance, Attijariwafa bank a remporté le prix de la « Meilleure banque au Maroc pour l'année 2022 » et ce pour la 9e fois.
Enfin, ce qui différencie notablement un système bancaire islamique du système conventionnel réside dans l'absence d'un marché monétaire interbancaire où les banques peuvent se refinancer. Cette différence a un rôle ambivalent pour le thème que nous abordons ensuite, à savoir la stabilité du secteur bancaire.
Le secteur « formel » de la finance islamique dans la zone semble essentiellement occupé par trois réseaux internationaux : la BID, la Dar al-Maal al-Islami (DMI) et Al-Baraka.
En effet, une banque islamique se comporte comme une banque classique en collectant les dépôts de ses clients. Elle se sert ensuite de ces mêmes dépôts pour financer l'actif. Ce dernier lui permettra en fin de compte d'avoir des retours sur son investissement. Ainsi, elle pourra se rémunérer avec ses déposants.
On relève donc que la Banque Populaire (BP) est la banque la moins chère, tandis que la BMCI est la plus chère selon ce comparatif. Ces disparités s'expliquent surtout par des raisons de stratégie commerciale.
La Banque Populaire est la première institution bancaire marocaine de l'indice, se classant au 288 ème rang dans le monde. Deux autres banques marocaines figurent dans ce Top 500 des marques bancaires les plus valorisées et les plus fortes au monde. Il s'agit d'Attijariwafa bank (299ème) et de Bank of Africa (466ème).
Moralement normée, la finance islamique se démarque de la finance « traditionnelle », davantage considérée comme amorale et distingue les biens et transactions halal (c'est-à-dire licites) de ceux qui sont haram (illicites). Elle obéit à des règles précises.
Les banques islamiques, en s'orientant vers des activités où elles cherchent à maximiser leurs profits plutôt que de partager leurs profits et leurs pertes et où elles proposent de manière détournée un taux d'intérêt comme les banques conventionnelles, sont devenues vulnérables, moins profitables et risquent de ne pas ...
Il s'agit du prêt à intérêt, du placement à intérêt, de l'épargne rémunérée à intérêt, de l'escompte bancaire, des garanties et cautionnements bancaires, de la titrisation des créances, et de l'échange de monnaie à tempérament.
L'installation des premières banques au Maroc date de la moitié du XIX e siècle avec deux établissements notables établis à Tanger, la banque de Moses Pariente ouverte en 1844 qui travaille ensuite avec l'Anglo-Egyptian Bank (en) à partir de 1864, et la banque de Moses Isaac Nahon, fondée en 1860, représentante de la ...
CIH, la banque des jeunes
Et aujourd'hui elle est considérée comme le pionnier dans ce domaine.
La Banque Populaire est la première institution bancaire marocaine de l'indice, se classant au 288 ème rang dans le monde.
D'après le classement des meilleures banques 2021 au troisième trimestre réalisé par l'institut Posternak/Ifop et publié au mois de septembre 2021, le Crédit Mutuel occupe toujours la première place.
Pour ouvrir un compte bancaire sans frais, vous avez le choix entre 4 types de banques : Les banques en ligne comme Boursorama Banque, Fortuneo Banque, Orange Bank… Les néobanques comme N26, Ma French Bank, Revolut, Aumax...
Al gharar (Les investissements illicites) : Si les natures des investissements ne sont pas connues de toutes les parties, il est interdit d'investir dans des secteurs considérés comme illicites en Islam (alcool, tabac, paris, etc.). Riba (L'usure) : Il est interdit de gagner de l'argent grâce à l'argent.
L'argent qu'il investit ne doit pas causer de torts et être bénéfique pour la société. Les activités de prêts sont interdites parce que le Coran dit que les musulmans ne sont pas autorisés à tirer profit du prêt d'argent. Il est donc interdit de toucher des intérêts d'un individu ou d'une banque.
Moudaraba (مضاربة)
Il s'agit d'un partenariat d'investissement où la Banque jouera le rôle d'investisseur (en tant que bailleur de fonds / رب المال) en s'engageant à financer le projet de son client. En contrepartie, le client (المضارب) devra assurer la gestion du projet.