Sans surprise, la majorité écrasante des morts subites sont d'origine cardiovasculaire. Le plus souvent, la personne est victime d'un infarctus du myocarde, lorsqu'une artère coronaire se bouche, du fait d'un caillot de sang qui s'est formé autour d'une plaque de cholestérol et qui stoppe l'apport de sang.
Le mécanisme de la mort subite est un trouble du rythme ventriculaire (fibrillation ventriculaire ou tachycardie ventriculaire) dans plus de 80%.
Le pouls s'arrête et le cœur cesse de battre. Le cerveau et les poumons ne sont plus alimentés par l'oxygène du sang. En dix secondes, la personne perd connaissance et cesse de respirer.
La mort naturelle, Art. 78 du Code Civil : La mort est naturelle lorsque le décès n'est dû à aucune circonstance extérieure. Le décès est donc en relation avec une maladie ou une dégénérescence du corps. Si la famille est sur place, elle procède aux démarches administratives nécessaires.
La prévention de la mort subite repose sur deux grands axes principaux : le premier consiste à prendre en charge toutes cardiopathies connues, et le second à procéder à l'implantation d'un défibrillateur chez les personnes à haut risque.
C'est le décès incompréhensible à première vue et imprévisible, le plus souvent pendant le sommeil, d'un tout-petit qui semblait jusqu'ici en bonne santé apparente. La mort inattendue du nourrisson peut toucher un bébé de 0 à 24 mois, mais dans 8 cas sur 10, elle survient avant l'âge de 6 mois.
L'essoufflement ou dyspnée de l'insuffisance cardiaque
Cette gêne se manifeste d'abord par un essoufflement et une difficulté à reprendre son souffle à l'effort, puis pour des efforts de plus en plus petits et plus tardivement au repos en position assise.
“La mort subite est une mort naturelle qui survient de façon inopinée chez un sujet en bon état de santé apparent dans un délai de moins d'une heure après l'apparition de symptômes éventuels, c′est-à-dire après une agonie brève” [1]. Chez l'adulte les causes cardiovasculaires, pulmonaires et cérébrales prédominent.
Historiquement trois formes de morts cellulaires ont été décrites uniquement sur des critères morphologiques : la nécrose, l'apoptose et l'autophagie.
L'arrêt cardiaque peut être provoqué par certaines formes d'arythmie, des battements de cœur irréguliers pouvant entraîner un court-circuit du système électrique cardiaque. En fait environ un quart des crises cardiaques provoquent un arrêt cardiaque – soit immédiatement, soit une heure ou deux après.
un malaise ; un essoufflement soudain ; une fatigue inexpliquée ; des sensations inhabituelles dans le bras gauche.
Un infarctus silencieux est une crise cardiaque qui survient sans symptômes clairs, ou parfois sans symptômes du tout. De ce fait, la crise cardiaque passe inaperçue et n'est souvent reconnue que quelques jours, mois ou même années après.
Les lividités cadavériques (ou livor mortis) sont une coloration rouge à violacée de la peau liée à un déplacement passif de la masse sanguine vers les parties déclives du cadavre, qui débute dès l'arrêt de l'écoulement du sang.
Un cardiologue a confié que certains de ses patients sont aujourd'hui âgés de 20 ou 30 ans.
La douleur liée à une crise cardiaque peut se ressentir dans plusieurs endroits du corps, notamment dans la poitrine, le bras gauche, le cou ou la mâchoire. La douleur est souvent décrite comme une sensation de serrement, d'étouffement ou de pesanteur.
Les personnes mourantes et les membres de leur famille peuvent souvent parvenir à un profond sentiment de paix avec l'aide de la famille, des amis et parfois du clergé. Le processus de deuil passe souvent par cinq stades émotionnels : le déni, la colère, le marchandage avec la mort, la dépression et l'acceptation.
L'Esprit se retrouverait alors dans une dimension qui se superposerait à celle de la Terre, dans laquelle son bien-être ou son mal-être correspondrait à son état d'avancement. Il pourrait être proche de nous sur Terre, ou pourrait s'éloigner dans l'espace sidéral.
Hamlet met également en scène la seconde mort, « celle que l'on peut encore viser après que la mort est accomplie » (Lacan, 1986, p.
Des causes diverses
«Ces morts sont dues à des fibrillations ventriculaires. Le cœur a tendance à s'emballer et perdre son rythme. Dans la grande majorité des cas, la fibrillation est engendrée par une artère coronarienne bouchée». Le sang ne peut plus irriguer le muscle cardiaque et le cœur perd son rythme.
(Médecine) Décès dû à une maladie ou à la vieillesse.
Les personnes touchées perdent rapidement connaissance et, si elles sont debout, elles s'écroulent subitement et cessent de respirer. Elles n'ont plus de pouls parce le cœur a cessé de battre. On appelle ce phénomène la mort subite d'origine cardiaque ou MSOC.
Le premier symptôme ressenti lors de l'insuffisance cardiaque est l'essoufflement. Il est provoqué par un engorgement du sang dans les poumons. Autre symptôme évocateur, la fatigue provient d'un déficit d'irrigation des muscles, ainsi privés d'un apport suffisant en nutriments et en oxygène.