L'idée des limites du langage est seulement une manière de parler pour souligner le moment où le jeu cesse d'exister. Or, puisque les limites sont floues et les règles sont indéterminées, ces limites ne peuvent pas être anticipées ou thématisées dans nos jeux de langage.
Autrement dit, le langage permet de dire le vrai tout autant que le faux, d'être sincère ou de mentir. En ce sens, la puissance du langage est tout à fait ambiguë : elle est puissance de dévoiler le vrai autant que de le masquer, d'enseigner la vérité à autrui, tout autant que de le tromper.
On distingue trois types d'obstacles à une situation de communication : Les bruits. Les obstacles culturels et sociologiques. Les obstacles psychologiques et affectifs.
“Les limites de mon langage signifient les limites de mon propre monde » (Wittgenstein). Tout ce qui peut être dit peut être dit clairement, et sur ce dont on ne peut parler, il faut garder le silence. Cela signifie que l'expression de la pensée a ses limites, on ne peut pas tout dire, comme on ne peut pas tout cacher.
Certaines choses sont difficiles à exprimer. C'est le cas dans le domaine des sentiments. C'est également le cas lorsqu'on dit qu'il n'y a pas de mots pour exprimer l'inconcevable (un acte, une situation d'une horreur extrême).
Ainsi, le langage trahit la pensée parce que celle-ci n'est pas que consciente et qu'elle se dévoile malgré nous à travers lui. L'usage que nous faisons du langage manifeste notre origine sociale, notre éducation, notre culture, et même des pensées si intimes que nous n'en avons pas conscience.
Le langage donne forme à la pensée, il peut aussi aider à réparer les esprits. Les Français sont fatigués des discours de promesses : la fiabilité et la sobriété sont donc de mise. Or être dans la sobriété et harmoniser, dans une France fracturée, est un exercice de haute précision.
Le langage est la capacité d'exprimer une pensée et de communiquer au moyen d'un système de signes (vocaux, gestuel, graphiques, tactiles, olfactifs, etc.) doté d'une sémantique, et le plus souvent d'une syntaxe — mais ce n'est pas systématique (la cartographie est un exemple de langage non syntaxique).
Être capable de communiquer, ce n'est pas la même chose que maîtriser le langage. Maîtriser le langage signifie que l'on est capable de communiquer de manière à ce que les autres nous comprennent.
Posons d'emblée que la notion de vérité est interne au langage et qu'elle lui est entièrement relative. Le terme de «vérité» ne peut avoir de sens que par rapport à une assertion effectuée dans un énoncé. Ainsi, la vérité ne saurait-elle être l'objet d'une science.
Il existe quatre mode de communication distincts: la communication visuelle, écrite, verbale et non-verbale. Être en mesure de les adapter aux types de personnalité donne des résultats positifs, tant sur le plan personnel que professionnel.
Les interférences freinent le procédé de communication et sont sources de distorsions, incompréhensions et mauvaises interprétations. Ce sont des barrières à une communication efficace. Plusieurs interférences peuvent survenir aux diverses étapes du processus de communication.
Colère, fatigue, technologie: tant d'éléments qui constituent des entraves à la communication lorsque l'on veut mettre une situation au clair ou rétablir une mésentente.
Le langage est un ensemble de signes
Cet ensemble de sons (les paroles) et de tracés (l'écriture) constituent le rôle du langage. Le langage est un ensemble de signes qui ont pour fonction d'indiquer n'importe quel objet et pour n'importe quel événement.
C'est la question qui occupe les philosophes du langage au XXIe siècle, depuis les travaux fondateurs des linguistes Ferdinand de Saussure (1857-1913) et Charles Sanders Peirce (1839-1914).
Système de signes particulier permettant la communication au sein d'un groupe humain.
Les langues expriment du sens en liant un signe à un sens, ou à son contenu. Les formes des signes doivent pouvoir être perçues, par exemple, par le son, l'image ou les gestes, et doivent ensuite être liées à un sens précis par convention sociale.
Le langage paraît, en effet, naturel, car répétons-le, tous les hommes parlent quelque soit leur culture, la société dans laquelle ils évoluent. Cette universalité du langage nous suggère alors que ce doit être dans la nature même de l'homme que se situe l'origine du langage.
Valérie Blanco : Ce qu'il faut rappeler, c'est que, depuis plus d'un siècle, la loi ne nous permet pas de tout dire : injures et diffamations sont passibles de sanctions pénales très lourdes.
Le langage humain est un système qui regroupe le développement, l'acquisition, l'entretien et l'utilisation de systèmes complexes de communication , et désigne aussi la capacité humaine permettant ces processus. Une langue est un exemple spécifique d'un tel système de communication (par exemple, la langue française).
La langue Tandis que le langage désigne une capacité, la langue désigne un outil permettant de communiquer . La langue n'est pas commune à tous les êtres humains mais seulement à un groupe de personnes . Il faut donc être au moins deux pour pouvoir utiliser une langue .
Les fonctions du langage sont les suivantes : fonction expressive (expression des sentiments du locuteur) fonction conative (fonction relative au récepteur) fonction phatique (mise en place et maintien de la communication)
Le langage, vu comme une entité complexe, est considéré comme le propre de l'homme. En revanche, si l'on choisit de décomposer le langage en une somme de propriétés (complémentaires mais) distinctes, il devient possible d'établir des parallèles avec l'animal.
Le langage permet à l'homme de penser et de communiquer ses idées : il fonde donc la vie en communauté. Comment définir le langage ? Le langage se définit par un vocabulaire, c'est-à-dire par un pouvoir de nomination, et par une grammaire, c'est-à-dire par des règles régissant la nature et les relations des mots.