le droit au respect de la vie privée et familiale. la liberté d'expression. la liberté de pensée, de conscience et de religion. le droit de vote et d'être candidat à des élections.
C'est en 1789 avec la Déclaration des Droits de l'Homme et du Citoyen que les citoyens français acquièrent un droit fondamental : la liberté. Elle est d'abord individuelle et s'illustre de diverses façons : la liberté d'expression et d'opinion. la liberté de conscience et de religion.
Définition des droits fondamentaux ou libertés fondamentales. Les droits fondamentaux (ou libertés fondamentales) sont l'ensemble des droits subjectifs primordiaux de l'individu, assurés dans un Etat de droit et une démocratie. C'est une notion abstraite dont il n'existe pas de définition faisant l'unanimité.
L'essentiel. La liberté d'opinion (ou liberté de conscience) assure à toute personne la liberté de penser comme elle l'entend. La liberté d'opinion fait partie des droits fondamentaux consacrés dès 1789 dans la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen.
La véritable liberté est la liberté d'entreprendre ; elle comprend celle de penser ainsi que celle d'agir conformément à ce que l'on pense.
Les différentes formes de liberté :
Liberté politique : pouvoir exercer une activité politique, adhérer à un parti, militer, élire des représentants... Liberté individuelle : droit de chacun d'agir librement sans encourir de mesures arbitraires.
Les droits fondamentaux découlent principalement des principes suivants : Égalité : égalité des sexes, égalité devant la loi, égalité devant l'impôt, égalité devant la justice... Liberté : liberté d'opinion, d'expression, de réunion, de culte, de liberté syndicale, de droit de grève...
Les libertés ou libertés publiques, historiquement les tout premiers droits fondamentaux, ont pour but de garantir une certaine sphère d'autonomie aux particuliers, en imposant à l'État de s'abstenir de toute interférence dans leur vie. Elles limitent, et ainsi protègent, l'exercice de la puissance publique.
Ces droits sont la liberté, la propriété, la sûreté et la résistance à l'oppression.
On admet habituellement trois catégories principales: 1) les droits civils et politiques (également appelés libertés et droits fondamentaux), 2) les droits économiques, sociaux et culturels (également appelés droits sociaux) et 3) les droits collectifs.
Car "droit" et "liberté" sont deux notions bien différentes. "La liberté est une 'capacité de faire', alors que le droit est presque une obligation qui incombe à l'interlocuteur", explique Anne-Charlène Bezzina, maître de conférences en droit public et constitutionnaliste, à Europe 1.
Parmi les droits qui nous intéressent ici, on citera la liberté d'expression, la liberté de la presse, la liberté religieuse, la liberté de l'enseignement, la liberté de réunion, la liberté d'association, le droit de vote et l'éligibilité et, en faveur des ressortissants étrangers, le droit d'asile.
Le droit a un contenu délimité qui porte ou se rapporte à un objet précis et défini. La liberté est d'essence universelle et est indéterminée. Le troisième critère distinctif réside dans la portée respective des droits et libertés.
La liberté consiste à pouvoir faire tout ce qui ne nuit pas à autrui : ainsi, l'exercice des droits naturels de chaque homme n'a de bornes que celles qui assurent aux autres membres de la société la jouissance de ces mêmes droits. Ces bornes ne peuvent être déterminées que par la Loi.
Les libertés publiques découlent des règles de vie en société. Ce qui explique que de nouvelles réglementations apparaissent. Néanmoins, il existe des libertés qui sont au cœur de notre système démocratique et qui sont donc qualifiées de fondamentales comme la liberté d'expression.
Ces caractères sont : 1) la légalité, avec procédure d'adop- tion des textes de loi fondée sur la transparence, l'obligation de rendre compte et la démocratie ; 2) la sécurité juridique ; 3) l'interdiction de l'arbitraire ; 4) l'accès à la justice devant des juridictions indépendantes et impartiales, avec contrôle ...
Au sens physique, la liberté exprime l'absence de contraintes alors qu'elle désigne au sens politique d'abord l'indépendance à l'égard de tout pouvoir. En revanche, la liberté morale suppose la responsabilité de ses actes et la possibilité de choisir entre le bien et le mal.
Ensemble des droits reconnus aux individus en tant que tels, quels que soient leur pays, leur origine ethnique ou sociale, leur sexe, leurs croyances religieuses ou politiques.
Les droits des femmes sont des droits humains !
Ces droits comprennent le droit de vivre libre de toute violence et discrimination, le droit au meilleur état de santé physique et mentale susceptible d'être atteint, le droit à l'éducation, le droit à la propriété, le droit de voter et le droit à un salaire égal.
L'article 4 de la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen du 26 août 1789 dispose : "La liberté consiste à pouvoir faire tout ce qui ne nuit pas à autrui : ainsi, l'exercice des droits naturels de chaque homme n'a de bornes que celles qui assurent aux autres membres de la société la jouissance de ces mêmes ...
Le principe de liberté induit l'existence de la liberté d'opinion, d'expression, de réunion, de culte, de la liberté syndicale ainsi que du droit de grève. Le droit de propriété (art. 17 DDHC) a pour corollaire la liberté de disposer de ses biens et d'entreprendre (art. 4).
La liberté s'oppose en général au déterminisme, au fatalisme et à toute « pensée qui soutient la doctrine selon laquelle les êtres naturels sont soumis à une nécessité stricte qui les détermine entièrement et selon laquelle la volonté humaine n'est pas libre ».
Comme ses voisines scandinaves, la Norvège obtient 100, notamment grâce aux libertés civiles et la vigilance permanente de la société et des journalistes, qui dénoncent toute forme d'abus. Comme l'année dernière, la Finlande se distingue avec le score maximum : 100.