Au basket, il existe deux types de fautes : les fautes personnelles et les fautes liées au comportement anti-sportif. Premièrement, les fautes personnelles. Une faute personnelle est une infraction qu'un joueur commet quand il bloque, tient, pousse, charge ou accroche un adversaire.
Les fautes :
Il est interdit d'utiliser le contact avec ses bras, ses épaules, ses hanches, ses genoux pour gêner l'adversaire sous peine de faute sifflée. Concernant les fautes, un joueur peut en faire quatre et pas une de plus. A sa cinquième faute, il quitte le parquet et ne pourra plus entrer en jeu.
Elles ne sont sanctionnées que par la remise en jeu à la touche, en faveur de l'équipe adverse. Les fautes quant à elles, sont des erreurs volontaires ou accidentelles, dont un joueur est responsable.
Une faute technique est commise lorsqu'un joueur ou entraîneur viole certaines règles, le plus souvent après contestation d'une décision des arbitres. Mais il existe de nombreux autres cas comme une substitution illégale, provocation, retarder le jeu, lancer le ballon dans les tribunes ou en touche volontairement...
C'est Dany BIASONE, ancien propriétaire de la Syracuse Nationals qui a inventé la règle des 24 secondes après la saison 1953-1954, cela dans le but d'essayer d'accélérer le jeu et d'empêcher les équipes de le bloquer.
Un salarié peut être licencié pour faute simple, faute grave ou faute lourde à la fin d'une procédure disciplinaire.
Il faut, classiquement, retenir trois types de fautes à classer selon leur degré de gravité: la faute simple. la faute lourde. la faute grave.
La "faute" est l'action volontaire ou non, ou encore l'omission qui porte atteinte au droit d'autrui en lui causant un dommage. En droit civil la doctrine fait une différence entre la faute dite quasi-délictuelle et la faute contractuelle.
La faute offensive est une faute commise par un joueur qui est en possession du ballon. Percuter un défenseur qui ne bouge pas ou écarter le défenseur avec le bras sont, par exemples, des fautes offensives.
Faute flagrante
C'est une infraction volontaire à la règle qui consiste en un contact violent et intolérable, tel que frapper ou pousser violemment un adversaire. Dans ce cas, l'arbitre doit demander à l'attaquant de sortir du terrain immédiatement et de se passer de la rencontre.
C'est le pied de pivot. Lorsque vous avez le ballon à l'arrêt, si vous décollez votre pied de pivot du sol ou le faites glisser, l'arbitre siffle un marcher. Vous avez le droit de lever votre pied de pivot pour tirer ou passer à condition de lâcher le ballon avant de reposer ce pied.
Une faute grave est d'une sévérité telle que l'entreprise ne peut garder le salarié (harcèlement, abandon de poste, insubordination). Une faute lourde a été commise avec l'intention de nuire à la société (détournement de fonds, sabotage).
La faute lourde est une faute d'une gravité exceptionnelle qui révèle l'intention de nuire du salarié à son employeur. C'est la faute la plus grave que peut commettre un salarié.
➙ erreur, maladresse.
La faute inexcusable de l'employeur est associée à la conscience du danger. Dans le cadre d'un accident du travail, un employeur ne commet pas de faute inexcusable s'il ne pouvait avoir une conscience pleine et entière du risque auquel sa salariée était exposée.
L'usage veut que l'on commette une « faute d'orthographe » mais une « erreur de calcul », la seconde bénéficiant sans doute du crédit de l'involontaire ou de la distraction bénigne. Curieusement la langue française nomme « faute » d'étourderie ou d'inattention, ce qui en réalité est une « erreur ».
Une faute de service correspond à une défaillance dans l'organisation ou le fonctionnement normal du service public. Elle peut consister en un fait matériel ou en un acte juridique. Elle peut résulter d'une action, d'une abstention ou d'une omission.
De 1976 à 1984, la sanction pour une faute sur un tir est de trois lancers-francs à partir de la 10e faute d'équipe (puis la 8e à partir de 1980), le troisième lancer n'étant accordé qu'en cas d'échec à l'un des deux premiers. Cette règle est abandonné en 1984, année où est instauré le panier à trois points.
Gilbert Arenas, l'agent 0
Mais l'agent Zéro n'a pas toujours eu le 0 floqué dans le dos. C'est en arrivant à la fac d'Arizona, où son numéro 25 étant déjà pris, qu'il dû changer de numéro. Mais pourquoi le 0 ? Parce que c'est le nombre de minutes que les observateurs prédisaient qu'il jouerait pour son année freshman.
« L'explication est simple, justifie Pierre-Yves Bichon, vice-président de l'Hermine. Il s'agit d'éviter les confusions, lorsque l'arbitre indique la valeur des paniers à la table de marque. »
Le pivot (5)
Le pivot (center) est généralement le joueur le plus grand (souvent autour de deux mètres dix) et le plus fort physiquement.