LES MALADIES PSYCHIATRIQUES Les troubles les plus fréquemment rencontrés dans la population sont la dépression, les troubles bipolaires, la schizophrénie, les troubles anxieux et les addictions.
La dépression est une des maladies psychiques les plus fréquentes. Elle survient à tout âge et elle est plus fréquente chez l'adulte, mais en augmentation chez les jeunes.
Comportementaux : humeur labile, agressivité, difficultés à trouver de l'intérêt dans ses activités, à exécuter des tâches quotidiennes, abus de certaines substances. Cognitifs : difficultés importantes à se concentrer, à raisonner normalement, troubles de la mémoire.
Douleur et états dépressifs
C'est le trouble psychiatrique le plus fréquemment associé aux plaintes douloureuses chroniques. Sa prévalence varie selon le recrutement des patients étudiés et les instruments d'évaluation, mais elle atteint entre 13 et 85 % selon les études et les échantillons (Bair et al., 2003).
Les troubles neuropsychiatriques sont des troubles qui impliquent à la fois des troubles neurologiques et des troubles psychiatriques. Ces troubles affectent les fonctions mentales supérieures telles que la cognition, l'humeur, le comportement, la perception et la motivation.
Ainsi, ce terme regroupe des affections diverses telles que les maladies d'Alzheimer et de Parkinson, la schizophrénie, le trouble du spectre de l'autisme, la sclérose en plaques, l'épilepsie …
en France, dans les enquêtes d'opinion, la schizophrénie est associée au danger et au passage à l'acte, comme dans l'enquête Ipsos 2002 sur l'image de la schizophrénie auprès du grand public où la maladie est assimilée, pour 69 % des Français, à « folie, démence, cinglé, barjot » ; pour 16 %à : « violence, peur, danger ...
Différents troubles, tels que les maladies thyroïdiennes, les tumeurs cérébrales, les troubles convulsifs ainsi que d'autres troubles cérébraux, peuvent induire des symptômes similaires à ceux de la schizophrénie.
Fonctions mentales touchées : le handicap psychique se démarque par l'absence de déficience intellectuelle alors que le handicap mental associe une déficience intellectuelle. Prise en charge médicamenteuse : très modérée pour les handicap mental, souvent indispensable dans le handicap psychique.
Les symptômes les plus connus sont le repli sur soi, l'incapacité d'agir, les sautes d'humeur, un comportement désorganisé, des problèmes de concentration, des mouvements répétitifs, des difficultés à tenir une conversation.
Facteurs de risque
Les maladies mentales tiennent à une interaction complexe entre des facteurs liés à la génétique, à la biologie, à la personnalité et à l'environnement. Les maladies mentales touchent diverses personnes, peu importe leur âge, leur niveau de scolarité, leur revenu et leur culture.
Le syndrome de Guillain-Barré est une affection rare dans laquelle le système immunitaire du patient attaque les nerfs périphériques. Bien qu'elle puisse toucher les personnes de tout âge, cette maladie est plus fréquente à l'âge adulte et chez les sujets de sexe masculin.
Faiblesse musculaire, maux de tête, troubles du sommeil, dérèglement des sens, tremblements, mauvaise coordination… Dès l'apparition des premiers symptômes, prenez rendez-vous chez votre médecin traitant qui saura interpréter les signaux d'alerte et vous orienter vers un neurologue si votre état le nécessite.
Néanmoins, selon le Dr Charley Cohen, rhumatologue et auteur de La Fibromyalgie, un état douloureux enfin reconnu et pris au sérieux, la fibromyalgie n'est assimilable à aucune maladie psychiatrique caractérisée.
ses émotions se modifient : par exemple, elle paraît indifférente aux personnes de son entourage, détachée ou coupée du monde. Elle éclate de rire ou se fâche sans raison; elle a des idées délirantes, c'est-à-dire des idées étranges ou fausses, des préoccupations ou des croyances bizarres.
Changement d'humeur, perte de plaisir, découragement, agressivité Un des symptômes les plus connus et remarqué chez les personnes qui vivent de la détresse psychologique est un changement d'humeur.
aborder ce qui vous préoccupe sans entraves ni limitations. poser des questions au psy, notamment pour savoir comment il travaille, si votre problématique est quelque chose qu'il connaît et sait gérer et toutes celles qui vous passent par la tête. répondre aux questions qui vous sont posées.
Obsédées par le gâchis, la réussite, l'excellence, toujours à tout vérifier, contrôler et avoir raison contre tous… les personnalités obsessionnelles compulsives, encore appelées « POC », sont difficiles à vivre.