Les principales techniques abordées sont les comptages directs et indirects, au sol et par avion, exhaustifs ou par échantillonnage.
Observer et compter
Si les animaux sont suffisamment visibles ou bruyants, les scientifiques peuvent aussi compter un à un ceux qu'ils voient ou entendent. On compte chaque individu ou son habitat, voire ses empreintes. On multiplie ensuite les résultats par une surface déterminée pour avoir l'effectif global.
La liste des espèces domestiques d'animaux est limitativement fixée par arrêté ministériel. Par exemple, les animaux suivants sont des animaux domestiques : chat, chien, furet, porc, chinchilla, cheval, cochon d'Inde, poisson rouge, certaines variétés de perruche.
Il semble que si les chats sont plus populaires en Amérique, les chiens restent les plus populaires dans le monde entier. Mais quel que soit l'animal que vous préférez, il ne fait aucun doute qu'ils apportent tous deux de la joie dans nos vies.
Le paresseux est le mammifère le plus lent : il ne couvre que 3,5 m par minute au sol ! Son alimentation composée de feuilles ne lui fournit en effet que très peu d'énergie.
La méthode de l'ADNe consiste à récupérer cette carte de visite en collectant un échantillon du milieu, comme de l'eau ou de la terre. Les scientifiques réalisent ensuite des analyses génétiques sur ces échantillons. Elles permettent d'attester la présence ou l'absence d'une espèce.
De nombreuses autres méthodes permettent également de conserver les plantes et les animaux des collections : le simple séchage à l'air libre des plantes et des insectes, la conservation dans des liquides tels que l'éthanol, ou même, la lyophilisation, un service offert au Musée.
Pour étudier un milieu naturel on doit avoir des outils comme la carte, les jumelles, les ciseaux… , ces milieux sont très diversifiés, on trouve la forêt, la plage, la montagne… .
La congélation et la surgélation sont les méthodes de conservation les plus efficaces, et celles qui altèrent le moins les propriétés du produit. De plus, toutes deux permettent la conservation de l'aliment pendant une période prolongée, de plusieurs mois a plusieurs années.
Une méthode simple est d'utiliser l'Indice de Simpson qui prend en considération le nombre d'espèce et leur abondance. Le résultat de l'équation donnera une valeur de la biodiversité entre 0 et 1, où 1 représente une forte biodiversité.
Définition simple d'un écosystème
La définition la plus simple d'un écosystème est la suivante : il s'agit d'un ensemble d'être vivants qui vivent au sein d'un milieu ou d'un environnement spécifique et interagissent entre eux au sein de ce milieu et avec ce milieu.
L'échantillonnage ainsi que la méthode de capture-marquage-recapture permettent d'estimer la richesse spécifique (nombre d'espèces) et l'abondance (nombre d'individus) dans les milieux étudiés. À partir des échantillons, des calculs permettent d'estimer la biodiversité du milieu étudié.
On dit qu'un lieu d'inventaire est homogène : Lorsqu'il contient beaucoup d'espèces. Lorsqu'il contient toutes les strates des végétaux Lorsqu'il se trouve au fond du milieu. Lorsqu'il se trouve dans les limites de deux milieux.
a- La répartition verticale des végétaux :
C'est une technique utilisé dans le milieu forestier , selon la nature de l'appareil végétatif et sa hauteur, les végétaux sont divisés en strates , chaque strate correspond à un intervalle de hauteur.
La stratification végétale correspond à la création de volumes vertical (étagement de la végétation) et horizontal (création de lisières et de clairières), tout en permettant de varier les classes d'âge.
L'ensemble des êtres vivants, plantes, animaux, mais aussi champignons et microbes, qui vivent dans un écosystème constituent ce qu'on appelle sa biocénose. À cela s'ajoute le biotope qui est l'ensemble des conditions physico-chimiques régnant dans l'écosystème.
Il existe différents types de relations indispensables à la vie des êtres vivants : – relations entre deux êtres vivants (alimentaires, de support, de transport, de reproduction, de compétition, etc.) ; – relations entre un être vivant et des éléments minéraux (alimentaires, de support, d'abri, de transport, etc.).
Pour évaluer la biodiversité spécifique, les scientifiques comptent le nombre d'espèces vivant à la surface de la planète. A chaque nouvelle découverte, ils les classent dans différents groupes définis par des critères remarquables.
Les espèces vivant dans un milieu constituent sa richesse spécifique. L'inventaire de ces espèces et de leur effectif rend compte de cette biodiversité. L'échantillonnage direct de spécimens dans un milieu permet leur observation et leur identification directe en se basant sur des critères morphologiques.
Puis viennent la conservation de l'ordre et celle de la substance (vers 5-7 ans). La conservation du poids apparaît vers 8-9 ans, celle des longueurs et des surfaces vers 9-10 ans, enfin celle du volume et de la densité vers 12 ans.