Dans le catholicisme, les actes du sacrement comprennent les phases suivantes : L'examen de conscience préalable par lequel on recherche ses péchés ; La contrition, ou repentir ; qui implique de regretter ses fautes et de prendre la résolution de ne plus les commettre. La confession des péchés à un prêtre.
La première démarche dans la préparation à la confession est donc de se recentrer sur Dieu : ce n'est qu'en mettant son amour au centre de notre démarche que nous pouvons être éclairés sur nos péchés.
Il est appelé sacrement de la confession puisque l'aveu, la confession des péchés devant le prêtre est un élément essentiel de ce sacrement. Dans un sens profond ce sacrement est aussi une “confession”, reconnaissance et louange de la sainteté de Dieu et de sa miséricorde envers l'homme pécheur.
Les conditions nécessaires pour l'obtention du sacrement de pénitence sont les suivantes. La première condition est de rechercher ses fautes par un examen de conscience. La deuxième condition est le regret des fautes ou repentir.
Trois raisons sont avancées par les auteurs pour justifier ce secret : la volonté divine dans l'institution du sacrement, la confiance des pénitents dans l'institution pénitentielle et la protection du confesseur.
Dans l'Église catholique, le secret de la confession est un droit absolu et inaliénable. Pourtant, dans le droit français, le Code pénal autorise la levée du secret professionnel qui s'applique aux ministères du culte lors de sévices sur des mineurs et des personnes vulnérables.
La confession et son secret ont été inventés par les catholiques. Les chrétiens orthodoxes l'ont gardée, mais les protestants l'ont bannie du culte : « Les mauvaises actions sont regrettées directement auprès de Dieu, sans intermédiaire humain. Ainsi il n'y a pas de problème de secret dévoilé !
« Mon Dieu, j'ai un très grand regret de Vous avoir offensé, parce-que Vous êtes infiniment bon, infiniment aimable et que le péché Vous déplaît. Je prends la ferme résolution, avec le secours de Votre sainte grâce, de ne plus Vous offenser et de faire pénitence. »
Dans le catholicisme, les actes du sacrement comprennent les phases suivantes : L'examen de conscience préalable par lequel on recherche ses péchés ; La contrition, ou repentir ; qui implique de regretter ses fautes et de prendre la résolution de ne plus les commettre.
Aveu de ses péchés à un prêtre catholique, pour en obtenir l'absolution. 2. Action de confier, d'avouer à quelqu'un les fautes, les erreurs qu'on a à se reprocher.
Le pardon de Dieu est toujours possible, si nous faisons une démarche vraiment sincère. En se reconnaissant pécheur, nous croyons que l'amour infini de Dieu est toujours le plus fort. Le dialogue avec un prêtre est le signe efficace de la réconciliation avec Dieu et avec nos frères.
Le baptême, la confirmation, la confession, la communion ou eucharistie, l'ordination, le mariage et l'onction des malades. C'étaient-là les principaux rites de passages dans la vie des croyants catholiques au Moyen Âge.
Au XXIe siècle, l'encouragement de la confession est toujours aussi présent à Rome, comme en ont témoigné le jubilé de la Miséricorde, organisé par le pape François et l'initiative des 24 heures pour le Seigneur, qui a lieu chaque année pour le Dimanche de Laetare pendant le Carême.
Vices/péchés
Les sept vices capitaux sont l'orgueil, l'avarice, la luxure, la colère, la gourmandise, l'envie, la paresse.
Oui, je connais mon péché, ma faute est toujours devant moi. Contre toi, et toi seul, j'ai péché, ce qui est mal à tes yeux, je l'ai fait. Détourne ta face de mes fautes, enlève tous mes péchés. Crée en moi un cœur pur, ô mon Dieu, renouvelle et raffermis au fond de moi mon esprit.
le péché mortel, dont la matière est grave (ex. violence, adultère, vol important...) et qui est commis en pleine conscience et de propos délibéré. Cet acte coupe totalement celui qui le commet de la grâce divine, plaçant ainsi l'âme en état de mort (c'est-à-dire séparée de Dieu) jusqu'à son absolution.
Avec le prêtre : · Pour commencer : « Bénissez-moi, mon Père, parce que j'ai péché. » · Je confesse au prêtre mes péchés en présentant aussi à la fois le regret de mes péchés et l'amour que j'éprouve pour Dieu.
Je prends la ferme résolution avec le secours de ta sainte grâce de ne plus t'offenser et de faire pénitence. Seigneur, j'ai péché contre toi et mes frères, mais près de Toi se trouve le pardon. Je regrette mes péchés, donne-moi la force de vivre selon ton Amour. Je réponds « Amen ».
Consécration dans le catholicisme
Dans la doctrine catholique, la célébration eucharistique est « le sommet à la fois de l'action par laquelle, dans le Christ, Dieu sanctifie le monde, et du culte qu'en l'Esprit-Saint, les hommes rendent au Christ, et par lui, au Père ».
pénitence
Regret d'avoir offensé Dieu, avec la volonté de ne plus recommencer. 2. Mortifications que l'Église impose aux fidèles. (Le carême est un temps de pénitence.)
Concrètement : sur la croix, faites le signe de croix et dites-le “Je crois en Dieu”, récitez un “Notre Père”, 3 “Je vous salue Marie” (pour les 3 vertus théologales) et 1 “Gloire au Père”, méditez 5 mystères sur les 5 dizaines : 1 “Notre Père”, 10 “Je vous salue Marie”, 1 “Gloire au Père” et la “prière de Fatima”.
La demande adéquate n'est jamais une demande de supplication, mais une prière de gratitude. La gratitude est l'affirmation la plus puissante que nous puissions faire. Elle déclare à l'univers tout entier que nous sommes reconnaissant pour tout ce qui se trouve dans notre vie et pour la personne que nous sommes.
La confession est un acte de pénitence consistant à reconnaître ses péchés devant les autres fidèles (confession publique) ou devant un prêtre (confession privée). Dans ce sens, la confession est un sacrement pour les Églises catholique, orthodoxes et vieilles orientales. Elle est individuelle et privée.
Un confessionnal désigne un isoloir clos, disposé sous forme décorative dans les églises catholiques afin que le confesseur, un prêtre, y entende derrière un grillage le pénitent « à confesse ».
On appelle confession auriculaire, le récit de ses actions et pensées passées qu'un fidèle fait à l'oreille d'un prêtre afin d'obtenir le pardon de ses "fautes" ou bien de recevoir des conseils de conduite. Elle a lieu dans un confessionnal, meuble d'église introduit en France sous le règne de Louis XIV.