Le langage humain a des propriétés de productivité et de déplacement, et dépend entièrement des conventions sociales et de l'apprentissage. Sa structure complexe offre un éventail beaucoup plus large d'expressions que tout autre système connu dans la communication animale.
Le langage comprend plusieurs composantes distinctes, entre autres les sons (phonologie), le vocabulaire (lexique), la grammaire (morphologie), les phrases (syntaxe) et le discours.
Capacité, observée chez tous les hommes, d'exprimer leur pensée et de communiquer au moyen d'un système de signes vocaux et éventuellement graphiques (la langue). 2. Tout système structuré de signes non verbaux remplissant une fonction de communication : Langage gestuel.
Le langage est un ensemble de signes
Cet ensemble de sons (les paroles) et de tracés (l'écriture) constituent le rôle du langage. Le langage est un ensemble de signes qui ont pour fonction d'indiquer n'importe quel objet et pour n'importe quel événement.
Pour Richard Klein, paléoanthropologue réputé de l'université de Chicago, le langage humain serait apparu en Afrique il y a environ 50 000 ans à la suite d'une mutation du gène FoxP2 (1). Le langage serait donc le produit d'une mutation génétique parfaitement datable.
Les fonctions du langage sont les suivantes : fonction expressive (expression des sentiments du locuteur) fonction conative (fonction relative au récepteur) fonction phatique (mise en place et maintien de la communication)
Le langage est la capacité d'exprimer une pensée et de communiquer au moyen d'un système de signes (vocaux, gestuel, graphiques, tactiles, olfactifs, etc.) doté d'une sémantique, et le plus souvent d'une syntaxe — mais ce n'est pas systématique (la cartographie est un exemple de langage non syntaxique).
LANGAGE, subst. masc. A. − Faculté que les hommes possèdent d'exprimer leur pensée et de communiquer entre eux au moyen d'un système de signes conventionnels vocaux et/ou graphiques constituant une langue; p.
La parole prend en compte la prononciation, l'accent, le rythme, l'intonation ou encore le type de mots ou d'expressions utilisés . Elle est donc plus concrète et plus individuelle que la langue . 2. La langue Tandis que le langage désigne une capacité, la langue désigne un outil permettant de communiquer .
Toutes les gradations sont possibles, mais on distingue fondamentalement trois registres : au niveau soutenu, l'auteur choisit des mots rares et des structures complexes ; au niveau courant, il adopte le code habituel du plus grand nombre sans recherche et sans relâchement ; au niveau familier, il emploie une langue ...
En français, 3 niveaux de langue existent : le familier, le courant et le soutenu.
Le développement du langage est un processus très lent qui prend sa source dans les premières communications et s'élabore progressivement : vers 2 ans l'enfant peut exprimer ses désirs à l'aide de la parole mais il devra attendre la fin de l'adolescence pour pouvoir construire un texte argumentatif.
Le trouble primaire du langage oral, ou la dysphasie, est un trouble neurodéveloppemental du langage qui affecte la compréhension et/ou l'expression d'un message verbal, peu importe la modalité de présentation, langage oral ou écrit. La dysphasie est un trouble.
I - DEVELOPPEMENT DU LANGAGE
Il dépend à la fois de capacités neuro- cognitives innées, probablement génétiquement déterminées, et d'une rencontre de l'enfant avec un environnement humain parlant. Il s'agit d'un processus actif au cours duquel l'enfant explore et expérimente le langage qui l'environne.
Un langage est un outil de communication, tandis que la communication est le processus de transfert de message entre eux. Le langage se concentre sur les signes, les symboles et les mots. La communication met l'accent sur le message.
C'est la question qui occupe les philosophes du langage au XXIe siècle, depuis les travaux fondateurs des linguistes Ferdinand de Saussure (1857-1913) et Charles Sanders Peirce (1839-1914).
Elle est le miroir de l'identité. Elle est l'une des lois qui structurent la personnalité. » La langue, marqueur social par excellence, est considérée comme étant un des facteurs déterminants dans la construction de toute identité, qu'elle soit personnelle, collective, groupale, régionale ou même nationale.
Le pouvoir du langage, son efficacité, vient donc du pouvoir social, de la reconnaissance sociale. Ainsi, si la langue est un instrument de pouvoir, alors prendre la parole est en un sens prendre le pouvoir. Le pouvoir dont témoigne le langage n'est en définitive qu'une des manifestations de la hiérarchie sociale.
Le langage est naturel, les langues sont culturelles.
Cette capacité innée (donc naturelle) ne se développe que progressivement par l'acquisition d'une langue, par le biais de l'éducation de l'enfant et de son contact linguistique avec les humains qui l'entourent (aspect culturel du langage).
L'utilisation de la langue est profondément enracinée dans la culture humaine où, outre sa fonction communicative, elle occupe diverses fonctions, comme l'identification au groupe, la stratification sociale, l'attachement à un contexte social et le divertissement.
Le modèle des fonctions du langage de Jakobson distingue six éléments ou facteurs de la communication nécessaires pour qu'il y ait communication : (1) contexte ; (2) destinateur (émetteur) ; (3) destinataire (récepteur) ; (4) contact ; (5) code commun ; (6) message.
Fonction référentielle (ou dénotative)
Le langage décrit le monde ; il s'agit bien souvent de la fonction primordiale du langage.
Analysant le schéma de la communication, Jakobson distingue six facteurs constitutifs : le contexte (ou référent), le destinateur, le destinataire, le contact (ou canal), le code et le message. Chacun de ces facteurs joue un rôle dans le message, mettant ainsi en jeu une certaine « fonction du langage ».