Elle appartient aux parents jusqu'à la majorité ou l'émancipation de l'enfant pour le protéger dans sa sécurité, sa santé et sa moralité, pour assurer son éducation et permettre son développement, dans le respect dû à sa personne. L'autorité parentale s'exerce sans violences physiques ou psychologiques.
Texte intégral. En droit français, la qualité de parent emporte des droits et des devoirs sur la personne et sur les biens de l'enfant que l'on qualifie de fonction parentale. L'autorité parentale en constitue assurément le cœur (voir A. KIMMEL, I).
- Être en capacité pour un parent de se mobiliser pour son enfant. - Être disponible à l'enfant. - Avoir la capacité d'observer son enfant et de réagir en adéquation. Être « bien » avec son enfant : c'est-à-dire s'épanouir au contact de son enfant et selon différemment en fonction de l'âge de celui-ci.
Il existe quatre principaux styles parentaux, selon les recherches en psychologie : les styles démocratique, autoritaire, permissif et désengagé.
Avoir le soutien et la confiance de l'autre parent et de l'entourage aide à développer un bon sentiment de compétence parentale. Partager votre expérience, vos doutes et vos inquiétudes avec votre partenaire et avec d'autres parents est un bon moyen d'améliorer votre confiance en vos habiletés parentales.
Les quatre parcours éducatifs (Avenir, de santé, d'éducation artistique et culturelle, citoyen) permettent de suivre le travail de l'élève dans ces différents domaines tout au long de sa scolarité.
Quatre styles parentaux ont été dégagés en lien avec ces deux dimensions : « exigeant/chaleureux, autoritaire, permissif, et négligent », selon Baumrind (1978), « autoritaire, autoritariste, indulgent et indifférent » selon Maccoby et Martin (1983).
C'est également au père que revient la mission d'empêcher la relation fusionnelle entre l'enfant et sa mère, afin de lui permettre de se réaliser en tant qu'individu. Il conduit l'enfant vers davantage d'autonomie, le responsabilise et lui fait comprendre qu'il est une personne à part entière.
Finalités de l'autorité parentale
L'autorité parentale, dont l'objectif est une véritable « gouvernance » de la personne du mineur, comprend ainsi à l'égard du mineur : un droit et un devoir de protéger sa sécurité et sa moralité ; un droit et un devoir d'éducation ; un devoir de protection de sa santé.
Une définition de la parentalité du Comité National du soutien à la parentalité « La parentalité désigne l'ensemble des façons d'être et de vivre le fait d'être parent. C'est un processus qui conjugue les différentes dimensions de la fonction parentale, matérielle, psychologique, morale, culturelle, sociale.
Communiquer efficacement
Lors d'une communication, il y a toujours un récepteur (personne qui écoute) et un émetteur (personne qui parle). La communication efficace implique une expression à la fois simple et claire de la part de la personne qui parle, ainsi qu'une écoute active de la part de celle qui écoute.
La mère est bien souvent la figure centrale de la vie de l'enfant, son premier contact avec le monde. Mais devenir maman, cela s'apprend. De la naissance à l'adolescence et même au-delà, la maternité permet de tisser des liens forts avec son enfant.
Le père impose une écoute différente de celle de la mère ; il est un support, une sécurité, un moyen de construction importante pour l'enfant. Le père, c'est aussi le garant de cette autorité constructive qui positionne les limites et qui fera des enfants des adultes responsables.
La parentalité positive invite le parent à se mettre à la place de l'enfant pour mieux le comprendre. Cette approche amène le parent à éduquer son tout-petit en le guidant plutôt qu'en le contrôlant. Les pratiques parentales positives encouragent la réparation et la collaboration plutôt que la punition.
La parentalité bienveillante, qu'est-ce que c'est ? C'est une éducation basée sur le respect de l'enfant et sur l'empathie du parent envers son enfant. L'attitude du parent vis-à-vis de l'enfant est positive.
4 styles parentaux
L'autoritaire – C'est un parent qui encadre énormément son enfant. Il a des attentes très élevées et omet souvent d'être chaleureux et de donner de l'affection.
Souvent, le parent permissif est en quête d'affection. Il craint de s'imposer de peur de ne pas être aimé ou de se sentir rejeté par son enfant. Il peut aussi chercher à être l'ami de son tout-petit. Ce statut est toutefois incompatible avec le besoin de l'enfant d'être guidé et encadré.
Comment distinguer l'éducation formelle, l'éducation non-formelle et l'éducation informelle ? Ces trois champs démontrent trois manières d'appréhender l'éducation.
Les buts de l'éducation familiale font l'objet de débats. En général, les parents subviennent aux besoins physiques de l'enfant, le protègent des nuisances, lui transmettent des compétences et valeurs culturelles jusqu'à ce qu'il devienne indépendant, généralement après l'adolescence.
La mère est très souvent la figure centrale de la vie de l'enfant. Cet être aimable et bienveillant est le premier contact de son enfant avec le monde, lui permettant ainsi de tisser des liens forts et solides avec lui.
Que d'Amour, d'affection, de patience et d'abnégation et de souffrance aussi, les mères ont consacré à leurs enfants pendant de longues années durant. Combien d'enfants peuvent-ils encore s'en souvenir, s'en rappeler et prier pour leurs mères et leur demander pardon pour toutes les erreurs passées?
D'ailleurs, la relation entre parents et enfant se construit dès la grossesse. En tant que parents, vous participez au développement physique intellectuel et émotionnel de votre nourrisson. L'enfant apprend beaucoup par imitation, et le parent est sa première source d'inspiration.