Les 3 meilleures truites fumées du commerce La truite fumée de la marque Landvika vendue à 30,65 € le kilo est classée comme bonne sur tous les aspects. Elle est notée 14,5/20. La truite fumée Pyrénées de la marque Guyader (vendue 44,15 euros le kilo) a reçu la même note et monte donc sur la 2e place du podium.
La truite gagnante
Pour la catégorie “truite fumée” c'est une référence bio qui arrive en tête, celle de la marque Ovive Bio. Elle a su séduire les membres du jury : “ La note obtenue par ce produit s'avère très satisfaisante, et surtout largement supérieure aux autres, souligne le mensuel.
La truite sauvage est protégée et ne peut pas être vendue.
Vous la dégusterez seulement si vous êtes pêcheur ou fréquentez la table d'un pêcheur. La truite saumonée d'élevage doit la couleur rose de sa chair à sa nourriture qui contient des pigments de carotène et des produits à base de crevettes.
En ce qui concerne les truites fumées, c'est une truite bio d'origine française de la marque Ovive qui arrive en tête. Nous pouvons également recommander des truites fumées Cora ou des pêcheries basques. » Les précédents « Que Choisir ? »
En France, on peut trouver la truite sauvage un peu partout, de la Haute-Marne au Var, des Hautes-Alpes au Pays basque, de la Dordogne à la Lozère, ou encore des Pyrénées à la Franche-Comté.
La truite de rivière sauvage
Elle a une forme allongée avec des points rouges sur sa robe. Sa tête est également allongée et ses nageoires sont bien développées. La truite fario adulte mesure entre 20 à 140 cm et elle vit en moyenne de 4 à 6 ans selon son environnement (qualité de l'eau, prédateurs, nourriture…).
En moyenne la taille de la truite est de 25 à 40 cm, pour un poids moyen de 300 à 500 g, mais il est possible de rencontrer des individus de 1 m de long et d'un poids maximum allant de 10 à 15 kg. Les formes migratrices peuvent atteindre 1,40 m pour un poids de 50 kg.
Moins chère, moins grasse et riche en vitamines et en nutriments, la truite peut effectivement remplacer le saumon si vous le souhaitez. Vous obtiendrez ainsi un plat gourmand à moindre coût. Truite fumée, truite saumonée ou en papillote, à vous de choisir !
Un saumon fumé de Norvège prétranché et vendu dans toute la France est actuellement rappelé en raison de la présence de Listeria monocytogenes.
La truite est un poisson moins gras que le saumon, ce qui se traduit par une sensation en bouche légèrement plus sèche. D'autre part, le saumon fumé est réputé pour sa texture tendre et délicate. Sa teneur en matières grasses plus élevée lui confère une sensation en bouche plus crémeuse et fondante.
Cru, en tartare, en ceviche ou en carpaccio (seulement si la truite est très fraîche).
Simple à cuisiner, la truite présente de nombreux bienfaits pour la santé. Une portion de 100 grammes de ce poisson, cuite au four, apporte 26 grammes de protéines. Une composition intéressante pour le corps car - avec les glucides et les lipides - les protéines sont l'une des familles de macronutriments.
Peut-on congeler de la truite fumée sous vide ? i vous ne pouvez pas consommer la truite fumée avant la date de péremption affichée sur le paquet, il est possible de la mettre au congélateur si et seulement si la truite fumée est garantie jamais congelée.
Si l'emballage est très gonflé ou qu'il y a eu un trou d'air dans l'emballage, ne le consommez pas, car il y a un risque d'intoxication alimentaire. Le poisson ne doit pas avoir un aspect gluant, une odeur aigre ou une couleur grisâtre. Si vous remarquez l'une de ces caractéristiques, alors jetez le poisson.
Saumon fumé de chez Picard : le plus recommandé
Les + : Le saumon fumé de chez Picard fait partie des produits que la rédaction a le plus appréciés : jolie couleur, goût agréable, texture grasse "juste ce qu'il faut". 44 % des personnes lui ont notamment décerné la note de 4 sur 5.
Prédateurs. La truite mouchetée est mangée par le vison, la loutre, les serpents, les tortues, les plus grands poissons, les autres prédateurs aquatiques et, bien sûr, les humains.
Les parasites, les maladies et les évasions potentielles des fermes piscicoles à filets ouverts mettent en danger tous les saumons sauvages du Pacifique, y compris le saumon chinook, qui constitue l'aliment principal des orques résidentes du Sud, une espèce menacée.
La bactérie détectée dans le saumon fumé est la listeria monocytogenes, l'agent responsable de la listériose. Cette maladie peut causer de la fièvre, des maux de tête, des courbatures, et dans les cas graves, des complications neurologiques et des atteintes maternelles ou fœtales chez la femme enceinte.
L'une des différences entre le saumon du Pacifique et de l'Atlantique réside dans la valeur en PCB (polychlorobiphényles interdits depuis 1987, mais toujours présents dans l'environnement) qui est plus faible dans les espèces du Pacifique. Cela s'explique par la propreté des fonds marins mieux préservée dans cet océan.
Le saumoneau (au stade pré-smolt sur la photo) est beaucoup plus fuselé et moins massif que la truite de mer. Les nageoires pectorales sont plus grandes, la caudale est plus en forme de v et l'adipeuse est complètement grise. Enfin la bouche est plus petite, la commissure ne dépassant l'aplomb du milieu de l'oeil.
La différence est davantage notable lorsqu'on les cuit. Une truite cuite au four n'aura pas la même texture et le même goût que le saumon. Mais leurs disparités n'en font pas moins des poissons savoureux.
La truite est moins chère que le saumon. Je présume que cela s'explique principalement par la réduction des frais de transports. Peut-être aussi car elle est moins connue, moins consommée.
Prévoir entre 70g (entrée) et 150g (plat) par personne.
Décidemment la Nouvelle Zélande semble être prédestinée pour enregistrer les records des plus grosses truites du monde. Rae Bushby, qui ne pêche que depuis une grosse année, a réussi l'exploit de sortir une truite de 30,31 livres (15,15 kilos), et de 87,88 cm.
Le poisson d'une longueur de 119,4 cm (47 po) et doté d'un tour de taille de 93,98 cm (37 po) affichait un poids de 33,11 kg (73,29 lb) ce qui en ferait le nouveau record mondial selon l'organisme IGFA.